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I was missing you so much. With Margareth Wainwright.

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MessageSujet: I was missing you so much. With Margareth Wainwright. I was missing you so much. With Margareth Wainwright. Icon_minitimeMer 10 Juil - 23:04


I was missing you so much
Margaret & Marcus Wainwright



Ce matin encore, lorsque le réveil sonna, Marcus trouva sa femme à ses côtés. Le temps d'un petit sourire et d'un petit baiser, que tout s'éveillait dans leur maison. Et s'était ainsi tout le temps... Habillage, petit déjeuné, salle de bain, et voilà que Marcus partait au boulot.
Comme tous les jours, la cohue des traders était supportable en début de journée. Mais lorsqu'arrivaient les dernières heures, cela devenait vite insoutenable. Cependant, ce boulot, c'est lui qui l'avait voulu, et maintenant qu'il l'a, ce n'était pas le moment de lui trouver des défauts et de changer de profession. Combien de jeunes de nos jours qui ne savent pas ce qui veulent se retrouvent avec des milliers de petits jobs ? Sans aucune réelle formation ? Bien trop... Comme à chaque fois dans ces moments là, Marcus se change les idées. Eh comment ! Soit il essaye de se concentrer sur des problèmes plus important dans l'entreprise que les enfants qui font du bruit en bas, ou alors il s'accorde 5 minutes de répit en pensant à son retour à la maison et à sa petite famille qui l'attend. Repensant à la musique jouée par Margareth le soir de leur rencontre, cela lui permet de s'évader quelques instants... Et de se remettre aussitôt au travaille. Un petit tour de chaise, de petits étirements, et c'est ainsi tous les jours...
Heureusement pour lui, maintenant qu'il était dans les bureaux, des fenêtres permettaient de lui faire sentir que le soleil était toujours là. Non parce que... Quand vous êtes en bas pour trader... Aucune luminosité naturelle. Et c'est plus dur à vivre que ce que l'on pense... "Oh mais on s'y habitue, c'est comme travailler derrière un ordi toute la journée !" Pas tout à fait non... A vrai dire pas du tout même...

La fin de la journée était de plus en plus proche, et les bruits venant du bas devenaient de plus en plus insupportables... C'est avec le temps que Marcus réussi à supporter, et à passer ses journées dans ce bureau dans lequel son métier lui plaisait tant. Et enfin... Arrive l'heure où les traders du bas rentrent chez eux. Tous en même temps ! C'est un sacré soulagement au niveau de l'ouïe. Et des maux de tête, qui tous s'en vont instantanément. Et ceci tous les jours, sans exception. Peut-être le dimanche... et les jours fériés ? Bon et les vacances à ce moment là...
Les heures silencieuses défilaient a une vitesse fulgurante, comme chaque fois après le départ des traders du bas... 20h... 21h... Il était tant pour Marcus de replier bagages, d'éteindre les dernières lumières, et de fermer le bureau. Seule sa voiture restait sur le parking. Il la démarra, et ce fameux morceau de piano joué par sa femme lors de leur rencontre se lança automatiquement. Il allait, enfin, la retrouver.

Il ouvrit le garage électrique à l'aide de ses nouvelles technologies, et rentra sa voiture hors de prix avec soin. Le petit soupire d'être content de se trouver à la maison était fait, il pris sa mallette, et sorti de la voiture. Ferma la voiture à clef, et ouvrit la porte qui liait le garage à la maison. Posa les clefs à leur endroit, de même pour sa mallette. "C'est moi !" Ce genre de "c'est moi" sont ceux qui nous montrent que celui qui rentre, compte sur la déduction des autres en fonction de l'heure du retour et de l'intonation pour reconnaitre celui qui rentre. Lui, Marcus, ne voulait qu'une chose, retrouver Margareth, l'enlacer et l'embrasser comme chaque soir. Même si cela fait partie de la routine, c'est pourtant le meilleur moment de la journée. Et comme à chaque fois... Il l'enlaça et l'embrassa tendrement... "Aujourd'hui, tu m'as encore beaucoup manquée..." Et le répéter chaque soir n'est jamais de trop. Car ensuite, on oublie trop souvent de dire aux personnes qu'on aime qu'on les aime. On oublie trop souvent de leur dire les petites choses qui vont et qui ne vont pas. Faire de tout cela une habitude, rend la vie bien plus belle, Marcus, 51 ans, en est bel est bien l'exemple.
C'est ainsi qu'il retrouvait sa femme, tous les soirs. Il mangea ce qui restait du repas, parti se détendre dans la salle de bain tout en discutant avec Margareth, et ils finirent par se retrouver à l'endroit où ils se quittent tous les matins...
Une fois près à dormir, Marcus eu cette mine songeuse, et croisa les bras... "Margareth ?"


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MessageSujet: Re: I was missing you so much. With Margareth Wainwright. I was missing you so much. With Margareth Wainwright. Icon_minitimeSam 27 Juil - 18:03

    Puisque l'été était commencé j'avais donné relâche à mes élèves de piano. J'avais aussi droit à des vacances mois aussi, de plus je devais préparer le nouveau programme que je comptais enseigner à l'université à l'automne et ça me prenais beaucoup de temps. Les seules personnes qui ne méritais pas de relâche de musique c'était mes filles bien entendu. Satine se devais de pratiquer son piano à tout les jours durant une a deux heures et Ginerva aussi, bien qu'elle se devais de jouer seulement une heure par deux jours. Elle était un peu moins doués que sa soeur alors pourquoi s'acharner sur elle? Bref, je m'étais levé ce matin en ayant toujours cette même petite routine. Marcus et moi étions bien dans nos vieille pantoufle, chaque jours depuis notre arrivé à Magnolia c'était la même petite routine. Bien entendu lorsque les enfants étaient plus petit c'était un peu différent puisque je devais faire le déjeuner pour mes lève tôt, faire boire un des plus jeune etc. Mais aujourd'hui, maintenant que mes enfants avaient tous l'âge de la majorité, je n'avais plus autant besoin de les minoucher. Ils s'arrangeait par eu même pour se faire à manger etc, bien que une fois au deux semaine, le dimanche matin je faisais un gros déjeuner pour toute la famille.

    Bref, après avoir laisser partir Marcus pour le travail, je me tournais vers la maison pour la trouver dans un piteuse état. Ma femme de ménage était en vacances et ça paraissait. C'était maintenant que je pouvais voir à quel point mes enfants et moi même laissions traîner nos choses. Je décidais donc de faire un peu de ménage, pour ne pas faire faire une crise de coeur à la bonne à son retour.

    Le temps fila a la vitesse de l'éclair, avant que je n'ai le temps de m'en rendre compte il était déjà l'heure pour moi de faire le souper. Je n'avais même pas pris la peine de diner! Je haussais les épaules et entrepris de préparer des pâtes. Rien de bien compliquer, mais le tout allait amplement satisfaire mes six bouches à nourrir.

    Après avoir mangé je décidais d'aller dans mon bureau pour choisir de nouvelle partition à apprendre à mes élèves de piano. Je fouillais dans mes classeurs lorsque j'entendis la voix de mon tendre retentir dans la maison. Il était déjà de retour? La journée avait donc passé très vite! J'allais le voir pour déposer un doux baiser sur ses lèvres puis je l'accompagnais a la table alors qu'il mangeais le reste de mon repas.

    Finalement l'heure d'aller au lit sonnait. J'allais donc mettre mon pyjama et je me glissais sous les couverture. Marcus fit de même et je me tournais vers lui pour le trouver songeur. Il dit mon nom et je fronçais les sourcils.

    -Oui marcus?
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MessageSujet: Re: I was missing you so much. With Margareth Wainwright. I was missing you so much. With Margareth Wainwright. Icon_minitimeVen 30 Aoû - 2:28


I was missing you so much
Margaret & Marcus Wainwright



Les pensées qui torturaient Marcus n'arrêtaient pas de faire le tour de sa tête."Tu penses qu'on fait ce qu'il faut pour rendre les enfants heureux ? Nan m'enfin c'est vrai quoi. Si au bout d'un moment les parents qui ont déjà toujours raisons dans les conflits familiaux ne se remettent jamais en question et ne se demande jamais si ce qu'ils font est juste pour leurs enfants ou non, c'est peut-être là qu'ils peuvent dire qu'ils sont de mauvais parents ? Certes il n'y a pas d'écoles dans ce bas monde pour apprendre à l'être. Il y a des livres qui donnent des conseils. Mais chaque enfant est unique. On ne peut donc pas élever trois enfants, qu'ils soient des mêmes parents ou non, de la même manière. Peut-être qu'en ce moment au sein de la famille Wainwright, il était temps de prendre un moment en famille, un repas peut-être, ou juste une soirée bien sympathique. Histoire de mettre les points sur les i. De re découvrir les enfants qui ont finalement beaucoup grandis... En si peu de temps ! Peut-être faut-il reposer ces questions toutes simples, mais qui méritent d'avoir une réponse correcte ? Et puis... Ces petites bêtes ça a peut-être besoin qu'on leur montre qu'on les aime et qu'on est là pour elles ? "Faudrait peut-être qu'on se fixe une date avec eux pour pouvoir parler d'un peu tout, non ?" D'habitude à cette heure là, Marcus dort profondément en ronflant très bruyamment à côté de Margareth. Mais là, il avait les bras croisés, les yeux ouverts même si la lumière était éteinte et regardait le plafond qu'il ne pouvait pas voir.
Après ce petit passage philosophique de la part de Mr Wainwright, il s'appuya sur l'un de ses coudes, histoire de pouvoir apercevoir Margareth. Puis il se mis à sourire, très niaisement ! "Quand je pense qu'après tout ce temps là, toi, je t'aime toujours autant !" Ca sentait la fatigue à plein nez !!! "Non mais c'est vrai quoi ! J'espère que nos enfants trouveront la personne qu'il leur faut, tout comme je t'ai trouvé toi. Ou comme tu m'as trouvé moi, comme tu préfères..." Il riait seul de ses bêtises, et même si sa femme trouvait sa drôle, elle ne lui fit pas savoir directement. Il fit un délicat bisou sur la joue de l'amour de sa vie puis se pencha encore un peu pour atteindre ses lèvres. "Je te pose la question même si je connais la réponse, mais bon... Tu m'aimes encore aussi, hein ?!" Et voilà que son esprit d'enfant prenait le dessus. Il se faisait de plus en plus tard, c'était le milieu de la semaine, le moment ou on a tous l'impression que Lundi était hier, que Vendredi sera demain...!
Il posa délicatement une main sur le vendre de Margareth recouvert de l'un de ses nombreux pyjama en soie. C'était tout doux ! Et puis il aimait bien faire ça. Tout en embrassant de nouveau le creux du cou de sa femme, il rigola on ne sait trop pourquoi, et repris : "Moui, il faut qu'on parle aux enfants."


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