l3s62013

Moi Prénom Nom souhaite envoyer à Prénom Nom le texte suivant :
texte d'amour, d'eau fraîche et de cupcake rose ici

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(omg Adrian a envoyé une lettre de St Valentiiiiin )

(Dt) Compte de contrôle des FIF
(Ct) C ventes
(Ct) SPC
(Ct) SPF

* Opening Credits:
* Waking Up:
* First Day At School:
* Puppy Love:
* Fight Song:
* Breaking Up:
* Prom:
* Life is good:
* Driving:
* Flashback:
* True Love:
* Wedding:
* Moment of Triumph:
* Death Scene:
* Funeral Song:
* End Credits:

Un dîner chez les Albright. Voilà qui me faisait penser que j'allais passer une bonne soirée. Du moins, uniquement si Harper était là, et cela, mes parents n'avaient pas songé à me le préciser. C'était donc une once d'inquiétude sur cette soirée que je m'avançai dans la rue accompagné de papa et maman. Joy n'était pas là, elle avait fait un caprice pour aller chez notre grand-mère.
Nous passâmes devant de nombreuses maisons, mes parents discutant derrière moi. Quand soudain, mon nom fut crié et je levais les yeux. Les cheveux bruns de Harper au vent cachaient son visage, mais je fus pris d'un soulagement sans pareil. Je voulus courir jusqu'à la porte des Albright, mais par fierté, je gardais le même rythme. Sans grande surprise, ce fut Harper qui vint nous ouvrir. Elle me sauta au cou, manquant de m'étouffer, et je refermais mes bras sur elle.

-Harp', tu m'étouffes ! Articulai-je tant bien que mal.

Sur ces mots, elle me libéra de son étreinte et salua papa et maman. Je fis de même avec ses parents et n'eus pas le temps d'embrasser Lynn et Alistair que Harper me saisit la main. Elle me tira jusque dans le salon, puis à l'étage, et dans sa chambre. Elle ferma derrière nous et s'allongea à même le sol. Je m'assis à côté d'elle alors qu'elle m'avoua qu'elle s'ennuyait à mourir en nous attendant.

-Bah, rien, répondis-je sans conviction.

Je n'avais pas grand chose à lui raconter. Je n'allais pas m'épancher sur les bonnes notes que j'avais reçues, ou alors sur le dernier livre que j'avais terminé. Et en dehors de l'école, je n'avais pas maintes activités. Il m'était arrivé de jouer un peu au base-ball, mais sans grande réussite. A croire que le sport n'était pas fait pour moi. Et je me voyais mal détailler les conversations ou les rencontres que j'avais eu avec mes amis, cela ne devait pas intéresser Harper le moins du monde. En réalité, ce qui me plaisait, avec la brune, s'était d'avoir toujours quelque chose à faire, elle trouvait chaque fois un moyen de nous distraire. Il faut dire que dans le genre hyperactive, Harper avait sa place sur le podium.
A la porte, Alistair gémissait, et si cela ne me dérangeait pas qu'il vienne avec nous, Harper n'était pas de cet avis. Elle lui glissa un mot la porte à peine ouverte et revint s'asseoir avec moi. Ente nous, la brune posa une assiette pleine de biscuits apéritif et d'olives. Elle en disposa d'ailleurs une sur le dos de sa main et d'un coup sur son bras, fit voler le légume. Elle échoua en tentant de le rattraper, et cela me fit bien rire. Il fallait que je lui apprenne, vraiment !

-T'es nulle ! Lançai-je avant de prendre à mon tour une olive, de la lancer et de la récupérer à pleine bouche, T'as vu ? C'est comme ça qu'il faut faire.

J'écartais les bras en mâchouillant mon olive, pour me vanter un peu de ma réussite. Je déglutis et ouvrais les deux canettes de soda qu'Harper avait dérobé pendant notre escapade.

-Tiens, dis-je en lui tendant celle qui lui appartenait, Et toi ? Rien à me raconter ?

Un dîner chez les Albright. Voilà qui me faisait penser que j'allais passer une bonne soirée. Du moins, uniquement si Harper était là, et cela, mes parents n'avaient pas songé à me le préciser. C'était donc une once d'inquiétude sur cette soirée que je m'avançai dans la rue accompagné de papa et maman. Joy n'était pas là, elle avait fait un caprice pour aller chez notre grand-mère.
Nous passâmes devant de nombreuses maisons, mes parents discutant derrière moi. Quand soudain, mon nom fut crié et je levais les yeux. Les cheveux bruns de Harper au vent cachaient son visage, mais je fus pris d'un soulagement sans pareil. Je voulus courir jusqu'à la porte des Albright, mais par fierté, je gardais le même rythme. Sans grande surprise, ce fut Harper qui vint nous ouvrir. Elle me sauta au cou, manquant de m'étouffer, et je refermais mes bras sur elle.

-Harp', tu m'étouffes ! Articulai-je tant bien que mal.

Sur ces mots, elle me libéra de son étreinte et salua papa et maman. Je fis de même avec ses parents et n'eus pas le temps d'embrasser Lynn et Alistair que Harper me saisit la main. Elle me tira jusque dans le salon, puis à l'étage, et dans sa chambre. Elle ferma derrière nous et s'allongea à même le sol. Je m'assis à côté d'elle alors qu'elle m'avoua qu'elle s'ennuyait à mourir en nous attendant.

-Bah, rien, répondis-je sans conviction.

Je n'avais pas grand chose à lui raconter. Je n'allais pas m'épancher sur les bonnes notes que j'avais reçues, ou alors sur le dernier livre que j'avais terminé. Et en dehors de l'école, je n'avais pas maintes activités. Il m'était arrivé de jouer un peu au base-ball, mais sans grande réussite. A croire que le sport n'était pas fait pour moi. Et je me voyais mal détailler les conversations ou les rencontres que j'avais eu avec mes amis, cela ne devait pas intéresser Harper le moins du monde. En réalité, ce qui me plaisait, avec la brune, s'était d'avoir toujours quelque chose à faire, elle trouvait chaque fois un moyen de nous distraire. Il faut dire que dans le genre hyperactive, Harper avait sa place sur le podium.
A la porte, Alistair gémissait, et si cela ne me dérangeait pas qu'il vienne avec nous, Harper n'était pas de cet avis. Elle lui glissa un mot la porte à peine ouverte et revint s'asseoir avec moi. Ente nous, la brune posa une assiette pleine de biscuits apéritif et d'olives. Elle en disposa d'ailleurs une sur le dos de sa main et d'un coup sur son bras, fit voler le légume. Elle échoua en tentant de le rattraper, et cela me fit bien rire. Il fallait que je lui apprenne, vraiment !

-T'es nulle ! Lançai-je avant de prendre à mon tour une olive, de la lancer et de la récupérer à pleine bouche, T'as vu ? C'est comme ça qu'il faut faire.

J'écartais les bras en mâchouillant mon olive, pour me vanter un peu de ma réussite. Je déglutis et ouvrais les deux canettes de soda qu'Harper avait dérobé pendant notre escapade.

-Tiens, dis-je en lui tendant celle qui lui appartenait, Et toi ? Rien à me raconter ?

MAROON 5

PSEUDO/PRÉNOM :
POSTE DEMANDÉ :
CE QUE JE SAIS FAIRE:
MOTIVATIONS:
MOT DE LA FIN :

Doutzen Kroes

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