JACKSON BRENTWOOD
12 Janvier 1991 - 24 ans - hétérosexuel - marié au célibat - policier - bob morley
Tell them that it's human nature
Jackson est un leader. Sûr de lui, cela fait des années qu'il ne doute plus. Il sait ce qu'il vaut et n'a pas de limites quand il veut atteindre quelque chose. Malgré son passé douloureux, ce qui aurait pu le briser, l'a rendu plus fort, et il considère maintenant, qu'après s'être relevé de l'abandon de ses parents, il peut tout supporter. Ainsi Jackson connaît ses points forts. Et en abuse. Il aime plaire et il aime draguer. Séducteur dans l'âme, il ne se gêne pas pour draguer les jolies filles qu'il croise. Peu importe leur âge, leur caractère, leur statut, ou même leur orientation sexuelle. Ce qu'il aime, c'est voir le visage de ses futures conquêtes rougir face à ses mots. Malheureusement, son adoption ne l'a pas pour autant rendu reconnaissant de la vie. Matérialiste, il accorde une importance aux choses futiles. Il aime posséder les dernières fringues de marque, avoir une belle voiture et acheter le dernier IPhone. Jackson aime vivre dans le luxe. Et il en profite, sans gêne. Demandant sans arrêt à ses mères un peu d'argent afin de se faire plaisir, qu'importe les sacrifices que cela peut entraîner. Pour autant, ce n'est pas un méchant garçon. Au contraire, il est loyal et sensible. Mais il se cache derrière une carapace de leader intransigeant pour cacher ses qualités qu'il considère comme des faiblesses. Sportif et courageux, il n'a peur de rien, ou presque. Il aime le danger, et n'hésites pas à jouer avec la vie. Quelque peu narcissique, il passe, chaque matin, au moins une heure à s'occuper de lui. Ce n'est que lorsque son reflet le fait craquer qu'il se décide à libérer la salle de bain. Certains disent qu'il est égoïste, d'autres disent qu'il est altruiste. En réalité, tout dépend de la personne. Il peut se montrer patient et généreux avec les gens qu'il aime, comme tourner le dos à une personne qui demande son aide lorsqu'il ne porte pas cette dernière dans son coeur. Son égoïsme nait surtout de son matérialisme : si l'objet désiré est le seul restant en vente, il l'aura, coûte que coûte.
We are family
Jackson a gardé peu de souvenir de sa famille, de celle qui l'a abandonné lorsqu'il avait six ans. Il se souvient juste d'avoir manqué de nombreuses fois l'école car ses parents avaient autre chose à faire. Il l'emmenait partout, dans les quartiers les plus mal famés à la recherche de drogues. Et il n'a jamais essayé d'en savoir plus, car à six ans, il a rencontré Stacy, devenue sa sœur aujourd'hui. Elle paraissait si fragile à côté de lui, et il a alors senti qu'il devait la protéger. Que c'était désormais son devoir. Alors, quand Penny et Charlie ont décidé d'adopter Stacy, il s'est d'abord éloigné, ne voulant pas s'interposer. Mais de la même manière que Jackson n'aurait pas quitté l'orphelinat sans elle, Stacy refusa de se séparer de son frère. Car c'était ce qu'il était. Il devint alors un nouveau membre de la famille Brentwood. D'un côté, il y avait Charlie, mère aimante et protectrice, avec qui quelques conflits sont nés avec le temps. Car Jackson a changé, et Charlie s'en est aperçu. Et puis de l'autre côté, Penny. Douce, fragile. Ils se sont toujours aimés, et pourtant, Jackson ressent désormais certains regrets chez sa mère. Il sait qu'il en est la cause, mais ne veut pas changer pour autant. Et puis Billy a rejoint la famille. Jackson n'a pas hésité un seul instant à protéger ce nouveau petit frère qui paraissait si timide. Aujourd'hui encore, Jackson aime inspirer Billy et répondre à ses moindres questions. Il a l'impression d'être un vrai grand frère. Et puis, Irina vint rejoindre la famille. Rapidement, il sentit les regards plaisants de sa nouvelle sœur sur lui, et n'hésita pas à en jouer, tout en respectant tout de même le lien qui les unissait désormais. Sortir torse nu était déjà bien assez pour faire baver la petite Brentwood.
Tell me something I don't know
Jackson aime dessiner. Lorsqu'il était petit, c'était avant tout une occupation. Ses parents avaient l'habitude de lui donner des crayons de couleur et une feuille pour qu'il reste tranquille pendant qu'ils faisaient ce qu'il avait à faire. Et puis lorsqu'il s'est retrouvé à l'orphelinat, il s'est mit à dessiner pour oublier la manière dont on l'avait rejeté. Il adorait son père, le vénérait, et n'aurait jamais pensé qu'un jour, ce dernier puisse renoncer à son fils. Alors il s'est mit à le détester, ou du moins à détester l'image qu'il en avait. C'est d'ailleurs pour cela qu'avoir deux mères ne le dérangea pas. Au contraire, il s'en réjouissait. Il savait que l'amour d'une mère était plus fort que tout. Alors, lorsqu'il pu enfin écrire sur ses cahiers d'école "Jackson Brentwood", il se mit à dessiner pour garder en mémoire tout les moments de sa vie qu'il ne voulait jamais oublier. Ceux qui l'avaient marqué, rendu heureux, blessé. Aujourd'hui encore, il continue de faire cela. Et quelque part dans sa chambre, dans un endroit secret que seul Stacy connaît, se cache des dizaines de cahier de dessins qui retracent la vie du petit orphelin devenu grand.
J'AIME ... les filles - les soirées entre potes - fumer des joints - le whisky-coca - mon uniforme - aller à la plage - faire du sport - le baseball - le hockey sur glace - jouer de la guitare - mon reflet dans le miroir - la marque de parfum Kenzo - Le cinéma - manger du pop corn devant des vieux fils en noir et blanc - enlever mes chaussettes une fois dans mon lit - dormir à poil - faire le coup de la serviette à mes conquêtes - m'amuser en pissant - les bains chauds - les histoires d'horreur - écouter de la musique - Harry Potter - Disney. | JE N'AIME PAS ... cette pouf de barbie - les jouets pour filles - la lumière de mon portable qui m'aveugle dans le noir - partager MON lit avec quelqu'un - ceux qui écrivent en kikoolol - les gens qui racontent leur life sur les réseaux sociaux - Dirty Secret - l'hiver - les vieux dessins animés de teletoon - les gens qui gardent leur accent juste pour faire "genre" - les sportifs sans cervelle - les tricheurs. |
The story of the impossible
Changer de vie n'a rien de simple. La plupart du temps, c'est une décision que prennent des gens malheureux, qui survivent au lieu de vivre, et qui se rendent compte bien tard que leur vie leur passe sous le nez et qu'il n'en profite pas. Les criminels changent de vie. Les couples qui se séparent changent de vie. Les adolescents qui quittent la demeure familiale pour partir à l'université. Mais en général, pas les gamins de six ans. Et pourtant, à cet âge là, ma vie a changé deux fois. Je suis passée d'enfant mal traité à orphelin, et de orphelin au parfait petit enfant sage d'un pavillon. Enfant unique, je suis passé à presque jumeau d'une petite fille du même âge. Fils d'une mère et d'un père, je me suis retrouvé fils de deux mères. Et ma vie s'est améliorée. Je me suis senti heureux, pour une fois. Et pourtant rien n'a changé. La famille s'est agrandit, je suis devenu un homme. Mais j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose. Je suis insatisfait de la vie. J'ai besoin de plus.
Je regarde autour de moi. Les enfants jouent dans le parc avec innocence. On dirait un vieux pépère en promenade matinale. Je soupire, jette ma clope et me lève. Je plonge mes mains dans mes poches. L'été est proche, et pourtant, un vent frais s'engouffre dans mes cheveux et me fais frissonner. Je marche dans les rues de Magnolia, à la recherche de quelque chose pour me divertir jusqu'à la tombée de la nuit. Au programme ce soir, virée en boite de nuit. Je regarde l'heure. 13h42. Ce n'est plus le matin en fin de compte. Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite, mais je suis resté bien deux heures sur ce banc, à regarder la jeunesse s'inventer des histoires sans queue ni tête. Il y avait Jack Sparrow, Blanche-Neige et pas de sept nains. Non. A la place, il y avait des trolls. Je baisse les yeux. Je ne me souviens pas avoir joué de la sorte. Je ne m'en souviens pas parce que je ne l'ai jamais dessiné. Comme si ma mémoire avait voulu faire le tri en ce qui pouvait me rendre faible, et ce qui me rendait fort. Car penser à mon enfance désastreuse me peinait. Cette enfance avait commencé à partir du moment où Penny et Charlie nous avait adopté, Stacy et moi. Et même à ce moment là, je devais me montrer mature, accepter d'avoir de nouveaux parents. Une nouvelle famille. Un véritable toit où dormir, manger, étudier et grandir. J'étais conscient d'avoir eut une enfance difficile, mais je ne m'en plaignais pas. J'avais été heureux à partir du moment où j'étais devenu un Brentwood.
Je levais les yeux. J'arrivais à la maison. Je poursuivais ma marche et tournais devant la maison n°26. J'entrais, posais les clefs dans l'entrée et me dirigeais dans l'entrée. J'étais enfin chez moi. J'allumais la télé, et passais mon après-midi à m'abrutir devant des dessins animés Disney. C'était ça, le bonheur.
Who the hell are you ?
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18 y.o
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Ile de France
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Trop présente je dirai
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God knows
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Un dernier mot -