Jeudi matin. Jour que je bénissais, car en effet je ne travaillais pas ce jour là. C'était si bon de faire la grasse matinée. Bon... Ça aurait été encore mieux si ma douce compagne n'avait pas dût se lever pour aller bosser. Je n'aimais pas particulièrement ouvrir les yeux sur un oreiller vide à mes côtés. Machinalement, j'attrapais le dit oreiller et le serrer contre moi.

Après que le réveil ai sonner le rappel deux fois, je finis par l'éteindre et me lever. J'avais tout le temps, mais je n'allais pas non plus dormir jusqu'à midi. J'avais horreur de ça, c'était perdre la moitié de sa journée ! Non, dix heure, c'était raisonnable. J'allais prendre ma douche, mettant la radio histoire de me sentir moins seule. Puis, j'allais m'habiller. Un jean un brin moulant, un joli haut bleu marine pale un peu décolleté, et mes bottins à talons. J'avais envie de me faire belle pour quand Jane rentrerait. dans la cuisine, je regardais le planning de ma belle sur le frigo et vit qu'elle était de matin aujourd'hui.

- Cool ! fis-je avec un sourire.

Et je pris mon portable qui avait passé la nuit sur la table de la cuisine. "Rejoins moi à notre banc au parc quand tu as finis le boulot. j'ai hâte :) Je t'aime <3" et j'envoyais ce petit message. C'était notre endroit, notre banc. L'endroit le plus beau du parc. La première fois où nous y étions allé, les cerisiers étaient en fleur, et je me souvenais le visage souriant de ma belle, une fleur rose posée sur sa tête. Elle était tellement belle...
Après m'être tiré difficilement de mes souvenirs, je m'employais à préparer un petit quelque chose à déjeuner. On avait de quoi se faire des sandwichs nourrissant et agréables. Je pris donc tout ce qui traînait dans le réfrigérateur et fit nos repas. Tout y était pour faire plaisir à Jane, heureusement que l'on avait encore un peu de crabe pour aller avec les concombre, elle adorait ça ! Des fruits et des boissons aussi ! Diabolos préparés par mes soins ! Violette pour elle, menthe citron pour moi. J'irais prendre les cafés en route.

Après une préparation impeccable, je mis le tout dans un sac. Comme j'avais encore le temps j'allais allumer la télévision, histoire de me faire les ongles tranquillement.
Et bientôt, il fut l'heure de partir. Jane finissait son service aux alentours d'une heure. J'avais un peu faim quand même ! Et encore plus hâte de la retrouver ! Je partis donc de la maison, et rejoint le parc à pied. Ce n'était pas bien loin. Je m'assis à ma place, attendant ma chérie en regardant les canards sur l'eau.

Il faisait si beau aujourd'hui. J'avais eu une superbe idée de venir là pour déjeuner. On n'avait pas fait de pique-nique depuis un petit moment, et c'était bien dommage ! On allait profiter. Je regardais l'heure sur mon téléphone. 13h12. Jane n'allait pas tarder.
Un sourire se forma sur mon visage rien que de penser à ma petite femme. Elle et moi, ça durait depuis si longtemps, et pourtant je l'aimais comme au premier jour. Comme au temps du lycée, où j'avais découvert ce penchant pour les femmes. La première fois que l'on en a parlé sérieusement, c'était devenu si évidant ! Il fallait être ensemble ou je mourrais seule ! elle ou rien. Ce que mes parents n'avaient pas supporté d'ailleurs ! Les maudits !

Ne pensant pas trop à ces gens, de peur de gâcher notre après-midi, je me levais pour me poster près du cerisier. Le premier endroit que nous avions trouvé à Magnolia. Je revoyais encore Jane, assise en tailleurs sur le banc, me regarder. Juste avec ces yeux qui vous disent avec tellement de force la portée d'un amour. J'étais raide dingue de cette nana et rien n'y changerait !

Après un instant de plus, où j'observais avec un sourire un petit caneton suivre sa famille, je sentis des bras se resserrer autour de moi. J'étais surprise mais ravie de constater que ma belle était là.

- Salut ma douce. fis-je avec un grand sourire.

Et ce sourire s'élargit encore plus au contact des lèvres de Jane. C'est dans ces moment là que je me sentais forte, belle et adorée. J'avais tellement besoin d'elle !! elle me faisait tout oublier, le passé, les ennuis, même le mauvais temps ! Et j'aimais le son de sa voix lorsqu'elle me demandait d'un air enjoué comment j'allais.

- La matinée était calme. J'ai fais la grasse mat' ! nouveau sourire. Ça fait du bien, mais tu m'as manqué.

Fis-je avec une moue triste. Et sans me faire prier, je pris ce petit bout de femme dans mes bras, pour la serrer fort contre moi. Sa chaleur, son parfum m'avaient manqué. J'étais peut-être complètement dépendante de ma relation, mais je m'en fichais. Je tentais bien toujours de vérifier mon potentiel de séduction auprès des habitants, mais c'est juste que j'aimais voir ma Jane froncer les sourcils. elle ne m'en voulait jamais, ou alors vraiment rarement !

- Désolée. dis-je en la relâchant un peu, qu'elle puisse respirer. Et elle m'avait posé une question. Je t'ai fais ton sandwich préféré ! Et un diabolo violette !

Prenant sa main, je nous dirigeais sur le banc, où était posé le sac, et sortis tout ce que j'avais soigneusement emballé. * Orlane amoureuse, ça se voit pas du tout ! * pensais-je en souriant. Je mis une mèche de cheveux derrière mon oreille, et regardais ma chère et tendre ouvrir son sandwich.

- Et ta matinée ? Les gens vont bien ?

Oui, Jane travaillait dans un hôpital et donc les gens présents ne devaient pas aller très bien, mais sait-on jamais !

Sentir ma chérie contre moi me faisait du bien. bien qu'on puisse arriver à passer nos journées séparées sans trop de soucis, et sans passer notre vie à s'envoyer des textos toutes les trente secondes comme tous ces petits couples qui n'ont pas confiance en l'autre, on avait besoin d'être proche l'une de l'autre, ensemble. Même sans se parler parfois ! Juste la présence de l'autre, lui tenir la main me rendait déjà heureuse et fière de tout ce qu'on était, alors lorsque nous devenions plus intime, c'était toujours un plaisir intense et jamais ennuyeux.

Sans plus approfondir cette pensée mal placée, nous nous étions assises sur notre banc et j'avais déballé le repas. Des jours, je me disais que je la pourrissais à la gâter comme ça, mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Et je savais très bien que ma petite-amie était pareil que moi. C'était tellement rare et beau une relation comme la nôtre. Peut-être que les gens du quartiers ne voyaient pas ça mal, moi je les trouvaient refoulé au possible ! Je commençais mon sandwich, ouvrant le paquet de chips pour le mettre au milieu de nous deux. Jane me raconta alors sa journée et sa conversation avec la petite dame dont elle s'était occupé ce matin.

- Elle est sympa ! C'est mignon.

Oui, 'était mignon et me faisait terriblement plaisir que les gens remarque que ma belle était heureuse et amoureuse. Jane enchaîna sur ma question un peu conne de savoir si les gens allaient bien. Qu'elle me traite d'andouille me fit rire.

- Et je le fais pas exprès en plus ! C'est ça le pire ! et je me remis à rire de plus belle.

Tout le monde ne pensait pas directement au fait qu'ils étaient malades ! ... Bon dans un hôpital quand même j'avoue ! Bon JE ne pensais pas à ça en premier lieu alors !

Après cette bonne partie de rigolade, nous finîmes nos sandwich. Et je me permis de mettre la dernière chips dans la bouche de mon adorée. Ses lèvres avaient effleurés mes doigts et une bouffée de chaleur était monté en moi d'un coup ! Et ça n'arrangea pas les choses lorsque ma Jane se pencha vers moi. Je ne pu retenir mon sourire sous-entendant de bonnes choses un peu perverses.

- Je t'aime aussi mon cœur. dis-je en passant un bras autour d'elle.

J'attrapais son visage de mon autre main, afin de pouvoir l'embrasser dignement. Il était bien loin le temps des bisoux maladroits où l'on osait à peine se toucher. Maintenant, c'était plus intense, et il n'y avait aucun problème à mettre la langue et d'en profiter un max ! Je prenais un malin plaisir à jouer de celle-ci, sachant si bien m'en servir.
En terminant ce baiser, je la regardais amoureusement, caressant son visage d'un revers de doigt. Ma belle, si belle chérie se leva alors et m'entraîna avec elle dan l'herbe, se postant au-dessus de moi. Humm, que j'aimais quand elle faisait ça. Ça la renait affreusement désirable ! Et nous nous embrassâmes comme si nous étions seuls au monde, alors que des gens passaient quand même. enfin, je pense. Je n'avais pas trop la tête à ça !

- Tu sais ce que j'ai envie, là actuellement ? me demanda mon âme sœur.

Comment ne pas s'en douter !? en particulier avec le regard et le sourire qu'elle me jetait, et qui me faisait des picotements dans le ventre. Ma petite femme devenait coquine à ce que je pouvais voir ! Et j'adorais ça. Pour répondre, je la fis basculais dans l'herbe pour me retrouver au-dessus à mon tour. Lui relevant les bras au-dessus de la tête, je me penchais pour l'embrasser sur le haut de la nuque, près de son oreille, la mordillant légèrement.

- Je pense qu'on est sur le même longueur d'onde, chérie. soufflais-je d'une vois sensuelle à son oreille.

Sûr qu'on allait passer pour des folles, voire pire, mais ça, on était assez bien placé pour que les gens ne distingue pas tout. Bon endroit que nous avions trouvé là !

Pour ça qu'elle m'aimait ? D'être tête en l'air par moment ? C'était bon à savoir. elle qui subissait tant mes humeurs changeantes et mes crises. Moi je l'aimais pour tout ça, son calme, sa patience, sa capacité de me faire rougir même après huit ans, ses gestes fluides, etc... Je l'aimais, ça se voyait, et j'emmerdais le monde entier !

Ma belle se faisait soudain plus pressante, plus passionnée dans ces baisers. Et le fait de m'allonger sur l'herbe ne fit qu'accroître son pouvoir de séduction. Je me sentais bien, malgré la fébrilité qui s'emparait de moi lorsqu'il s'agissait de mon amante. Nous avions les mêmes pensées malsaines, vous direz les gens. Nous, on pensait simplement à notre amour mutuel.
J'avais pris le dessus sur Jane, l'emprisonnant de mes main, pour mieux pouvoir l'embrasser. J'adorais l'exciter en lui mordillant l'oreille. Cela me permettait de lui souffler de doux messages d'envie.

Soudain, mon adorée se fit plus coquine. Elle m'attira contre elle afin de m'embrasser, tout en laissant ses main glisser sur moi. Je répondis à son baiser en souriant. Sentir ce petit bout de femme me caresser me faisait énormément d bien, tellement que j'en lâchais un soupir de plaisir. Et ce n'était pas terminé ! Je ne me gênais de rien pour faire doucement descendre ma main, passant sous le haut de ma belle. J'adorais toucher sa poitrine si douce. Tandis que je la palpais bien plus qu'un docteur ne l'aurait fait, je sentis les doigts de ma belle se poser sur une partie plus que sensible de mon anatomie. Je relevais alors la tête, fixant ma douce amie dans les yeux.

- Tu crois que... que c'est le bon endroit ? demandais-je en regardant autour de nous.

Non pas que cela me dérange de faire l'amour avec elle ici, simplement on était jeudi et vers ces heures là, il y avait du passage. Je le savais, pour passer dans le parc chaque jeudi. Je n'aimais juste pas les voyeurs et les pervers du coin. Qui plus est, si quelqu'un se permettait de mater ma copine, je le tuerais sur place ! Mais j'avais tellement envie de ma compagne ! Ce n'était pas juste !
Je me penchais sur elle pour lui donner un nouveau et long baiser, celui-là plus réfréné que les précédant. Je ne voulais pas bouger d'ici, mais ce serait plus prudent, surtout si on ne voulait pas faire la une de ce blog à la con !

- Ça te dirait qu'on rentre à la maison mon ange ? demandais-je en embrassant sa nuque, pour ensuite lui murmurer : J'ai tellement envie de toi !

Je n'arrivais pas à me relever, c'était bien trop dur de devoir s'arrêter pour reprendre une fois dans l'intimité. On avait dût une fois profiter de l'absence de nos voisins, les Whiteley, pour se livrer l'une à l'autre dans le jardin. Une des plus excitantes parties de jambe en l'air que nous ayons faite. Mais pour aujourd'hui, j'avoue que rien que le canapé du salon me plaisait ! Et comme je savais ma petite-amie plus raisonnable et posée que moi, elle m'aiderait certainement à me raisonner assez longtemps pour attendre que nous ayons passé le seuil de la porte. Par contre, une fois cela fait, ce serait sa fête !

Jane avait tout autant envie que moi. C'était si dur de se défaire malgré que l'endroit en plein jour ne soit pas du meilleur goût. Jane non plus ne pouvait pas décrocher. Elle se recolla à moi, m'embrassant de plus belle tout en me caressant le corps. J'en faisais de même, ne réfléchissant plus à rien d'autre qu'elle. Une sorte de vibration se fit ressentir. Une comme on connaissait bien, mais qui était ainsi étrange présentement.
Ma belle se redressa en entendant la sonnerie de son portable. Comme c'était dommage que ce ne soit que ça qui ai causé un peu plus d'excitation en nous. Lukas ? Lukas Whiteley, notre voisin ? On n'en connaissait pas d'autre remarque ! Je ne cherchais pas vraiment a écouter. Je m'étais redressé en position assise, ma belle toujours sur moi. J'avais profité de sa distraction pour lui rappeler ma présence. Me collant à elle tandis qu'elle parlait, j'avais ouvert un peu son chemisier afin de déposer un baiser sur sa poitrine.

- Humm, je crois avoir une raison pour rentrer chez nous au plus vite mon amour ! me dit-elle en raccrochant.

Attirant par la même mon attention. Un sourire se dessina sur mes lèvres tandis que ma tendre petite femme me parlait d'un livreur devant notre maison. C'était donc pour cela que Lukas nous avait appelé. Toute revigorée, ma belle Jane se releva en me tendant la main. Je la saisit sans problème et me relevais, retirant les quelques brindilles d'herbe collées à ma chevelure. J'en souriais en les enlevant, regardant ma compagne. C'était tellement nous ça d'être aussi sulfureuses. L'amour dans l'herbe, à la plage, dans la cuisine, une peu comme ça prenait en fait. Bon toujours en restant correct vis-à-vis des autres, mais nous n'étions pas pudique.
Nous étions prêtes et nous prîmes donc la direction de la sortie du parc. Je tenais la main de ma Jane, enlacés comme nous aimions l'être. C'est alors que la belle me demanda si je savais ce que contenait le colis qui nous attendait à la maison. Comment ne pas le savoir ? Nous avions commander quelques petites choses un peu plus tôt dans la semaine. Mais, tout en connaissant ma princesse, je décidais de jouer l'idiote.

- Non, je ne vois pas du tout là !

Et je jouais tellement bien l'idiote ! J'eus un sourire complice partagé avec ma tendre amante. Jane vint se coller à mon oreille, me murmurant doucement de quoi il en retournait. Ponctuant sa phrase d'un - Tu t'en souviens maintenant ? très coquin. encore plus lorsqu'elle vint à me mordiller le lobe de l'oreille, re-déclenchant une soudain pulsion.

- Comment oublier cela, mon cœur.

Je l'arrêtais un instant, afin de déposer un doux baiser sur ses lèvres pulpeuses qui me faisaient toujours envie. C'était incroyable à quel point elle pouvait me faire me sentir bien. elle savait toujours quoi dire ou faire pour arriver à nos fins partagées. L'on ne tarda pas à se presser à la maison, sou les regards de quelques gens à qui j'aurais bien collé mon poing dans la figure si je n'étais pas si désireuse de partager cette après-midi avec ma douce, profitant de ce bout de congés.

Arrivé devant la porte, le livreur nous attendait. Il nous lança un drôle de regard lorsqu'il nous vit man dans la main, certainement se doutant perversement de ce que contenait notre colis. Nous le remerciâmes rapidement, bien trop pressé pour blablater avec lui. Une fois le livreur remercié, Jane ouvrit la porte. Sans se concerter mais tout en étant totalement sur la même longueur d'onde, nous montâmes à l'étage, dans notre chambre.

- Ouvrons vite ! J'ai hâte ! lançais-je joyeusement en me collant à Jane par derrière, mes mains autour d'elle, caressant doucement son bas-ventre.

L'on put découvrir tous nos nouveaux jouets avec envie. Nous pouvions nous le permettre et on ne se gênait pas. Je me saisis d'un emballage contenant un vibromasseur qui m'avait fait beaucoup envie.

- Oh ! Celui-là, il faut que je l'essaie sur toi. dis-je d'un sourire en haussant les sourcils de manière très très aguicheuse.

Sans plus attendre - c'était déjà bien trop - je retirais mon haut, dévoilant ainsi mon corps à ma belle qui se régalait d'avance. J'allais l'embrasser sans tarder, ses lèvres m'ayant manqué. Aujourd'hui, c'était elle et moi, un point c'est tout !

C'était tellement tentant de jouer, maintenant que nous avions nos nouveaux instruments. Il me tardait tellement de faire l'amour avec ma belle princesse. Heureusement que ce colis était arrivé ce midi ! S'il était arrivé trop tôt ou trop tard par rapport à nos emplois du temps, nous aurions était tellement frustrées !!!

Mais là, nous savions comment allait se dérouler la suite des évènements. Dès lors que j'avais pris le vibromasseur, ça avait été trop ! J'avais retiré mon haut et Jane ne se fit pas prier pour venir se coller à moi afin que le reste de mes vêtements vole au loin. Elle défaisait mon jean et je me chargeais de son haut, admirant au passage sa si douce poitrine que je ne put me retenir de toucher. Elle m'électrisait tellement ! Je sentais les papillons de mon estomac s'envoler, c'était toujours comme ça entre nous, même après toutes ces années, ça ne changeait pas que l'on se trouvait toujours amoureuse comme au premier jour.
Jane se baissa alors pour retirer mon shorty et je souris en me mordant la lèvre inférieure. J'avais une envie folle de son corps ! Il ne me fallut pas longtemps pour me baisser en caressant son corps, et retirer ce si joli string que j'aimais bien. Et nous étions nues. J'enlaçais un instant mon aimée, déposant un baiser sur ses lèvres. Ce contact de peau eut un effet dévastateur sur Jane qui s'empressa de prendre le jouet que je tenais en main et de m'emmenait vers la douche. J'en salivais d'avance !

Ma compagne ouvrit l'eau pour qu'elle chauffe et ce fut bien rapidement que l'on referma les portes de la cabine. A peine entrer que ma Jane me donnait un baiser que je lui retournais avec tant de plaisir et d'amour. Passant mes mains le long de son dos, je me laissais plaquer contre le mur, dévorant ma moitié de baisers dans le cou alors que celle-ci jouait avec le gode à titiller mon point sensible. Oups ! Par accès de plaisir intense, je l'avais mordu, pas très fort, mais c'était tellement enivrant de sentir ces vibrations.

- J'ai envie de toi... parvins-je à souffler en gémissant.

Elle continuait et je me laissais aller. Laissant ma main glisser jusqu'à sa partie intime, je caressais son sexe avant d'introduire mon doigt en elle, la faisant se cambrer.