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| Encore l'illusion qui se brise, encore ce bonheur de malheur | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Encore l'illusion qui se brise, encore ce bonheur de malheur Mer 27 Avr - 0:39 | |
| Kennedy Smith
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Holden Turner Holden fixai le plafond de sa chambre. Sa mère était partie, maintenant son"frère" devrait plus tarder à se sauver. Il guetta les yeux fermés. La porte du garage claqua. Un soupire quitta ses lèvres à l'instant même. Il était enfin débarrassé de lui. Du moins jusqu'au soir. Il se leva et entrouvrit la fenêtre pour voir, au loin, la voiture tourner au coin de la rue. Un fois celle-ci hors de vue, le jeune héritier remarqua qu'il faisait moche aujourd'hui. Il ferma sa fenêtre sans plus attendre. Aujourd'hui il ne sortirai pas. Le paysage gris au-dehors ne l'attirait absolument pas. Alors que faire? Il descendit vêtu de son bas de pyjama et de son marcel, tout deux en cotons. avant de voir sa belle-sœur dans le canapé.
Je fis le tour pour accéder à l'autre entrée du salon et me retrouver derrière le canapé. Je m'accroupissais à hauteur de une tête au-dessus de sa tête avant de me manifester d'un "bouh". La jeune fille sursauta mais bascula tranquillement (ce qui peut paraître paradoxal mais elle devais avoir reconnu ma voix) sa tête en arrière vers moi. Je souriais, même des yeux, avant de déposer un baiser sur don front:
"Alors sœurette, belle matinée?"
Je restai là à attendre sa réponse. J'adorais ma belle-sœur, elle était adorable est apportait un nouveau jour dans la demeure familiale. Le seul bémol dans notre famille était son mari, ce traître, qui n'aurait jamais du revenir...
Dernière édition par Holden Turner le Sam 30 Juil - 12:09, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Encore l'illusion qui se brise, encore ce bonheur de malheur Jeu 28 Avr - 0:43 | |
| Comme d'habitude, Kennedy s'ennuyait à mourir. Pff, son mari était encore en vadrouille et sa belle-mère était également partie elle-ne-sait-où. Elle était désormais seule. Enfin non, pas totalement, son beau-frère était dans la pièce d'à côté. Mais Miss Smith avait décidé de ne pas en tenir compte, il devait sûrement être déjà bien occupé avec une des minettes qui lui tourne autour en permanence, ou alors à faire autre chose qu'elle ignorait. A vrai dire, elle s'en fichait pas mal là, elle regardait la télé là et elle se marrait bien. La chaîne diffusait actuellement un reportage sur une cassos qui voulait à tout prix devenir une Barbie. Pathétique!
Elle laissa échapper un rire quand la nana en question commença à présenter sa chambre toute rose et sa collection de poupées. Il y en avait même une à son effigie. Kennedy entendit soudain une porte s'ouvrir. Ah voilà, il sortait de sa tanière. Un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal, après tout. Holden avait essayé de l'effrayer avec son «bouh» peu convaincant, mais sa tentative n'avait a priori pas eu l'effet escompté. Kennedy l'avait entendu arriver, dommage. D'ordinaire, elle aurait hurlé de peur, chochotte comme elle l'était.
La jeune femme bascula sa tête en arrière pour croiser son regard et tout naturellement son beau-frère vint lui déposer un baiser sur le front. Il était de bonne humeur aujourd'hui, on dirait. Elle fit une tape sur la place à côté d'elle sur le canapé pour l'inviter à la rejoindre sur le divan. Holden lui demanda comment sa matinée se passait.
« Oui, Mark est encore parti, je m'ennuie un peu mais je m'occupe. »
Répondit-elle, en pointant du doigt le téléviseur, d'un air amusé. Puis elle ajouta en souriant:
« Et toi, alors? »
Holden était étrange avec elle. Lunatique, elle dirait même. Parfois, il était totalement adorable et se montrait même très affectueux. En revanche certaines fois et surtout en présence des autres membres de la famille, il devenait froid et distant, voire même un peu cassant. Pourquoi ces changements d'attitude soudains? Elle n'en savait trop rien et à vrai dire elle préférait ne pas lui poser la question. Il semblait de bonne humeur ce matin, elle ne voulait pas que ça change. |
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| Sujet: Re: Encore l'illusion qui se brise, encore ce bonheur de malheur Jeu 28 Avr - 17:22 | |
| Je venais d'embrasser ma sœurette chérie avant de lui demander comment elle allait. Sa réponse ne m'étonna pas mais c'est quand même en souriant qu'elle s'ennuyait alors que son mari était parti. Je la fixai, l'œil malicieux, quelques secondes avant de m'allonger sur le canapé en posant ma tête sur ses genoux avant de lui répondre:
"Maintenant je vais bien!"
J'attrapai ses mains pour les poser dans mes cheveux, l'invitant par là à me les caresser. Elle paraissait de bonne humeur malgré le fait que son a-do-ra-ble mari soit parti on ne sais où. Je me tournai vers l'écran pour observer avec horreur une pièce toute rose. *Beurk c'est quoi ce truc encore*. Je quittai immédiatement la télé de peur de tomber dans les pommes avant de demander à Kennedy:
"Dis... euh... c'est quoi ça? Le retour de barbie? Nan mais sérieux ça ferai un bon film d'horreur!!!"
Je n'osai reportai mon regard à l'écran de peur que l'espèce de dinde à l'écran ne déballe plus de fanfreluche qu'elle n'en avait déjà montrer. Je souriais plutôt à ma belle-sœur avant de lui demander non sans-arrières pensées:
"Hé sinon... bien dormi?"
Cette question anodine était posée sans la moindre pudeur malgré tout ce qu'elle pouvait sous-entendre. C'est donc amusé que j'attendais une réponse tout aussi indiscrète même si la jeune fille se montrait parfois très pudique... |
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| Sujet: Re: Encore l'illusion qui se brise, encore ce bonheur de malheur Ven 29 Avr - 18:30 | |
| Pourquoi autant d'affection tout à coup? Non, vraiment, Kennedy ne comprenait pas toujours son beau-frère qui soit dit en passant l'appelait tout le temps "sœurette". Fâcheuse habitude, ils n'étaient que beaux-frères et sœurs. Bref, la jeune femme n'arrivait pas à déceler les raisons de cet élan de tendresse si soudain. Holden prit ses mains pour les lui mettre dans ses cheveux. Elle les y laissa quelques instants avant de les ôter doucement.
Il voulait lui demander un truc, ou quoi? C'était pas normal. Devant son frère ou sa mère, il ne se gênait pas pour la tailler, pour bien lui montrer qu'elle était inutile et que la seule chose qu'elle faisait depuis son arrivée était de taper dans le porte-monnaie de sa belle-mère, et qu'en gros elle s'était crue dans un hôtel-restaurant en arrivant chez les Turner. Cela blessait profondément Kennedy chaque fois que son beau-frère faisait cette remarque. Peut-être que pour lui c'était cette impression qu'elle donnait, mais dans son esprit à elle ce n'était pas du tout le cas.
Pourquoi alors lorsqu'ils étaient tous les deux il se montrait si adorable? Kennedy ne pouvait s'empêcher de se poser la question chaque fois qu'il agissait ainsi, comme s'ils étaient les meilleurs amis du monde et même plus. La brunette rit à la remarque de son beau-frère lorsqu'il vit l'émission de fous qu'elle était en train de visionner.
« Ouais, j'ai bien dormi. »
Répondit-elle simplement. Quoi, il voulait plus de détails? Non mais dis donc! Kennedy savait Holden très curieux, et cela l'amusait parfois. Mais il lui arrivait aussi de la mettre mal à l'aise dans certaines situations. Dans ces cas-là, elle préférait contourner ses questions. |
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| Sujet: Re: Encore l'illusion qui se brise, encore ce bonheur de malheur Sam 30 Avr - 15:54 | |
| Je m'étais allongé sur le canapé, la tête sur les genoux de Kennedy avant d'attraper ses mains que je posaient dans mes cheveux mais qui, à mon grand désarroi, s'en allèrent bien vite. Ce matin malgré la bonne humeur dont je faisait preuve à l'encontre de ma belle-sœur, cette dernière semblait nettement plus réservée et pensive qu'à l'accoutumée. *Elle se sent mal ou quoi?* Je venais de lui demander si elle avait bien dormi avec un ton lourd d'insinuation, ce à quoi elle se contenta d'acquiescer avec un « Ouais, j'ai bien dormi. » peu, très peu révélateur. Nous étions encore loin d'une relation de partage et d'échange sans pudeur que je comptais finir pas avoir avec elle. Pas grave. Ma patience était grande et mon ambition d'autant plus. Je ne me laissais pas démonter par la faiblesse de ses confidences et replantai d'office mes yeux verts dans les siens. *Déstabilisant sœurette?* Je voulais qu'elle s'empourpre, qu'elle bafouille, qu'elle s'embrouille, qu'elle vive dans toutes sortes d'expression faciales passionnées et humaines, terriblement humaines que l'ennui se plaisait à cacher soigneusement. Je me relevai rapidement toujours rivé à son visage doux, ses yeux profonds, ses lèvres entrouvertes questionnant chaque parties de mon corps. J'avais envie de l'embrasser. Mais je ne le faisait pas. Je ne mettais pas encore brossé les dents. A la place je lui dis avec un étonnement non feint:
"T'as l'air bizarre ce matin, t'es sûre que tu couves pas quelque chose?"
Puis approchant doucement mon visage du sien, je soulevais sa frange pour coller mon front contre le sien. Je fermai les yeux, restant ainsi quelques secondes. Avant de les ouvrir, l'œil désireux, le cœur battant et de reculer. Je souris avant de reprendre:
"Tu ne semble pas avoir de fièvre, à moins que j'en ai moi aussi, ce qui fausserai mon diagnostique!"
J'attendais sa réaction en souriant sans forcer sur ma mâchoire, un sourire simple, naturel... |
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| Sujet: Re: Encore l'illusion qui se brise, encore ce bonheur de malheur Mer 18 Mai - 23:20 | |
| Il jouait avec elle. Est-ce qu'elle aimait ça ou non? Elle n'en avait pas la moindre idée.. En fait si, elle connaissait la réponse à sa question: elle adorait ça. Mais elle luttait pour ne pas montrer, et pour simuler l'indifférence. Son mari s'en fichait tellement d'elle que ça lui faisait vraiment plaisir que quelqu'un pour une fois lui accorde de l'attention. Avec son mari il y avait encore de l'affection, ils étaient presque un vieux couple, la routine s'était installée depuis longtemps, ils ne faisaient presque plus l'amour, sortaient peu en amoureux, et les disputes étaient quotidiennes. Holden, lui, prenait soin d'elle. Elle l'appréciait, mais gare à ce qu'elle n'y prenne pas trop goût.
Quelques autres hommes dans le quartier avaient tenté d'approcher la sauvage Kennedy. Le dom juan Jay Black en était un exemple. Mais bien vite ce dernier avait abandonné toute idée de séduction avec la jolie brune qui s'était montrée très froide avec lui. Kennedy savait Mark très jaloux, il pouvait s'emporter très facilement lorsque un individu de sexe masculin parlait à son épouse. C'est pourquoi elle évitait de trop côtoyer la gent masculine. D'un côté elle ne voulait pas s'attirer les foudres de son mari, mais d'un autre, elle commençait à prendre un malin plaisir à faire des bêtises comme pour se venger de son abandon, et dans sa tête quand elle le voyait à chaque fois elle se disait "si tu savais".
La jeune femme secoua la tête de gauche à droite tout doucement. Non, elle n'avait pas de fièvre. Elle brûlait juste d'envie.
« Ne t'en fais pas, je ne suis pas malade. »
Dit-elle malicieusement. Depuis qu'elle n'était plus chez ses parents, qui s'occupait de son état de santé, qui lui demandait quand elle faisait une petite mine si elle était malade? Personne ici, à part Holden. Il aurait pu être pour elle comme un frère qu'elle n'a jamais eu, mais il était bien plus que ça.
« Je crois juste qu'il fait un peu chaud, ici. »
Constata-t-elle, un demi-sourire aux lèvres en se levant pour aller entrouvrir la fenêtre du salon, avant de se rasseoir aussitôt sur le sofa aux côtés de son beau-frère. Qu'est-ce qu'il avait à la fixer comme ça? |
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| Sujet: Re: Encore l'illusion qui se brise, encore ce bonheur de malheur Mer 25 Mai - 11:31 | |
| La jeune fille n'était pas malade, c'est ce qu'elle affirma en secouant doucement la tête d'une manière affreusement mignonne, comme si je ne le savais pas. La pièce était tellement chargée de phéromones sexuelles qu'une prude y entrant ce serait aussitôt évanouie. La chaleur n'était que fièvre d'envie si bien que Kennedy, n'y tenant plus, devisa qu'il faisait un peu chaud ici avant de se lever pour aller ouvrir la fenêtre, je me rassis, de manière négligée, sans la quitter des yeux une seule seconde. Elle revînt lentement vers moi, se rasseyant à mes cotés. Je lui offrit mon sourire ravageur, arrêtant de la regarder comme s'il s'agissait d'une confiserie avant de lui dire d'une voix douce:
"Si tu as chaud, nous pouvons aller nous rafraichir dans la piscine ou autre chose, étant dans mon jour faste, je peux même te proposer un massage rafraichissant!"
J'achevai ma phrase par un clin d’œil. Oui aujourd'hui c'était quartier libre. Nous étions de jeunes gens, perdu dans une immense maison qui regorgeait de secrets. La vie était bien faite. La sauvage Kennedy ne se laissait pas dompter aussi facilement alors être 5 jours sur cette enfermés ensemble entre ces 4 murs, rendait la partie plus intéressant et les infinies possibilités, plus à même de se produire. J'ajoutai sur un ton moqueur:
"Au pire... Rien ne t'empêche de te débarrasser du surplus vestimentaire si tu as trop chaud"
Et comme pour illustrer cette idée, je retirait mon haut de pyjama, lui laissant toute l'oisiveté de contempler mon corps musclé et fin, façonné par le sport et les excellents gènes dont j'étais constitué... |
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| Sujet: Re: Encore l'illusion qui se brise, encore ce bonheur de malheur | |
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