Enfin une autre semaine de terminée. Il était temps, car je dois avouer que j’avais particulièrement hâte que celle-ci soit terminée. Je me réveillai donc en ce samedi matin dans les environs de 10 heures. Après tout, je pouvais bien me le permettre, la fin de semaine est faite pour reprendre du poil de la bête. Déjà à peine réveillé, je pouvais entendre Elias avec Ben et Shelby s’obstiner sur tout et rien tout en disant un grand nombre de conneries. Je m’enfouis donc la tête sous les oreillers afin de ne plus les entendre, mais il était déjà trop tard, je savais que je ne parviendrais plus à m’endormir, et ce, même si j’essayais du mieux que je pouvais. Je pris finalement l’initiative de me lever au lieu de rester dans mon lit à me tourner sans arrêt. Je regardai par la fenêtre et remarquai qu’il faisait soleil. Cela serait donc excellent pour une petite sortie tranquille. En même temps, de cette manière je n’aurais pas à entendre tout ce vacarme et pourrais être tranquille. J’avais envie d’être un peu seul en cette journée, pas parce que je n’allais pas bien, malgré le fait que je n’étais pas non plus l’homme le plus heureux du monde, mais tout simplement parce que parfois, cela nous permet de réfléchir et de penser à toute sorte de choses et de faire un peu de ménage dans nos pensées. Je filai donc directement dans la salle de bain pour prendre ma douche et par la suite je décidai tout de même d’aller manger un petit truc, question de ne pas avoir le ventre vide. Je saluai la troupe tout en préparant ma nourriture et lorsque j’ai eu terminé de manger je leur dit :

"Je vais sortir pour aller profiter du beau temps dehors et je ne sais pas quand je vais revenir, alors je vous souhaite une bonne journée si on ne se croise pas et ne faites pas trop de conneries surtout."

"Ok pas de problème, passe une belle journée toi aussi."

J’étais enfin prêt à partir, mais je me devais d’aller me prendre un livre avant. Il y en avait justement un que j’avais commencé et que je n’avais pas encore terminé et qui était excellent alors ce sera une bonne occasion de le terminer fort probablement. J’allai tout d’abord au parc, où je m’assis sur un banc et me mis à lire. Je fus tellement absorbé que finalement je dévorai celui-ci d’une traite jusqu’à la fin. Avec tout ça, il était déjà rendu la fin de l’après-midi, mais je n’avais toujours pas envie de rentrer chez moi immédiatement. Je pris donc le chemin pour aller vers le Gordon Coffee pour aller prendre un petit café et regarder le monde passer tout en relaxant.

[…]

Rendu sur place, je remarquai qu’il y avait quelques personnes, mais c’était tout de même tranquille. Je me rendis au comptoir et commandai mon café. Pendant que j’attendais ma commande, je me surpris à me laisser emporter par la musique qui jouait.



Toujours en attendant ma commande, je me retournai et remarquai que Claire était assise à une table seule et en retrait. Elle est toujours aussi ravissante avec ces beaux longs cheveux qui caressaient doucement sa nuque, un sourire si chaleureux, un regard trop craquant et un air si fragile qui donne juste le goût de la serrer fort dans ses bras. Après ce qui s’était passé entre nous, je sais que ce n’était probablement pas la bonne chose, mais je ne sais pas pourquoi j’avais tout de même envie d’aller près d’elle pour être en sa compagnie. Je devais être honnête avec moi-même : cette fille m’attire et je ne saurais trop quels sentiments je ressens pour elle. Perdu dans mes pensées, je fus ramené sur terre par la serveuse me donnant mon café. Je la payai donc, pris mon café et bien évidemment je marchai vers elle pour aller la rejoindre. Je posai mon café sur la table et de mon autre main je lui touchai légèrement l’épaule et lui demanda :

"Bonjour Claire, puis-je m’asseoir avec toi?"

Dure journée chez le clan O'Conell... une grosse dispute entre Adrian et Heathcliff ne m'a pas du tout donné envie de retourner chez moi après les cours. Dès huit heure ce matin je pouvais entendre mes deux frères se crier des bêtises par la tête. Un disant à l'autre qu'il sortait trop et qu'il ne s'occupais pas de la famille et l'autre disant à l'autre qu'il travaillais trop et qu'il ne s'occupais pas plus de la famille ni de la petite soeur, en l’occurrence moi. Pourquoi je devais toujours entendre mon nom dans chacune de leur dispute? Et puis... pourquoi c'est toujours dans ses moments la que Adrian se souvenait de ma présence au seins du clan O'Conell?

Bref... une chance que j'avais des cours ce matin sinon je ne sais pas ce que j'aurais pu faire. Je me dépêcha d'attraper toute mes choses puis je passais par la porte arrière de la maison, pour éviter de tomber face à face avec mes frères. Dans ses moments la, il valait mieux les laisser sortir le méchant, sinon ce n'étais pas très beau à voir...

Quinze minutes après avoir quitter la maison j'étais dans le stationnement de l'université. J'avais seulement deux cours aujourd'hui mais un de trois heures et un de quatre. Heureusement qu'ils étaient tout les deux très intéressant sinon je ne sais pas comment j'aurais pu passer au travers de la journée... Mon cours de trois heures terminé, je me rendais tranquillement vers la salle de cours du deuxième cours lorsque je vis une notice sur la porte disant que le cours étant annulé puisque le prof était malade. Un mince sourire me vint au lèvres. Finalement j'allais passer moins de temps que prévu en cours ce qui allait me laisser plus de temps pour faire mes travaux. Je regardais l'heure et vit qu'il n'était pas encore midi. J'allais donc me chercher quelque chose à manger et hop, direction la bibliothèque.

Prise par mon travail, je ne vis pas l'heure filer. Ce n'est que lorsque je sentis mon ventre gargouiller que je levais la tête pour regarder l'horloge. Il était près de quatre heure! Je décidais donc que j'avais assez travailler pour aujourd'hui et qu'il était temps pour moi d'aller faire un petit stop au gordon coffee pour aller me chercher un bon café.

[...]
J'étais assise depuis un peu moins de quinze minutes lorsque je sentis la main de quelqu'un se poser sur mon épaule. Je retirais mes écouteurs, puisque j'étais en train d'écouter de la musique et je levais la tête. Un sourire s'afficha sur mes lèvres lorsque je vis Edmond face à moi.

-Oui oui assied toi sans problème.

Je rapatriais mes affaires en vitesse pour faire un peu plus de place à Edmond. Toujours ce mince sourire sur mes lèvres, je me disais que c'était plus qu'une ironie que je le rencontre ici puisque j'avais pensé à lui une partie de la journée. Sans trop savoir pourquoi son nom n'avait pas quitter mon esprit aujourd'hui.... Peut être était-ce aussi parce que le personnage d'un de mes travaux que je faisais en écriture dramatique se nommais Edmond... Enfin bon.

-Ça fait un moment qu'on ne s'est pas vu.

Claire accepta que je m’installe avec elle. J’étais content qu’elle accepte et elle semblait également heureuse de me voir. Elle me fit de la place avec un léger sourire afin que je m’installe. Je déposai donc mon café et une fois assis, elle me dit :

« Ça fait un moment qu'on ne s'est pas vu. »

« Oui c’est vrai. Ces derniers temps j’ai été un peu occupé, mais je suis très heureux de te voir ici. Tu es toujours aussi ravissante d’ailleurs. »

En réalité, on aurait probablement eu plein d’occasions de se voir, mais je crois qu’après ce qui s’était passé, on s’est peut-être évité un peu. Mais ce n’était pas parce que on s’en voulait au contraire, pour ma part j’avais très envie de la revoir, mais il fallait que je pense à tout ça et avoir les idées claires. Le seul problème, c’est que je ne suis toujours pas fixé à savoir ce qu’il en est vraiment. Enfin, peut-être que cette rencontre inattendue m’aiderait dans mes pensées.

« Est-ce que tu vas bien? Ta journée s’est bien passé? »

Je lui lançai rapidement deux questions sans lui avoir laissé le temps de répliquer. J’avais hâte de savoir comment elle se portait. En plus j’aime l’écouter parler, elle a une façon de dire les choses bien à elle. C’est comme une mélodie qui vient m’envahir et qui me captive. Je pris donc une gorgé de café qui avait refroidit, mais pas trop, juste assez pour qu’il soit à la bonne température pour le boire sans me brûler. Pendant qu’elle me répondait, je me perdais dans ses yeux et comme d’habitude, je faisais tout pour qu’elle ne s’en rende pas compte. Je ne voulais surtout pas qu’elle se doute trop de ce que je ressentais. Enfin, pas tant que je ne le saurais vraiment moi-même. J’aime m’imaginer ce que serait mon avenir si j’étais avec elle. Je pense que l’on serait bien, mais pourquoi j’hésite autant alors? C’est peut-être parce qu’il y a Evane aussi que j’aime bien, mais elle aussi c’est plutôt complexe. Mais pourquoi c’est si compliqué de me décider? Bref, je crois que je vais encore prendre un peu de temps pour réfléchir et on verra bien ce qui arrive par la suite. Et s’il ne se passe rien, bien je prendrai les choses en main et je clarifierai les choses avec les personnes concernées une bonne fois pour toutes parce que là c’est pénible de toujours se poser un million de questions.

Je sens le rouge me monter au joue lorsqu'il me dis que je suis toujours aussi ravissante. Je lui souris timidement et prend une gorgée de mon café. Il me dit qu'il est très occupé, ce qui n'est pas surprenant. D'ailleurs moi aussi j'ai un emplois du temps assez remplis. Et puis c'est peut être aussi parce que suite à ce qui c'est passé entre nous, je n'avais pas vraiment envie de le voir. Enfin pas dans le sens méchant du terme, mais plus dans le sens que c'est rendu un peu...mal à l'aise entre nous? Ce qui s'est passé à été un moment du pur folie mais bon, je dois admettre que c'était bien, même très bien et que je ne détesterais pas revivre ça un jour ou l'autre... Bref..

Il me demanda alors comment s'était passé ma journée et si j'allais bien. J'haussais les épaules simplement avant de lui répondre un truc bien banale.

-Ouais ça va et puis ma journée s'est pas trop mal passé, si on oublier l'éternel dispute de famille du clan O’Conell. Mes frères se sont pris la tête de bonne heure ce matin. À huit heure ils étaient en train de s'obstiner sur tout et n'importe quoi. Si ils le pouvaient ils s'obstinerais sur le fait qu'ils portent la même marque de caleçons.

J'eu un second petit sourire amusé, puisque je savais que cette dispute avait déjà eu lieux il y a quelques temps. Comme ils ont la même marque de caleçons, il arrive que je ne sachent pas lequel est a qui et que je me trompe en distribuant le linge et quand ça arrive ça crée une guerre monumentale. Je prend une autre gorgée de mon café et pose mon regard sur Edmond.

-Et toi comment va tu?

Je remarquai que mon compliment la fit rougir légèrement et elle prit une gorgée de son café afin de détourner l’attention un peu. C’est vrai qu’après ce qui c’était passé entre nous, il planait probablement un léger malaise. Mais bon, ce n’étais pas la fin du monde. Personne n’était mort et il n’y avait rien de mal dans ce qu’on avait fait. D’ailleurs, il faudrait peut-être que je vois cela avec Heathcliff pour ne pas qu’il panique, car je sais à quel point il est protecteur envers elle. C’est un bon ami et une bonne personne. Je ne voudrais pas qu’il m’en tienne rigueur. Enfin, je pris une gorgé de mon café pendant qu’il était encore juste à la bonne température.

Après lui avoir demandé comment sa journée s’était passée, elle me répondit :

" Ouais ça va et puis ma journée s'est pas trop mal passé, si on oublier l'éternel dispute de famille du clan O’Conell. Mes frères se sont pris la tête de bonne heure ce matin. À huit heure ils étaient en train de s'obstiner sur tout et n'importe quoi. Si ils le pouvaient ils s'obstinerais sur le fait qu'ils portent la même marque de caleçons. "

Effectivement, ce n’était pas toujours reposant de vivre dans la maison des O’Connell. Ce sont de bonnes personnes, mais comme chacun, ils ont leurs mauvais côtés. Après m’avoir raconté sa journée, je la vis avoir un second sourire amusé comme lorsqu’on pense à quelque chose dans notre tête, mais sans le dire à haute voix. Elle est vraiment craquante avec ce sourire d’ailleurs. Elle prit une autre gorgé de son café et recommença à me parler :

" Et toi comment va tu? "

" Je vais quand même bien. J’ai décidé de profiter du beau temps d’aujourd’hui pour aller lire un bouquin au parc et relaxer. Quand je me suis levé, les garçons à la maison étaient, comment dire, encore turbulents " Dis-je en riant. " Alors l’occasion était parfaite pour sortir. En plus cela va m’avoir permis de te voir alors je suis très heureux. "

Lui dis-je en lui faisant un sourire. Je repris mon café et pris une autre gorgée avant de reporter mon regard sur son visage ravissant.

Toujours en ayant ma tasse de café en main, je regarde discrètement Edmond. On dirait que je le trouve encore plus beau que la première fois ou je l'ai vue, bien avant que nous ayons notre aventure d'un soir. D'ailleurs je n'arrivais pas encore à comprendre comment ça avait pu arriver, bien que j’aie fortement apprécié ce moment. Pendant un moment j’avais tenté de reconstituer cette scène dans ma tête. Nous étions tout simplement en train de parler, puis une chose avait mené à une autre et tout naturellement nous nous étions retrouvé au lit ensemble. Pourtant avant cela, je n’aurais jamais cru que j’allais coucher avec Edmond. Je l’avais toujours trouvé magnifique je dois l’admettre, mais j’étais loin de m’imaginer que ça allait se rendre jusque-là.

Je venais de lui dire comment je me sentais, tout en expliquant que, encore une fois, ce matin il y avait eu une guerre monumentale à la O'Conell. Ce n’était peut-être par grave pour lui, mais pour moi c’était mon train quotidien. Une guerre n’attendait pas l’autre avec le climat de tension qui régnait à longueur de journée dans le domicile familiale. C'était ce qui expliquait pourquoi j'étais ici et non à la maison. Je pris une autre gorgé de mon café avant de lui renvoyer la question. Et lui, comment il allait depuis notre dernière rencontre? Il me dit qu'il allait bien, ce qui me fit sourire. Puis il dit que les garçons, à savoir Elias et Benjamin était encore turbulent lorsqu'il s'était réveiller. Pauvre lui, ce ne devait pas être de tout repos de vivre dans le même appartement que ses deux mecs! Juste à lui, Elias prenait de la place pour trois.

Il me dit que le fait de m'avoir croisé par hasard le rendait heureux, ce qui, encore une fois me fit sourire. Je baissais les yeux vers ma tasse de café quelques seconde.

J'allais dire quelque chose lorsque je reçu un mail sur mon téléphone. J'allais le voir, pensant que c'était quelqu'un d'une de mes classes qui m'écrivait pour un travail qu'on avait à faire en équipe. Je vis alors que c'était Dirty qui venait de poster un nouvel article. Je poussais un soupir

-Cette pute de dirty a encore frapper

Dis-je tout en allant voir l'article en question. Je voulais savoir si elle s'en était prise à quelqu'un que je connaissais. Je le lu vite, mais mon regard fut attiré par un paragraphe en particulier. Je reconnaissais des initiales dans l'article... ses initiales étaient les miennes et celle de gens de ma famille. Tout d'abord j'apprenais que cliff était en couple avec Annie!! Puis en lisant un peu plus je vis qu'on mentionnait Joey... et un fils illégitime... Quoi?!? J'avais un autre frère? J'allais arrêter ma lecture à cette phrase lorsque qu’une phrase en particulier me figea sur place.

«Surtout après avoir appris que leur petite sœur adorée, Cl. O’. est en amour avec une fille… mais si voyons, avec Jo.Ki.»

Je sentais mon sang commencer à bouillir dans mes veines. Les larmes commençaient à me monter aux yeux. Ce n'était tout de même pas possible ça!!! J'étais surement en train de rêver. Je du relire cette phrase au moins trois fois avant de me rendre à l'évidence. Dirty Secret venait de dévoiler mon amour pour Joy au grand jour... Tout le monde allait donc savoir que j'avais un penchant pour les femmes.

Je serais le poing, tentant de reprendre mon calme, mais j'en étais incapable. Je déposais mon téléphone avec force sur la table, ce qui fit renverser un peu de mon café. J'étais prise par plein d'émotion en même temps. D'un côté j'étais en colère puisque je venais d'apprendre bien trop de choses en même temps sur ma famille, mais d'un autre j'étais complètement dévasté.... Comment allais-je pouvoir me montrer aux autres alors qu'ils savaient un de mes secrets? Et puis, comment Dirty avait pu l'apprendre? J'avais été assez discrète à ce sujet... C'était impossible. J'avais l'impression de rêver.

Je levais la tête pour voir l'air incrédule d’Edmond. J'étais presque en train de l'oublier celui-là... trop prise par le drame qui venait de me tomber sur la tête. Je posais mon regard sur lui et automatiquement des larmes se mirent à couler de mes yeux. Qu'allais-je faire a présent? Comment mon entourage allait prendre la nouvelle? Et mon père surtout? Il allait surement m'empêcher de sortir pour les prochains siècles.

-D...Dirty... elle...

Je n'étais même pas en mesure de lui dire pourquoi j'avais ce soudain élan d'émotions.

-Elle.... elle parle de moi...

Dis-je en portant une main à ma bouche. Tout ceci était tout simplement irréel. J'avais l'étrange sensation que j'étais dans une rêve et que j'allais finir par me réveiller. Je repris mon téléphone pour revenir à l'article et lui tendais, pour qu'il voit de quoi je parlais.

-Ed... dit moi que je rêve s'il te plait...

Dis-je d'une toute petite voix éteinte avant de reprendre ma tasse de café. Je commençais à broyer du noir. Jamais je n’avais eu dans la tête que Dirty pouvait s’en prendre à moi par rapport à cela. Tant qu’à moi, j’aurais préféré qu’elle dévoile un autre secret… tout mais pas cela. Comment allais-je pouvoir aller à l’école et faire comme si de rien n’était? Je venais littéralement de ternir la si grande réputation de la famille O’Conell. Je fermais les yeux, restant complètement silencieuse. Je commençais à avoir l’impression que tous les gens présent dans le café étaient en train de me regarder. Et si… comme moi ils venaient de lire l’article et que, par ma réaction de tout à l’heure je venais de leur mettre la puce à l’oreille? Bref j’étais littéralement prise de panique. Je n’arrivais aucunement à gérer toutes les émotions qui se bousculaient en moi présentement. Je me sentais complètement vulnérable.

Je reposais mon regard sur Edmond, cherchant à voir sa réaction lorsqu’il allait lire les phrase qui m’avaient fait tressaillir de peur lors de ma lecture. Comment allait-il réagir lui? Allais-je le faire fuir? Allait-il rester à mes côtés? Tant de questions… et si peu de réponse….