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She needs us, dude!

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MessageSujet: She needs us, dude! She needs us, dude! Icon_minitimeJeu 4 Juil - 0:55

Mariée depuis plusieurs années, elle avait décidé de quitter cet homme qui, par sa jalousie et sa possessivité lui rendait la vie impossible. Elle était devenu cette femme craintive, prisonnière d'un homme qu'elle ne reconnaissait plus, et qu'elle s'évertuait à aimé malgré les coups qu'il lui infligeait chaque soir lorsqu'elle rentrait de son travail. Elle avait donc mis fin à leur aventure de 15 ans, décidée à ne plus se laisser retomber dans ses bras. Elle avait emmené avec elle leurs deux enfants, une grande fille, 17 ans, et leur fils, 12 ans. Ils s'étaient réfugiés chez leurs grands parents tandis qu'elle mettait un peu d'argent de côté pour pouvoir se payer un nouveau toit. En attendant, elle devait supporter cet ex-mari, qui ne pouvait s'empêcher de la harceler, à chaque heure. Un texto, un message vocal... Pire, il l'attendait même le soir devant son travail, espérant pouvoir la ramener chez eux, mais elle ne cédait pas. Même si la tentation était trop grande, elle avait cette part de responsabilité et cette certitude que temps qu'elle ne se remettrait pas avec cet homme, elle se préserverait d'un mauvais coup, le plus fatal... Elle éviterait de mourir tout simplement. Mais à trop éviter le mal, voilà qu'il se transforme en machine destructrice. Il l'avait bien prévenu. Si elle ne revenait pas, il s'en prendrait aux enfants. Dans des lettre qu'il lui adressait chaque jour, il lui disait que tout était de sa faute, et qu'il avait la ferme intention de la punir en lui enlevant ses enfants. Seule, apeurée, elle n'avait pu rien faire si ce n'est alerter les autorités. On lui avait dit que temps que l'homme n'avait pas fauté, il serait impossible de l'inculper sans réel motif. Un appel au secours qui n'avait donc pas été entendu, pas pris au sérieux. Ce n'est sans surprises que quelques jours plus tard, le mari malintentionné s'introduisait chez les parents de son ex, et abattait froidement d'un coup de 38 millimètres ses deux enfants, alors qu'ils étaient tranquillement devant la télévision. Il retourna ensuite son arme contre lui, avec la ferme intention de mettre à son tour fin à ses jours. Mais le malheureux rata son coup. Une balle mal logée dans un coin de son crâne ne lui fut pas fatal. Il finit à l'hôpital, où après une bonne semaine de coma, il se réveilla. Quelques mois passèrent, et son procès pour double homicides volontaire s'ouvrit. Adrian se portait avocat de la partie civile, prêt à défendre cette femme qui avait tout perdu, sauf sa colère et sa tristesse.

Cette affaire, Adrian voulait la gagner comme toujours, et travailler avec Fred était une sage décision. Cet homme connaissait bien la justice, et ses conseils ne pouvait qu'orienter Adrian dans de bonnes directions. Cela faisait des mois qu'ils ne s'étaient pas vu ni associés dans une affaire pareille. C'est donc motivé que l'avocat avançait jusqu'au domicile de Fred, car ce matin là se tenait leur toute première réunion autour de cette affaire. O'Conell frappa donc à la porte de son ami, qui ne tarda pas à lui ouvrir. Il se présenta à lui avec un grand sourire. "Salut Warrior! Comment vas-tu? J'ai apporté une bonne bouteille et quelques cigares comme à la bonne époque! Nous en aurons bien besoin, nous avons encore du pain sur la planche! " déclara t'il .
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MessageSujet: Re: She needs us, dude! She needs us, dude! Icon_minitimeVen 5 Juil - 10:06

Cela faisait un moment que je faisais du ménage dans la maison en particuliers dans mon bureau. Je me laissais porter par mon coté maniaque dans toute sa splendeur mais je n'aimais pas vivre dans le désordre mais imaginaire. Il y avait mieux à faire surement pour son jours de congé mais cela me détendais et me changer les idées de mes dossiers juridique parfois sordides. Et Lauren s'était absenté pour le week-end du coup j'en avais profité pour commencer a 6h du matin.

J'étais dans les produits d’entretien jusqu'au cou je venais de finir la cuisine quand mon téléphone portable se mit à sonner. Je retirais les gants en latex et répondit à l'appel. C'était Adrian qui voulait me voir pour  mettre en commun une stratégie pour faire gagner une cliente. Nous décidions donc de se voir dans une demie heure chez moi.

Je rangeais donc les ustensiles, jeta un coup d’œil dans les pièces de la maison mais j'avais eu le temps de finir sauf la chambre mais je ne pensais pas qu'on en aurait besoin avec Adrian du coup cela ne me dérangeais pas outre mesure. Et objectivement la maison était déjà niquel à la base.

J'allais donc prendre une douche rapide comme à mon habitude et alla enfiler un jean et un tee shirt tout simple je n'allais pas mettre un costard pour rester chez moi. Je regardais l'heure à ma montre il était presque 9h Adrian n'allait pas tarder. J'avais préparer une cafetière pleine de café bien serré je sentais qu'on allait en avoir besoin. Je venais de poser deux tasses sur le plan de travail quand on sonna à la porte.J'allais ouvrir en souriant et assez intrigué je l'admets de savoir en quoi consistait son dossier.

Salut! Quelle bonne idée! Tu sais comment me tenter moi qui essaye d'arrêter de fumer depuis des mois. Tu vas finir par me rendre nostalgique. Entres donc.

Je fermais la porte derrière lui lançant déjà des coups d’œil au dossier épais qu'il tenait sous le bras. Ouais j'étais peu être un peu trop consciencieux dans mon travail.C'est ce que j'appréciais chez Adrian son coté quelque peu décalé, il travaillait très bien mais je connaissais que lui pour amener des cigares et du vin pour travailler sur une affaire.

Je vais me servir une tasse de café, il est trop tôt pour le vin pour moi. Je t'en ramène une? Tu connais déjà où est le bureau. Vas y je serais revenu avant que tu t'en rendes compte.

Une fois qu'il me donnait sa réponse j'allais chercher le café et alla le rejoindre dans mon bureau. Je fermais la porte et entrouvris la fenêtre pour l'odeur du cigare. J'attrapais le dossier poser en évidence et me mis à lire en restant debout. A la fin j'avais un mou de dégout et de colère sur le visage.

Je me demandais pourquoi tu m'avais appelé un samedi matin mais je comprends mieux.  Pauvre femme... Comment peut-on faire cela à ses propres enfants, cet homme est un grand malade..  

J'en avais vu des horreurs durant ma carrière mais ce cas me touchais moi qui voulait fonder une famille avec ma femme je trouvais cela révoltant qu'on puisse faire cela à des enfants pour se venger de leur mère. Le point positif était que cela motivait encore plus pour le mettre derrière les barreaux pour le reste de sa vie.

Allez au travail! On va commencer par les preuves si tu le veux bien pour voir s'il a fait une petite ou une grosse erreur qui lui sera fatal. Mais avant je fumerais bien quelques taffes d'un cigare pas toi?

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MessageSujet: Re: She needs us, dude! She needs us, dude! Icon_minitimeDim 7 Juil - 1:02

"Salut! Quelle bonne idée! Tu sais comment me tenter moi qui essaye d'arrêter de fumer depuis des mois. Tu vas finir par me rendre nostalgique. Entres donc." lança Winston. Adrian afficha son plus beau sourire, retrouver son coéquipier de toujours lui faisait le plus grand bien. "Je peux te priver de cigare tu sais, si tu me le demande si gentiment. En revanche, je sais que tu y tiens, alors je ne t'ai pas oublié!" répondit l'avocat. Il entra dans la demeure des Winston, une maison toujours parfaitement en ordre. Ah ça, Adrian pouvait en prendre de la graine. Il suffisait de se rendre dans son bureau au numéro 57 pour se rendre compte qu'il n'était pas des plus organisés. Aller retrouver un dossier sous cette pile de feuilles! Heureusement, les deux hommes allaient rester ici pour leur petite réunion, Adrian s'en réjouissait d'avance. Le jeune avocat se dirigea vers le bureau de son associer, et tandis que son hôte prenait place dans son siège de PDG, O'Conell posa ses fesses juste en face. Il attrapa de sa serviette le dossier, qu'il ouvrit ensuite et déposa sur le bureau. "Je me demandais pourquoi tu m'avais appelé un samedi matin mais je comprends mieux.  Pauvre femme... Comment peut-on faire cela à ses propres enfants, cet homme est un grand malade.. ". QUOI? SAMEDI MATIN? Adrian était pourtant persuadé qu'on était vendredi. Il perdait complètement la notion du temps. De bonnes grosses vacances étaient à envisager. "Merde! J'étais persuadé que nous étions vendredi... Je crains. J'espère que je ne te dérange pas. Je peux très bien revenir une autre fois si tu préfères!" dit l'avocat, embêté. Mais son précieux associé ne tarda pas à reprendre: "Allez au travail! On va commencer par les preuves si tu le veux bien pour voir s'il a fait une petite ou une grosse erreur qui lui sera fatal. Mais avant je fumerais bien quelques taffes d'un cigare pas toi?". Adrian acquiesça et fouilla dans son blouson pour en sortir la boite de cigares. C'était vraiment d'la bonne ! Fred n'allait pas être déçu du voyage. Il en tendit un à son ami, puis lui présenta le briquet. Leur cigare, c'était un peu leur rite à chacun de leur rendez-vous, une sorte de passage obligatoire pour se mettre dans le bain et être aussi efficaces que 40 ouvriers à la tâche. Ensemble, ils planifiaient les meilleures stratégies de défenses, et Adrian ne saurait se passer de leurs collaborations. O'Conell porta à son tour un cigare à ses lèvres (une image immonde me vient en tête, je suis désolé de t'en faire part!) et tira quelques taffes. Il laissa ses yeux traîner sur le papier, et soupira: "Ca va pas être évident Fred. Il y aura là deux procès. Celui de l'ex mari tout d'abord. Mais le plus difficile pour nous sera le suivant. La victime a décidé de porter plainte contre l'état pour non assistance à personne en danger. Tout ça parce que les flics n'ont pas réagit quand elle leur à fait part de toutes les menaces qu'elle recevait de son ex'mari. Cette affaire est d'autant plus compliquée qu'il ne faut pas qu'on loupe notre coup. La victime attend vraiment de nous les meilleurs résultats pour qu'elle puisse enfin faire son deuil et tenter de se reconstruire.".
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MessageSujet: Re: She needs us, dude! She needs us, dude! Icon_minitimeLun 8 Juil - 12:51

Je venais de lire le dossier qu'Adrian avait apporté avec lui, qui était assez glauque et surtout extrêmement triste. Sacrifiés deux petites vies par vengeance...  J'en fis donc part à Adrian. Ce genre d'affaire demandait beaucoup de préparation quitte à sacrifier ses samedi.

Je rigolais devant la réaction d'Adrian. Il avait vraiment besoin de vacances s'il ne se convenait même plus quel jours on était. Je haussais les épaules.

Ne t'inquiètes pas. Je suis tout seul ce week-end Lauren est partie voir ses parents. J'étais en train de faire le ménage quand tu m'as appelé. Donc tu vois je n'avais rien prévu de palpitant pour aujourd'hui.

J'étais au contraire plutôt content qu'Adrian m'est appelé. Cela m'occupait l'esprit pour ne pas penser à ma femme. Ma grande maison me paraissait trop vide sans elle. On s'était encore disputé c'était pour cela qu'elle avait pris la voiture sans moi. Du coup je me retrouvais en solitaire sans avoir rien prévu pour m'occuper. Je fis un petit soupir distrait. Penser à cela me déprimait alors autant me concentrer sur l'affaire. C'était plus constructif et la plaignante méritait qu'on est donné notre maximum pour la défendre.

Allez au travail! On va commencer par les preuves si tu le veux bien pour voir s'il a fait une petite ou une grosse erreur qui lui sera fatal. Mais avant je fumerais bien quelques taffes d'un cigare pas toi?

Je souris comme un enfant devant une sucrerie quand je vis son collège sortir sa boîte cigare. Je n'en fumais qu'avec ce dernier, c'était un rite en quelque sorte et étrangement cela nous rendaient plus performants et concentrés.J'allumais le bâton et ferma les yeux en tirant une taffe, c'était juste à la limite du divin. Je bénis intérieurement l'inventeur de ces petites merveilles et rouvrit les yeux en souriant béatement. Les choses sérieuses pouvaient commencer j'étais prêt.

J'écoutais avec attention les précisions que me donnait Adrian. L'affaire se corsait encore plus qu'il n'y paraissait.

Surtout que c'est une lacune dans la loi. Ca va être difficile de gagner la partie contre l'état. Les flics ne peuvent rien faire s'il n'y a pas d'acte de violence que ça soit contre les animaux comme trouver un chat éventré devant sa porte, ou plus directement une violence physique, un cambriolage. Le danger du harcèlement est reconnu mais quand c'est uniquement à l'oral et à l'écrit sans réelle menace de mort les policiers ont les poings liés. C'est malheureux mais souvent ils ne peuvent intervenir que quand il est trop tard comme dans le cas qui nous intéresse.

Adrian savait aussi bien que moi tout cela mais on avait l'habitude de mettre tout à plat pour mieux voir les failles et les points forts pour pouvoir les exploiter. Cela prenait un peu plus de temps mais parfois le fait de l'entendre à haute voix donnait un angle de réflexion.

Quand au procès avec le mari il sera surement plus simple. Il a laissé des empreintes sur la scène du crime. Si on ajoute qu'il l'avait menacé de s'en rendre à leurs enfants. Malheureusement il n'est pas complètement idiot puisqu'il a attendu qu'il n'y est aucun témoin et à l'oral pour ne laisser aucune trace. Au moins on a les témoignages des collègues de la victime qui peuvent attestés qu'il l'attendait quasiment tous les soirs à sa sortie du boulot et qu'elle avait peur pour sa vie.

Les deux procès ne seraient pas évident à plaider mais il fallait reconnaitre qu'Adrian était très doué pour convaincre quelqu'un ce qui était un atout quand on était avocat.

En plus j'ai vu que c'était Stravinsky qui représente le mari. Tu auras de la chance s'il n'essaye pas de te noyer sous ses tentatives pour trouver des vices de forme ou d'annulation de preuve incessantes. Ce type est une véritable plaie. Mais comme il est moyen au niveau de l’élocution ça compense. C'est le roi des complots et des manquements policiers. Il va t'en faire baver.

Je compatissais. Je m'étais déjà trouver face à cet avocat et il avait essayé de me noyer sous la paperasse. Et pour ne rien arranger il était totalement antipathique. Ce n'était pas sa manière de travailler qui me gênais je ne saurais dire ce qui me déplaisais chez lui mais c'était certains que je n'aimais pas être dans la même pièce que lui.

Je tirais plusieurs bouffées sur mon cigare en buvant un peu de mon café en pensant à Lauren. Oui cette affaire me faisait penser à ma femme ce qui n'était pas rassurant j'en conviens. Ce qui me fit aussi faire un autre lien sans rapport avec l'affaire.

Comment vas ton petit Logan? Il fait des progrès? La dernière fois que je l'ai vu il était si mignon avec son petit bob blanc et si souriant. Oui je deviens gâteux quand il s'agit de bébé j'en ai conscience.
 
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MessageSujet: Re: She needs us, dude! She needs us, dude! Icon_minitimeLun 15 Juil - 11:29

"Ne t'inquiètes pas. Je suis tout seul ce week-end Lauren est partie voir ses parents. J'étais en train de faire le ménage quand tu m'as appelé. Donc tu vois je n'avais rien prévu de palpitant pour aujourd'hui."

Lauren! Voilà un moment qu'Adrian ne l'avait pas vu. Ils s'entendaient bien tous les deux, ils aimaient taquiner Frederik sur sa manière de travailler quand ils étaient tous ensemble. Fred était un juriste très sérieux, quand il travaillait, il ne fallait pas trop blaguer au risque de le mettre en colère. Mais c'était amusant à voir, et Adrian aimait tenter le diable quelques fois, histoire de détendre un peu l'atmosphère. Combien de fois avait-il entendu "O'Conell, cesse de faire le con, et bosse!"? Au moins, une chose était certaine, lorsque l'on travaille avec Fred, on sait que les choses sont bien faites, et que le résultat est là. Adrian avait bien souvent remporté ses plus gros procès grâce au soutien de mister Winston.

"Surtout que c'est une lacune dans la loi. Ca va être difficile de gagner la partie contre l'état. Les flics ne peuvent rien faire s'il n'y a pas d'acte de violence que ça soit contre les animaux comme trouver un chat éventré devant sa porte, ou plus directement une violence physique, un cambriolage. Le danger du harcèlement est reconnu mais quand c'est uniquement à l'oral et à l'écrit sans réelle menace de mort les policiers ont les poings liés. C'est malheureux mais souvent ils ne peuvent intervenir que quand il est trop tard comme dans le cas qui nous intéresse.". Adrian tira une taffe de son cigare, et soupira longuement. Il posa ses yeux sur le dossier et déclara, déterminé:

"Depuis quand se laisse t'on impressionné par les difficultés hein? Elles ne nous font pas peur, pas plus que l'Etat du New Jersey ! Je pense qu'il y a moyen de tirer notre épingle du jeu avec succès. Ne partons pas défaitistes!" .

L'avocat fini par esquisser un sourire, puis attrapa la bouteille de whisky au fond de son sac, puis la déposa sur la table. Il attrapa les deux verres que Sir Winston avait pris soin de déposer juste à côté. Ah celui là alors! Il connaissait bien l'O'Conell, et ses penchant pour les doux breuvages, surtout ceux associés au travail et à la concentration. Adrian les servit, deux petits verres pour commencer. Forcément, il n'allait pas les rendre ivres de bon matin ! L'avocat tendit son verre à Fred "Cheers!" déclara t'il avant de venir cogner son verre contre celui de son hôte. Il le porta ensuite à ses lèvres, et ajouta: "Pas mal, pas mal!" . Fred, se reprit au sujet de l'affaire: "Quand au procès avec le mari il sera surement plus simple. Il a laissé des empreintes sur la scène du crime. Si on ajoute qu'il l'avait menacé de s'en rendre à leurs enfants. Malheureusement il n'est pas complètement idiot puisqu'il a attendu qu'il n'y est aucun témoin et à l'oral pour ne laisser aucune trace. Au moins on a les témoignages des collègues de la victime qui peuvent attestés qu'il l'attendait quasiment tous les soirs à sa sortie du boulot et qu'elle avait peur pour sa vie.". Adrian leva les yeux au ciel. La culpabilité du mari était évidente. Lui même l'avait avoué à demi mot lors de sa mise en examen. Un psychiatre avait effectué une expertise sur l'homme en question, et avait rendu son rapport: Le crime passionnel animait cet homme, il aurait d'énormes penchants pour le sadisme et la violence. Dans le passé, la justice avait déjà statué sur l'homme en question, suite à de nombreuses bagarres. Cet homme était violent, sadique, et Adrian espérait bien le faire croupir en prison jusqu'à la fin de ses jours, avec un bon gros traitement psychologique.

Stravinsky hein? Ce mec se dit être le meilleur avocat du New Jersey, mais il ne semble pas se souvenir de la façon dont il avait perdu un de ses plus gros procès. Pourtant, il ne s'agissait de trois fois rien, juste une infime preuve démontant entièrement sa défense. Il avait lentement coulé, et son visage s'était décomposé, c'était... jouissif ! Ce pauvre con s'était appuyé sur de profondes conneries durant tout le procès, tentant de retourner les cerveaux des jurés. Mais l'avocat de la partie adverse, le très jeune Maître Winterfold avait descendu toute son argumentations et son raisonnement lors du dernier jour de procès, rendant la liberté un pauvre innocent. Fred avait raison, Stravinsky ne valait pas grand chose, mais il fallait tout de même s'en méfier. Cet homme était aussi fourbe qu'un Joey O'Conell, il en avait dans la tête... mais visiblement pas suffisamment pour remporter tous ses procès.

"Cet homme est cuit. Stravinsky ne pourra rien faire, les preuves sont bien trop évidentes. Nous devons juste trouver la façon dont nous allons les avancer le jour du procès. Nous n'avons pas le droit à l'erreur. Nous avons plusieurs témoins oculaires, tous les témoignages se tiennent entre eux. Et il y a une chose que tu ne sais pas mon cher ami, tu vas être ravi ! Les flics ont récupéré un petit quelque chose lors de la perquisition au domicile de ce salopard! Je suis certain que tu avais ce genre de chose dans ta table de nuit de jeune garçon! Une sorte de journal intime... Ne me mens pas, petit cachotier ! Ils ont trouvé ce si précieux document, dans lequel il relate ses intentions de meurtre, la manière dont il allait s'y prendre, l'arme qu'il allait utilisé. Si ce mec n'étais pas un réel psychopathe, je trouverais son cas légèrement inquiétant, pas toi?".

Fred se détacha ensuite du boulot, pour demander des nouvelles de Logan. Ce n'était pas évident d'en parler, surtout en ce moment. Après l'accident de Juliet, le weekend idyllique à Wilmington, puis l'instant où elle recouvra la mémoire... puis les emmerdes, encore les emmerdes, toujours les emmerdes... Adrian ne savait plus trop où se placer. Il était inquiet pour l'avenir. Allait-il définitivement perdre Juliet, avait-il encore une chance? Il n'était plus sûr de rien, et il redoutait de nouvelles confrontations. Il esquissa un maigre sourire. "On dirait qu'il va bien! Mais ne me dit pas que sa mère lui fait porter des bobs blancs !! Je déteste les bobs! Ils me rappellent mon grand père maternel quand il nous obligeait à en porter! J'avais l'impression d'être une crémière!" s'exclama t'il.
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