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Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick]

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Esperanza Damenez
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MessageSujet: Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Icon_minitimeLun 23 Avr - 17:36

En ce dimanche après-midi, l'air était plutôt bon. La famille au grand complet avait mangé ensemble, puis chacun était reparti vaquer à ses occupations. Esperanza avait passé un petit moment à discuter sur la terrasse avec sa fille, puis elle s'était décidée à se mettre à ce qu'elle avait à faire.

Cela faisait un moment qu'elle avait entrepris d'améliorer la chambre de sa fille et la sienne. Aujourd'hui elle avait l'intention d'installer une étagère dans sa chambre. Bien sûr elle avait eu l'accord de sa soeur et de son beau-frère pour l'installer. Elle ne savait pas si cela ne les dérangeais vraiment pas, mais ils avaient de suite accepté, avouant que ça serait bien pratique ainsi.

Esperanza remonta donc dans sa chambre, et sortie ce qu'elle avait acheté pour ça. Elle sortie le carton contenant l'étagère et toutes les pièces dont elle avait besoin. Elle descendis chercher à la cave tous les outils nécessaires. Après avoir trifouillé dans plusieurs cartons et diverses boites, elle fini par trouver ce qu'elle cherchait.

Ensuite elle se changea, remplaça ses talons par des baskets, et enfila des vieux vêtements, près à être abîmes. Elle était prête à faire du bricolage.

Esperanza avait pris l'habitude de bricoler. Vivre seule avec son enfant permet de gagner beaucoup en autonomie, et ça passe aussi par ça. Lorsque quelque chose déconnait à la maison elle n'avait personne pour le réparer à sa place, et n'avait pas l'argent de le faire faire par quelqu'un d'autre. Elle a donc pris l'habitude de tout faire seule, et a fini par y prendre goût. Maintenant elle aimait faire ce genre de chose.

Esperanza sorti donc les planches et commença à les fixer au mur. Elle avait déjà tout prévu et savait très bien où elle devait la placer. Elle avait demandé leurs avis à sa soeur et son beau-frère, mais aussi à sa fille. Et elle avait décidé de placer des étagères, mais également de les peindre, et avait là aussi tout prévu.

Une fois la première planche fixée et sécurisée elle attaqua la deuxième. Mais la planche était plus haute et l'entreprise plus difficile. Alors qu'elle maintenant l'étagère et essaya d'attraper la perceuse de l'autre main, celle-ci lui échappa des main. De surprise, Esperanza lâcha un petit cri, et se décala rapidement pour éviter la planche. Elle laissa également échapper, machinalement, un juron.

"- mierda"
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MessageSujet: Re: Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Icon_minitimeMar 24 Avr - 0:08

Mon jours de congés. Je travaillais même le dimanche mais à la maison mais je m’octroyais quand même un jours dans la semaine où je ne bossais pas. J’avais augmenté la cadence depuis que les Damenez était venues s’installer chez nous il fallait bien que l’argent rentre. Cela ne me dérangeait pas plus que cela, j’étais un acharné du travail et j’avais mis beaucoup de temps dans mon entreprise pour qu’elle soit prospère. Et il fallait admettre qu’être le seul homme de la maison était parfois un fardeau, j’adorais ma famille plus que tout cela n’était pas à remettre en cause mais j’avais besoin d’un endroit où je pouvais prendre des décisions sans qu’on me contredise ou les discute. J’avais tendance à être très vite tyrannique quand je n’avais pas mon échappatoire comme en vacance par exemple. Je savais que cela agaçais tout le monde mais je ne pouvais pas m’en empêcher.

On avait donc mangé tous ensemble à midi pour profiter que tout le monde était à la maison pour une fois. Le repas fut très agréable et dans la bonne humeur ce qui me mit de très bonne humeur. Après avoir aidé Natalia à faire la vaisselle et ranger la cuisine j’allais enfiler un vieux jeans et tee shirt défraîchit pour aller faire du jardinage. Je n’étais pas un fan mais cela devait être fait. J’allais donc chercher la binette et un râteau et me mit à la tache sous le soleil. C’était la seule chose que j’aimais quand je m’occupais du jardin était de sentir les rayons du soleil qui me chauffais la peau. J’aurais préféré me mettre sur une chaise longue et en profiter pour passer ma journée à ne rien faire mais Natalia m’avait demandé de m’en occuper et avait souligné le fait que je m'employais très peu aux taches ménagères et autres. Ce que j’avais approuvé vu que je passais mon temps à travailler je n’avais donc pas le temps de faire autre chose contrairement à elle. Mais je comprenais son point de vue et comme je ne voulais pas me disputer avec elle je me retrouvais les mains dans la terre à transpirer.

Natalia eut la gentillesse de m’apporter un verre d’eau et même un baiser ce qui me redonna du courage pour continuer ma tache. Quand j’eu finis d’enlever les mauvaises herbes et ratisser les feuilles mortes je retournais dans la maison et alla prendre une bonne douche tiède pour me délasser un peu. Après m’être changé dans ses habits confortables j’allais retourné dans mon bureau pour vérifier quelque chose quand je passais devant la chambre d’Esperanza j’entendis un bruit sourd. Je passais la tête par la porte pour inspecter qu’elle allait bien et si elle avait besoin d’aide mais le bruit était venu d’une étagère qu’elle avait coller contre le mur.

Mes relations avec ma belle sœur était assez cordial au stricte minimum même si je l’admet qu’au départ je n’avais pas été enchanté de les accueillir dans ma maison. Je ne connaissais pas vraiment les deux femmes qui étaient venues s’installer chez nous, j’avais très peu vu Esperanza une ou deux fois dont une rencontre à mon mariage autant dire qu’on avait pas vraiment eu le temps de discuter. Je comprenais cependant que Natalia voulait aider sa sœur dans le besoin, être mère célibataire n’était pas vraiment évidemment surtout quand on avait pas forcement un bon travail. Pourtant je les avais accepté avec joie la maison était grande même si cela arrivait qu’on se marche un peu dessus désormais mais entre membre de la même famille il fallait se serrer les coudes. Cela arrivait que j’ai des accrochages avec Esperanza nous avions pas du tout la même vision des choses mais dans l’ensemble cela se passait le plus cordialement possible.

J’allais retourner à mes activités quand je vis qu’elle avait l’air d’avoir du mal à installer la seconde étagère qui était mise un peu haute pour elle. Je rentrais donc dans la chambre pour lui donner un coup de main. J’arrivais donc juste derrière sans signaler ma présence ce que j’aurais peu être du faire. Juste quand j’allais tendre la main pour attraper la planche pour ne pas qu’elle tombe cette dernière échappa des mains d’Esperanza. Je ne pus empêcher mes lèvres de s’étirer en un petit sourire moqueur la situation était assez amusante. Ce qui le fut moins c’est quand je pris le coude de ma belle sœur en plein dans ma clavicule. Par réflexe j’attrapais ses hanches pour la remettre droite et qu’elle ne s’écroule pas sur moi.

Fais attention… dis je un peu sèchement

Je retirais rapidement mes mains de sur elle, elle n’aimait pas que je pose la main sur elle ce que je pouvais comprendre et je respectais son intimité. Je ne voulais pas qu’elle commence à se faire des idées, j’étais parfaitement heureux avec sa sœur mais je ne préférais pas tenter le diable en lui mettant de fausses idées en tête. Elle avait tendance a voir le mal partout quand il s’agissait de moi. Je reculais un peu et me massa la clavicule elle m’avait fait mal. Je pinçais la bouche ressentant une pointe d’agacement. Elle était vraiment maladroite quand on ne savait pas faire quelque chose on demandait de l’aide au lieux de s’entêter.

Tu aurais pu me demander de l’aide je l’aurais fait avec plaisir…

Je me souvenais qu’elle avait demandé à Natalia et moi si elle pouvait faire des changements dans sa chambre et on avait accepté évidemment il n’y avait pas de raison mais si c’était pour devenir un danger public cela ne valait pas le coup. Respirant profondément pour reprendre mon sang froid cela ne servait à rien de m’énerver tout seul mais je n’appréciais pas la douleur elle avait tendance à me rendre agressif. Je me penchais donc pour récupérer la planche qui était tombé au sol et la rendit à ma belle sœur.

Je n’avais pas l’habitude de voir une femme faire des taches qui était typiquement masculines, quand il y avait quelque chose à réparer je m’en occupais la plupart du temps. Bien entendu je ne disais pas que Natalia ne savait pas changer une ampoule c’était le contraire cependant quand il fallait mettre des meubles ou autre c’était moi qui m’en occupait. C’était donc assez insolite pour moi de voir une femme avec une perceuse à la main.

Tiens la planche je vais la viser au mur. Cela ira plus vite.

J’attrapais donc la perceuse et les vises et attendit qu’elle mette la planche mais elle n’avait pas l’air motivé pour me faciliter la tache ce qui eut le don de m’agacer. Je m’étais pas obligé de l’aider mais je le proposais gracieusement.

A moins que tu préfères faire l’inverse cela me dérange pas..


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MessageSujet: Re: Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Icon_minitimeMar 26 Juin - 2:54

Lorsque Esperanza laissa échapper la planche, elle se recula par réflexe, et vint malheureusement donner un coup de coude à son beau-frère.

En sentant qu'elle touchait quelque chose, ou visiblement quelqu'un, Esperanza en fut encore plus déstabilisée. Elle senti également qu'on lui tenait les hanches pour la remettre droite. Elle se dit que ça devait être sa fille, la seule assez familière dans la famille pour pouvoir se permettre ça.

Elle se retourna et vit Patrick.

"Fais attention…" dit-il un peu sèchement en retirant rapidement ses mains.

Fais attention? Alors ça c'est le comble pensa Esperanza. Après tout elle était dans sa chambre, et elle était sensée y être seule. Elle ne pouvait quand même pas deviner qu'en se reculant elle heurterait quelqu'un. Et puis il pourrait dire les choses de manière un peu plus gentilles quand même. Il n'est tout de même pas obligé de parler si sèchement.

Esperanza faisait tout, depuis son installation, pour que ses relations avec son beau-frère soient les meilleures possibles, ou du moins, qu'il n'y ai pas de clash entre eux. Elle savait qu'elle n'était pas chez elle, et la moindre des choses était de respecter celui qui les accueillaient, elle et sa fille, dans sa maison. Mais mêmes si leurs rapports étaient toujours cordiaux, les deux adultes n'étaient pas "amis" pour autant.

Avec lui, Esperanza essayait toujours de trouver le juste milieu. Son côté franc et "grande gueule" l'empêchait bien souvent de se retenir de dire ce qu'elle avait à dire. Mais elle essayait, lorsqu'il s'agissait de Patrick, d'y mettre les formes pour conserver cette relative bonne entente entre eux.

Là elle n'aimait pas sa réflexion sèche, et encore moins les mains qu'il avait posé sur elle !! Après tout, même si c'était un réflexe de sa part, ça ne se faisait pas. Mais elle savait qu'il aimait sa femme, et que ce geste n'avait rien d'équivoque.

Juste après le coup, en s’apercevant qu'il s'agissait de Patrick, elle laissa échapper un "Oh, pardon!" Mais en réalisant la phrase qu'il venait de lui asséner sèchement, elle ne pu s'empêcher de rebondir sur sa réflexion: "Comment voulais-tu que je sache que tu étais là?"

"Tu aurais pu me demander de l’aide je l’aurais fait avec plaisir…" dit Patrick.

Esperanza se demanda si il disait ça par simple politesse, pour se moquer d'elle ou par réelle proposition d'aide. Esperanza était encore à réfléchir à l'interprétation qu'elle devait donner à la phrase de Patrick lorsqu'il ramassa la planche qui venait de tomber et lui rendit.

"Tiens la planche je vais la viser au mur. Cela ira plus vite."

Esperanza se demanda si elle avait bien entendu. Elle avait l'habitude de tout faire seul depuis des années. Elle avait déjà tout bricolé dans ses maisons précédentes. Bien sûr elle était très maladroite, elle mettait du temps et devait se reprendre à plusieurs fois avant de réussir à faire exactement ce qu'elle voulait faire, mais elle arrivait toujours à un résultat plutôt correct. Elle ne se sentait en aucun cas moins douée qu'un homme, elle considérait que les femmes valaient les hommes dans tous les domaines, et détestait les machos qui pensent qu'ils peuvent tout faire mieux que les femmes, surtout le bricolage. Alors que voulait dire ce "ça ira plus vite" Patrick était il en train de la traiter d'incapable??

Elle souleva le sourcil droit et le regarda sans broncher. Elle ne bougea pas d'un centimètre pour mettre la planche au mur comme il le lui avait demandé. Sans compter qu'elle n'avait pas demandé qu'il l'aide.

Esperanza ne su pas si il comprit à son air qu'elle se sentait vexée par ses propos, toujours est-il qu'il se reprit et lui proposa de faire le contraire.

"A moins que tu préfères faire l’inverse cela me dérange pas.. "

Esperanza pensa que ce n'était pas trop tôt qu'il lui propose ça, mais n'en dit pas mot. Elle lui répondit que c'était bon, après tout il avait faire l'effort de proposer, et puis elle se savait maladroite et elle se doutait que si elle insistait pour la fixer elle et qu'elle n'y arrivait pas, ou qu'elle mette trop de temps, elle aurait pris le risque d'énerver son beau-frère, voir d'avoir honte pour avoir insisté pour quelque chose qu'il aurait fait plus vite.

"Um, non, ça va aller. Je tiens la planche si tu veux."

Esperanza s'avança donc vers le mur et y tint la planche pour que son beau-frère la fixe au mur.

"Mais tu sais Patrick, tu n'es pas obligé de m'aider... Si tu as d'autres choses à faire je veux dire. Ne te sens pas obligé, même seule je vais finir par y arriver".

Esperanza voulait monter à Patrick qu'elle pouvait très bien s'en sortir seule, mais aussi lui dire qu'il n'avait pas à se sentir obligé, et que s'il voulait faire autre chose il le pouvait tout à fait. Elle ne voulait pas le retenir et lui faire perdre son temps.
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MessageSujet: Re: Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Icon_minitimeVen 28 Sep - 18:46

Après avoir pris son coude dans la clavicule j’avais réagis un peu sèchement verbalement. Je n’aimais guère la douleur cela me rendait grincheux dans le meilleur des cas. Esperanza me fit donc une réplique cinglante comme à son habitude. Je n’avais rien contre les femmes qui avait du caractère mais venant de sa part je le prenais jamais vraiment bien. Cependant je ne voulais pas envenimer les choses ravalant ma mauvaise humeur je lui fis un petit sourire.

J’aurais peu être du prévenir que j’entrais mais au départ je regardais juste si tu t’en sortais. Mais apparemment ce n’est pas trop le cas.

Je pris ensuite un peu de distance pour ne pas paraître menaçant ou au contraire trop proche. Je ne savais jamais comment elle allait réagir à mes actes ou mes paroles. Elle me semblait toujours sur la défensive même si on faisait bonne figure devant les filles vu qu’elles n’avaient pas à être mêlé à nos sentiments l’un envers l’autre.

Je lui proposais donc mon aide avec gentillesse pour me rendre utile je ne voulais pas qu’elle risque de se blesser. Se prendre un coup de perceuse ne devait pas être très agréable et ensuite devoir l’emmener aux urgences cela été une perte de temps vu que je pouvais le faire très rapidement. Cependant ma belle sœur restait muette ne bougeant pas continuant à me regarder. Je haussais les sourcils pour l’encourager à me répondre mais rien à faire aucun mot ne sortait de sa bouche.

Je soupirais discrètement et ramassa la planche qui était toujours au sol. Je prenais son visage pour un oui sinon elle m’aurait déjà demandé de quitter la pièce pour la laisser faire à sa guise. Cela me faisait étrange d’avoir l’impression de ne pas être le bienvenu dans ma propre maison mais je n’en tenais pas compte après tout Esperanza était chez moi. Je posais la planche à coté de la jeune femme.

Tiens la planche je vais la viser au mur. Cela ira plus vite.

Je fis de la colère apparaître et disparaître rapidement sur le visage de ma belle sœur. Qu’est ce qu’elle pouvait être pénible quand elle s’y mettait. Je ne sous entendais pas qu’elle ne savait pas faire mais elle était maladroite contrairement à moi c’était pour cette raison que je lui proposais mon aide. Mais c’était vrai que je pouvais me montrer un peu macho mais j’étais le seul homme de la maison ce qui n’arrangeait pas mon caractère un peu autoritaire.

J’attrapais la perceuse et la tendant à bout de bras vers le sol je pinçais les lèvres en la voyant hausser un de ses sourcils. Je venais de me rendre compte que pour une fois elle me dominait par la taille vu qu’elle était monter en hauteur et j’admettais que cette position ne me plaisais pas. C’était sûrement du que nos rapports étaient assez tendu mais je me dis que je devais faire des efforts pour bien m’entendre avec elle après tout on était de la même famille depuis un moment et j’appréciais sa fille avec qui à l’opposé j’avais de très bon rapport à mon sens. Je me décidais donc à essayer de trouver un compromis.

A moins que tu préfères faire l’inverse cela me dérange pas..

On ne pouvait pas dire que je ne tentais pas d’être sympas même si cela était fait de façon un peu dirigiste mais c’était la plupart du temps ma façon de faire. Je me sentais désœuvré aujourd’hui comme à chaque fois que j’étais en jours de congé je ne savais pas quoi faire de ma peau donc j’aidais Natalia dans la maison elle me disait quoi faire ce dont on avait besoin qui m’avait échappé et je les faisais avec bonne humeur. Esperanza finit par me répondre que la première solution lui convenait. Je faillit lui dire qu’elle devenait enfin raisonnable mais je gardais le silence et lui souris et m’approcha pour utiliser la perceuse. Je m’installais à coté d’elle en gardant un peu mes distances mais j’étais plus grand qu’elle du coup je pouvais atteindre plus facilement l’endroit où elle voulait mettre ses étagères.

Mais tu sais Patrick, tu n'es pas obligé de m'aider... Si tu as d'autres choses à faire je veux dire. Ne te sens pas obligé, même seule je vais finir par y arriver.

Pas de problème ne t’en fais pas. Je suis en congé et je viens de désherbé le jardin alors je suis lancé. Je préfère t’aider plutôt que d’aller chercher un papier dans mon bureau comme j’en avais l’intention. Je me connais j’aurais fini ma journée à revoir des contrats ou des listes de fournisseurs enfermé dans la pièce.

Haussant les épaules j’attendis qu’elle pose la planche où elle voulait et vissa le haut du bout de métal fixé sur la planche puis mis deux autres vises là elles étaient prévu. Ca allait plus vite avec moi je l’avais bien dit mais le fait qu’elle tienne le bout de bois m’aidait pas mal. Comme moi on pouvait faire du bon travail ensemble mais il ne fallait pas qu’on ouvre la bouche sinon on avait tendance à s’embrouiller.
Les deux sœurs étaient comme le jours et la nuit physiquement et surtout de caractère elles étaient dissemblables même si on sentait toujours ce petit point entêté qui savait ce qu’elle voulait qui me plaisait tant chez Natalia et qui m’évitait de devenir un tyran se retrouvait chez sa sœur même si je trouvais cela agaçant plutôt que charmant. Vérifiant que l’étagère était bien droite lui posa main un peu avant celle d’Esperanza je tournais la tête vers cette dernière.

Tu veux bien prendre la perceuse pour faire l’autre coté cela nous évitera de faire des manip pour changer de place ?

J’admets ne pas être très rassuré de l’imaginer avec un outils comme celui ci à la main vu sa maladresse elle serait capable de me percer un de mes doigts mais gardant mes doutes pour moi je continuais à sourire. Au pire elle risquait plus de se faire mal toute seule plutôt qu’à moi. Je n’étais pas souvent avec pour seul compagnie ma belle sœur alors autant faire la conversation c’était quand même plus civilisé.

D’ailleurs je ne t’ai jamais demandé mais tu te plait à Magnolia ? Même si cela fait un ans que tu es ici cela n’est jamais facile de s’adapter. Tu n’es pas obligé de me répondre. C’est bien que tu as pu te rapprocher de ta sœur il me semble que vous n’étiez pas très proche avant mais d’habiter sous le même toit à apparemment régler ce problème.

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MessageSujet: Re: Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Icon_minitimeMar 19 Mar - 1:41

"J’aurais peut être du prévenir que j’entrais mais au départ je regardais juste si tu t’en sortais. Mais apparemment ce n’est pas trop le cas."

"Oui ben ce n'est pas que je ne m'en sors pas..." tenta-t-elle de se justifier, d'une mauvais foi évidente.

Elle fini cependant par accepter l'aide de patrick, consciente que ce serait bien plus facile tout de même. Esperanza posa la planche et Patrick la vissa. Il fallait avouer que c'était mieux ainsi.

"Tu veux bien prendre la perceuse pour faire l’autre coté cela nous évitera de faire des manip pour changer de place ?"

Docile, Esperanza fit ce que Patrick lui demandait. Elle empoigna la perceuse, et vissa tant bien que mal la partie qui lui incombait.

"D’ailleurs je ne t’ai jamais demandé mais tu te plait à Magnolia ? Même si cela fait un ans que tu es ici cela n’est jamais facile de s’adapter. Tu n’es pas obligé de me répondre. "

"Oh, heu... Oui" répondit Esperanza, surprise que Patrick lui pose cette question.

Elle fut particulièrement touchée par le fait qu'il précise qu'elle ne l'obligeait pas à répondre. C'était ridicule de s'attacher à un détail pareil, mais venant de lui elle trouvait le geste touchant. A vrai dire elle apprécia l'ensemble de la phrase, il était rare qu'il s'intéresse à elle. Il était de loin celui avec qui elle avait le moins de liens dans cette maison, et le fait que ce soit lui qui engage la conversation était une bonne chose.

Ils avaient peu l'habitude de passer du temps seuls tous les deux. Généralement, même s'ils se trouvaient seuls tous les deux dans la demeure Van Valkenburg, ils restaient chacun dans leur coin, s'adressant pas, ou peu, la parole.

"Tout se passe bien. Je m'y plait, et je pense que j'ai réussi à m'adapter depuis. Il faut avouer que c'est un quartier plutôt plaisant... malgré tout ce qu'il se passe."

Patrick devait bien voir qu'Esperanza s'était habituée au quartier, qu'elle s'était fait des amis, qu'elle sortait, se plaisait dans son boulot... Sans compter qu'elle avait vécu des années difficiles dans un quartier au standing énormément inférieur à celui-ci... Elle prenait donc sa venue ici comme une aubaine, pour elle, mais surtout pour sa fille. Même s'il restait quelques zones d'ombres dans ce quartier, qui commençaient à angoisser un peu la mère de famille.

"C’est bien que tu as pu te rapprocher de ta sœur il me semble que vous n’étiez pas très proche avant mais d’habiter sous le même toit à apparemment régler ce problème."

Esperanza marqua un temps d'arrêt et tourna doucement son visage vers Patrick. "Il me semble que vous n’étiez pas très proches." Se moquait-il d'elle ? Ah ça non elles n'étaient plus vraiment proches, et il le savait pertinemment puisqu'elles ne s'était quasiment pas vues depuis qu'il connaissait Natalia. Par contre, plus jeunes, elles avaient été proches... Elle ne se gêna pas pour exprimer sa pensée, elle qui était franche et plutôt cash, les mots sortirent comme elle les pensait.

"Pas très proches avant ? Tu te moques de moi?" lui dit-elle avec un regard suspicieux.

Etait-ce une provocation de la part de Patrick ? Ou juste une parole malheureuse.

"Et oui, vivre ensemble nous a rapproché... Mais tu sais, ce n'est pas juste vivre ensemble qui règle tous les problèmes."

Esperanza était persuadée que si tout se passait aussi bien, ou du moins si elles arrivaient à cohabiter, c'est qu'elles faisaient des efforts toutes les deux de son côté. Si aucune n'avait fait d'effort le fait de vivre ensemble, loin d'arranger les choses, aurait au contraire empiré leur situation. Et puis on ne pouvait pas dire que tout était arrangé, ni avec Natalia, ni avec Patrick... Ces deux là étaient encore loin de s'entendre parfaitement.

"Et toi Patrick, que penses tu de ma venue ici ?"

Il semblait vouloir aborder les vraies questions, alors autant y aller franchement. C'est vrai, que pensait Patrick de tout ça ? Ils n'en avaient jamais parlé, alors autant aborder la question, c'était le moment ou jamais.
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MessageSujet: Re: Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Icon_minitimeJeu 4 Juil - 13:31

Je venais de donner la perceuse à Esperanza pour qu'elle perce à son tour. J'avais eu une petite hésitation à la voir avec un objet dangereux à la main mais il fallait vivre témérairement même en risquant un trou dans le doigt.

Je préférerais donc faire la conversation pour le distraire en espérant que cela ne l'empêchera pas de rester concentrée. Je lui posais donc une question assez bateau comme comment elle se sentait à Magnolia.

Je souris devant sa surprise manifeste. Oui c'est vrai que je ne discutais que très rarement avec elle, on n'avait pas vraiment de point commun à part Natalia et je n'avais pas tellement fait d'effort pour mieux la connaître mais la réciproque était vrai aussi. Esperanza était peu loquace avec moi si il était facile d'avoir une discussion sans heurt.

Tout se passe bien. Je m'y plait, et je pense que j'ai réussi à m'adapter depuis. Il faut avouer que c'est un quartier plutôt plaisant... malgré tout ce qu'il se passe.

C'est vrai que je suis un peu inquiet moi aussi après le meurtre d'Alicia, le fait de savoir que l'assassin court toujours n'est très rassurant. De plus il y a beaucoup de mauvaises influences. Apparemment une banlieue chic n'empêche pas les jeunes d'être désœuvrés et faire n'importe quoi.

J'essayais de ne pas trop surveiller mes filles sur cela, elles ne le supporteraient pas et il fallait être réaliste elles grandissaient et avaient de plus en plus de secret envers leur mère et moi. Mais cela n’empêchait pas de vouloir les protéger des énergumènes.

C’est bien que tu as pu te rapprocher de ta sœur il me semble que vous n’étiez pas très proche avant mais d’habiter sous le même toit à apparemment régler ce problème.

J'avais dis cela sans malice je le pensais vraiment. J'étais fils unique mais j'étais persuadé que cela était important d'avoir des liens avec les membres de sa famille. Mais apparemment Espéranza avait encore mal interprétée ma question.

Pas très proches avant ? Tu te moques de moi?
 
Non absolument pas. Je me suis peu être mal exprimé. Ne vois pas toujours comme une attaque personnelle ce que je dis. Je suis juste content que Natalia est retrouvée sa sœur. Son bonheur est le mien.

J'étais sincère. Je voulais juste le bien être de ma famille sans arrière pensée ou autre. Mais il était vrai aussi que j'étais parfois maladroit dans mes paroles mais d'habitude c'était avec mes filles cela me faisait tout drôle d'avoir l'impression de parler à une adolescente en pleine rébellion plutôt qu'à une mère de famille.

Je me doute bien que cela ne sait pas fait du jours au lendemain. Les relations avec les gens c'est des concessions c'est ce qui est intéressant à mon sens.

Finalement ce n'était peu être pas une bonne idée d'avoir entamé une conversation avec elle pour être aimable j'avais l'impression d'être dans un champ de mine dégoupillée ce qui n'étais pas vraiment ceux à quoi je m'attendais.

Et toi Patrick, que penses tu de ma venue ici ?

Je lui jetais un coup d’œil interloqué. J'avais oublié son franc parlé pendant quelques seconde cela n'arriverait plus. Je gardais pendant quelques instants le silence pour bien formulé ce que j'allais dire pour ne pas qu'elle s'enflamme. Je n'avais pas envie d'entrer en conflit avec elle, j'étais en congés je préférais gardé les prises de tête avec mes collaborateurs. Mais bon j'aimais l’honnête donc j'allais répondre la vérité.

Je vais être franc. Au départ, quand Natalia m'en a parlé je n'étais pas d'accord pour que tu viennes t'installer chez nous. Je ne te connaissais pas à part une ou deux rencontres je ne savais pas qui tu étais. Cependant je pense que c'était important d'avoir une famille unie. On a donc finit par se mettre d''accord ta sœur et moi. Et bon après quelques ajustements la cohabitation se passe plutôt bien pour le moment de mon point de vue.

Je haussais les épaules tout en tenant toujours la planche. Au moins ma belle sœur savait comment mettre quelqu'un mal à l'aise. Finalement j'aurais du passer mon chemin et la laisser se débrouiller avec son étagère au lieu d'être serviable.

Je ne comprends pas pourquoi tu poses cette question. Cela me changerait rien à la situation à part l’envenimer. On ne sera jamais les meilleurs amis au monde cela ne sert a rien de se voiler la face. Tu ne m'apprécies pas des masses de toute manière..

Si elle voulait vraiment une conversation profonde moi cela ne me dérangeais pas autant aller au fond des choses comme cela la situation serait peu être plus aplanie.


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MessageSujet: Re: Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Le bricolage n'est pas l'apanage des hommes [ft. Patrick] Icon_minitimeLun 8 Juil - 2:14

Esperanza se saisi de la perceuse et commença ses trous... Qu'elle réussi plutôt parfaitement. Assez fière d'elle elle continuait à percer alors qu'au fur et à mesure ils se déplaçaient avec Patrick pour pouvoir fixer toute l'étagère.

"C'est vrai que je suis un peu inquiet moi aussi après le meurtre d'Alicia, le fait de savoir que l'assassin court toujours n'est très rassurant. De plus il y a beaucoup de mauvaises influences. Apparemment une banlieue chic n'empêche pas les jeunes d'être désœuvrés et faire n'importe quoi."

A ces mots Esperanza devint plus grave. L'idée qu'Evane n'était pas en sécurité était totalement insupportable pour elle.

"Oui, et puis cette gamine qui a disparue... Je ne m'en remettrait jamais s'il arrivait quelque chose à Evane Patrick, Jamais !"

Sa voix tremblait presque. Sans sa fille, elle ne serait plus rien. Puis ils abordèrent l'épineuse question du rapprochement entre Natalia et Esperanza.
 
"Non absolument pas. Je me suis peu être mal exprimé. Ne vois pas toujours comme une attaque personnelle ce que je dis. Je suis juste content que Natalia est retrouvée sa sœur. Son bonheur est le mien."

Esperanza regretta un peu son ton sec, et, lui laissant le bénéfice du doute, elle considéra que ce n'était effectivement peut-être pas une attaque. Elle s'emportait vite et il était difficile de réagir de manière calme et posée, surtout face à Patrick avec qui tout était loin d'être simple. Haussant les épaules, elle préféra ne pas réagir plus que ça.

Puis, elle osa lui poser la question qui lui brûlait les lèvres depuis un certain temps. Esperanza savait très bien qu'entre son beau-frère et elle tout n'était pas toujours rose, et même si parfois elle se rendait compte qu'elle ferait mieux de la fermer il n'y avait rien à faire, son franc-parler reprenait le dessus. Elle détestait les non-dits, et n'avait pas du tout peur des discussions animées. Si ça devait mal se passer alors tant pis, au moins les choses allaient être dites. Bien sûr elle avait appris à mettre un peu d'eau dans son vin, mais ça ne l'empêchait pas d'aborder les sujets qu'elle avait envie d'aborder, même les plus délicats. Elle lui demanda donc ce qu'il pensait de sa venue ici.

Patrick paru un peu surpris et resta un instant silencieux.

"Je vais être franc. Au départ, quand Natalia m'en a parlé je n'étais pas d'accord pour que tu viennes t'installer chez nous. Je ne te connaissais pas à part une ou deux rencontres je ne savais pas qui tu étais. Cependant je pense que c'était important d'avoir une famille unie. On a donc finit par se mettre d''accord ta sœur et moi. Et bon après quelques ajustements la cohabitation se passe plutôt bien pour le moment de mon point de vue."

Esperanza hocha la tête, elle comprenait parfaitement son point de vue, il n'y avait absolument rien d’offensant la dedans. C'est normal qu'il soit retissant à cette idée, ils ne se connaissaient que peu et c'était difficile d'accepter qu'une personne vienne ainsi habiter sous son propre toit.

"Je ne comprends pas pourquoi tu poses cette question. Cela me changerait rien à la situation à part l’envenimer. On ne sera jamais les meilleurs amis au monde cela ne sert a rien de se voiler la face. Tu ne m'apprécies pas des masses de toute manière.."

"Je ne vois pas pourquoi ça envenimerait la situation. Si tu penses qu'il ne faut pas parler des choses et faire comme si rien n'existait, fuir et faire croire que tout va bien, alors pourquoi pas. Mais je ne pense pas que ce soit la meilleure des situation. Contrairement à ce que vous semblez penser on ne peut pas vivre toute sa vie comme si le passé n'existait pas."

Puis son ton se radoucie. "Excuse moi mais je suis comme ça, je ne peux pas m'empêcher de dire ce que je pense, quoi que ça engendre."

Elle termina de percer les trous et fixa enfin les vis. Puis elle fini par reprendre la parole :

"Et tu as tord de penser que je ne t’apprécie pas des masses. Bien sûr que nous ne sommes pas les meilleurs amis du monde, mais je te suis réellement reconnaissante pour ce que tu fais pour nous. Et excuse moi si je parais désobligeante mais ce n'est pas mon intention. J'aurais toujours du respect pour toi, ne serait-ce pour la façon dont tu m'accueille."

Esperanza pouvait reprocher beaucoup de choses à Patrick, mais il n'empêche qu'il l'avait accueilli, et très bien même. Alors même si elle ne pouvait pas s'empêcher de lui dire que ça n'allait pas, elle devait aussi lui dire ce qui allait !
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