Entre Calvin et Ellie, ça a toujours été explosif. Mélange de bagarres incessantes et franche camaraderie, elle était sa partenaire de jeu et il n'était pas rare que la petite soeur se mêle à son groupe de copain. Les choses se sont compliquées pendant l'adolescence ou Calvin a décidé de mettre Ellie de côté, ce qu'elle a plutôt mal vécu. Aujourd'hui les choses se sont arrangés, on pourrait même dire que tout est redevenu comme avant. Sauf que Calvin exaspère Ellie qui voudrait que son grand frère fasse enfin quelque chose de sa vie...

Ils sont sortis ensemble au lycée, quelques années et étaient un couple populaire et heureux ... jusqu'à ce que Jackie décide de quitter Magnolia à 17 ans. Ils ne se sont pas revus depuis, mais Calvin vivant dans le passé, regrettant l'époque où il était ce populaire lycéen, pourrait toujours avoir des sentiments pour son premier amour.

RP en cours

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Comment le gris Trevor a t'il pu donner naissance à l'incandescent et charismatique Calvin ? Le père même se le demande. En tout cas cette enfant là lui est un peu tombé dans les bras sans que lui et sa femme ne l'attende, ils l'ont pourtant désiré et choyé dés le moment ou cette grossesse surprise leur fut révélé. Aujourd'hui, Trevor se questionne sur l'avenir de ce fils qui ne semble vouloir quitter la petite demeure familial. Trevor le déplore, il voudrait que son rejeton vive enfin sa vie et ne s'enferme pas comme lui a pu le faire dans le passé.

Comme Calvin est fan de son frère ! Pour Matthew, Calvin est un modèle, même si Matt espère ne pas reproduire ses erreurs et rester chez papa une fois les études finies. Pour ça, Calvin en veut un peu à son frère, il voit bien que ce dernier va réussir là où lui a échoué, mais il s'efforce d'être content pour lui.

Aaron est le voisin de Calvin et aussi l'une des personne que Cheyenne aime le plus. Depuis son arrivée dans la famille Greggson la chienne n'a d'yeux que pour eux, et pourtant elle a beaucoup d'affection pour ce petit voisin si proche des bêtes. Au fond Calvin et Aaron se ressemblent beaucoup, deux anciens sportifs, plutôt populaire, mais Aaron a fait ce que Calvin n'a jamais réussis, s'envoler de ses propres ailes et continuer de rêver. Au fond Aaron espère bien ne pas devenir comme son voisin, mais ils s'apprécient mutuellement et ils prennent tous les deux soins de Cheyenne.

Carl est l'ami d'enfance de Matthew, ainsi Calvin l'a vu grandir, comme il a vu grandir son petit frère, il apprécie le garçon qui est devenu vétérinaire, et qui s'exerce quelque peut sur sa chienne, toujours docile lorsqu'il s'agit d'avoir de l'attention. Carl et Calvin s'entendent bien, il n'a jamais eu d'animosité entre eux, et finalement passer du temps ensemble n'est pas non plus des plus désagréable, il faut dire ils se connaissent depuis si longtemps, et puis qui aime Matthew est aimé par Cal ça va de soit.

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.