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| i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. | |
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Nombre de messages : 766 Etudes/Metier : étudiante en journalisme. Love : lost. Humeur : méprisante. Inscription : 18/12/2013
| Sujet: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 14 Mai - 14:19 | |
| JOY KING 12/12/93 - 21 y-o - bisexuelle - célibataire, perdue - étudiante en journalisme - kaya scodelario Tell them that it's human nature Jeune fille torturée au regard de braise, personne ne sait réellement qui est véritablement Joy. Belle, intelligente et très lunatique, cette brune avait été durant son enfance une jeune fille au cœur tendre, douce comme un agneau et gentille comme personne d'autre lorsqu'un jour cette personne innocente se transforma en garce manipulatrice, hautaine et très orgueilleuse. Elle est désirée d'un bon nombre de garçons autant pour ses airs supérieurs que le mystère qui plane autour d'elle. Elle couche à droite à gauche, ne s'interdit aucun déboire, aime les choses qu'elle ne peut guère avoir et ne montre à personne ses faiblesses. Elle ne pleure que quand elle est seule, ne révèle aucun secret car personne n'est à l'abri et haït un bon nombre de choses ici. Ses yeux bleus sont emplis d'une mélancolie rare mais ne reflètent en aucun cas ses sentiments comme si elle s'était créée une carapace impossible à briser, un masque collé à son visage angélique, comme si son myocarde était hermétique.. Elle est simplement elle, une fille difficile à cerner et pleine de surprise. Triste, mélancolique, impétueuse, séductrice et méprisante. We are family S'il y a bien une chose que déteste véritablement Joy à présent, ce n'est autre que sa famille. C'est à la mort de sa génitrice qu'elle a changé totalement, préférant se mettre à boire que de pleurer, que d'évacuer la tristesse qu'elle renfermait. Son père et son frère n'ont rien pour l'aider et son état n'a fait qu'empirer alors qu'ils évitaient de passer leur temps libre dans la demeure des King, préférant s'acharner à éviter le sujet, ils étaient dans le déni et reprochaient à la jeune fille son manque de maturité alors qu'elle essayait à sa manière de trouver un moyen de surpasser ce drame, de faire son deuil sans leurs bras réconfortants. Haïssant son père qu'elle considérait comme son modèle et son frère qu'elle chérissait plus tout, elle a fini par les pardonner. Si elle a encore du mal à leur montrer de l'affection, elle les aime toujours autant mais préfère rester ici alors qu'eux ont décidé de commencer une nouvelle vie ailleurs. Toujours courtois, on ne peut plus appeler ça une famille unie. La leur est brisée depuis que Judith Livingstone a assassiné sa mère. Elle lui voue une haine plus viscérale que dans le passé depuis qu'il lui a fait croire que c'était lui le meurtrier, blague qu'elle n'a absolument pas trouvé drôle. Aujourd'hui, elle habite chez sa tante, Jocelyn qu'elle respecte et à qui elle voue une admiration qui se fissure plus les jours passent. Si autrefois elle la considérait autant comme son modèle que son père, elle est évident aujourd'hui qu'elle ne voit plus la même force et l'envie de réussir chez sa tante, pourtant, elle ne peut que la féliciter pour son parcours déjà bien méritant. Tell me something I don't know Je me rappelle encore aujourd'hui la fois où j'avais appris que le père Noël n'existait pas. J'avais été si dévastée que je n'avais pas voulu sortir de ma chambre de tout le réveillon et mes parents ainsi que mon frère avaient pourtant fait tout pour. J'avais pleuré encore et encore avant que ma mère ne vienne me consoler. Je n'avais que 5 ans et pour moi ce petit être au ventre rond, habillé de rouge et à la longue barbe blanche était l'espoir d'un monde merveilleux pour les enfants comme moi, heureuse, épanouie, gentille et si sage que cela en était effrayant par moment. Ma mère m'avait alors caressé les cheveux et m'avait dis que tout le monde avait un père Noël: leur père qui faisait tout pour que les enfants soient heureux. J'avais passé le restant des vacances à être émerveillée par ce que faisait mon père et à aimer encore plus celle que j'appelais à l'époque maman. A présent, ce vieux n'évoque pour moi que mon envie irrépréssible de gerber. Un autre mensonge que l'on raconte à des enfants naïfs et si un jour, j'ai des enfants (ce que je ne veux certainement pas), je leur dirai la vérité et ne transformerai certainement pas les choses en de merveilleuses et niaises histoires à dormir debout, créées pour vous lobotomiser le cerveau. J'AIME ... l'alcool, fumer, danser, la musique, écrire, sortir, les pâtes à la carbonara, les sucettes, les gâteaux, la pluie.. | JE N'AIME PAS ... dépendre de quelqu'un, les oignons, les carottes cuites, le rose, les bimbos, le matin, mon réveil, réviser, le classique, les talons qui font mal aux pieds, qu'on me cache quelque chose pour me protéger.. |
The story of the impossible Combien de nuits s'étaient doucement écoulées dans l'ombre d'une pensée, d'une faute encore commise, d'un regret à rajouter à ceux déjà nombreux ? Combien d'heures Joy avait-elle perdues à danser sur une piste comme si elle était seule au monde, dans un cocon que seule elle pouvait entrer ? Combien d'heures à prétendre une chose qui n'était pas vraie ? A esquisser de faux sourires dans l'espoir qu'un jour tout se passe comme elle l'aurait désiré ? Combien de temps encore attendra-t-elle que sa vie suive enfin un long fleuve tranquille et non une marre de sang ? Déjà quatre ans que les silhouettes se faisaient plus lentes, plus éloignées encore. Elle était devenue qu'une vulgaire coquille vide attendant de se remplir de moments de bonheur mais rien de tel n'allait arriver. Elle était détruite, cette coquille était déjà fissurée. Déjà quatre ans qu’elle ne croyait plus au moindre oubli. Quelle amertume était pire que celle d’une habitude froissée ? Quelle blessure pouvait se faire plus vive que celle d’une culpabilité dont on est à jamais gravé ? Car oui, elle se sentait coupable de tout ce qu'il lui arrivait, de toute cette douleur et de tout cet enfer dont était ravagée la famille King, un réveil brutal qui les avait ramené à la dure réalité qu'était la vie ; la mort de leur précieux pilier, Alicia King. Car oui, quand le plus gros pilier s'effondrait, les autres le suivaient.
Les yeux cernés de trop de nuits passées à fuir dans la débauche d'une nouvelle soirée, de trop de verres ingurgités, de trop d'erreurs faites, la benjamine des King arpentait les rues de sa ville natale comme une âme en peine cherchant à trouver le réconfort dans un avenir meilleur, dans une chaleur qui pouvait lui faire oublier la douleur qui irradiait son cœur chaque jour de l'année, chaque seconde d'une journée.. Ses collants déchirés, sa marche peu assurée, elle errait. Une nouvelle fois elle avait pleuré, les traces rouges sur ses joues et son maquillage qui avait coulé pouvaient le prouver sans aucun problème. Une fête, un verre de trop, et tout avait dérapé encore une fois. Un garçon trop entreprenant essayant de la draguer, et le coup était partie tout seul. Elle l'avait giflé, cela ne l'avait pas arrêté pour autant, il avait caressé ses cuisses avant de remonter vers sa poitrine jusqu'à même souiller ses lèvres des siennes. Prise de dégoût, trop ivre pour bien se protéger, elle lui mordilla sa lèvre jusqu'au sang, réussissant cet exploit avec le peu de force qui lui restait. Et elle était partie en courant, sanglotant à s'en brûler les joues. Ses lèvres tremblaient, sa voix se brisait, et elle trouva un peu de repos au parc où elle s'y allongea. Ses pleurs redoublaient, ses problèmes revenaient, et le sommeil la prenait. Elle était trop fatiguée, ses pleurs et sa course l'avaient complètement lessivée. Doucement, ses paupières se laissaient entraîner vers le bas, les fermant alors sous le poids qui se rajoutait plus les secondes défilaient et ce fut ensuite, le noir complet. Who the hell are you ? Pseudo - apolline/ludivine. Age - bientôt 17 ans. Pays/région - france powaa, paca. Fréquence de connexion - tous les jours sauf quand j'ai une vie sociale ou que j'ai plein de devoirs. Comment avez-vous connu le forum - j'y suis depuis plus d'un an donc bon, je suis en train de devenir un dinosaure. Groupe - la colère (& bananaaaaa). Un dernier mot - je vous aime mes gueux.
Dernière édition par Joy King le Mer 1 Juil - 21:56, édité 3 fois |
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Nombre de messages : 1795 Etudes/Metier : en recherche d'un sugar daddy parce que flemme de continuer de bosser, sa vie vaut pas autant de mal. Love : son patron qu'elle se tape pour oublier sa solitude Humeur : d'humeur à niquer des mères Inscription : 01/01/2013
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 14 Mai - 14:22 | |
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Nombre de messages : 7267 Etudes/Metier : Travaille pour le sénateur O'Conell Love : Nate Humeur : Normale Inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 14 Mai - 14:37 | |
| Chaton Cousine de coeur aussi |
| | | Ginger Hair, Ginger Heart
Nombre de messages : 585 Etudes/Metier : Avocate Love : Un homme à tout faire sexy... Humeur : Heureuse Inscription : 08/10/2014
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 14 Mai - 14:41 | |
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| | | Je fais des commérages à propos des voisins
Nombre de messages : 779 Etudes/Metier : Caissière au supermarché à mi-temps & organisatrice de levées de fonds à l'église Love : Food ? Humeur : Gourmande Inscription : 01/05/2015
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 14 Mai - 14:48 | |
| Rebienvenue jolie brunette |
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Nombre de messages : 766 Etudes/Metier : étudiante en journalisme. Love : lost. Humeur : méprisante. Inscription : 18/12/2013
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 14 Mai - 15:30 | |
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Nombre de messages : 263 Etudes/Metier : Professeur de sport Love : Rachel Richardson Humeur : Amoureux Inscription : 29/04/2014
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 14 Mai - 15:38 | |
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Nombre de messages : 2296 Etudes/Metier : [en pause] Love : Forbidden. Humeur : un peu paumé. Inscription : 10/12/2012
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 14 Mai - 16:55 | |
| ENFIIN |
| | | Je fais des commérages à propos des voisins
Nombre de messages : 529 Etudes/Metier : employée au bowling Love : kanye af Humeur : pas d'humeur Inscription : 08/05/2015
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 14 Mai - 20:33 | |
| re re re |
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Nombre de messages : 5563 Etudes/Metier : 2ème littérature Love : ShawnyShawn Inscription : 29/01/2012
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Ven 15 Mai - 13:46 | |
| Joy |
| | | Je n'ai plus aucun secret pour personne, enfin presque...
Nombre de messages : 2657 Etudes/Metier : Etudiant Inscription : 05/10/2012
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Sam 16 Mai - 11:43 | |
| ma soeurette. (oui, j'ai changé de corps mais bref. ) |
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Nombre de messages : 5563 Etudes/Metier : 2ème littérature Love : ShawnyShawn Inscription : 29/01/2012
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 28 Mai - 0:09 | |
| Ne nous laisse pas dans l'atteeeeente ! Il reste peu de choses |
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Nombre de messages : 766 Etudes/Metier : étudiante en journalisme. Love : lost. Humeur : méprisante. Inscription : 18/12/2013
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Lun 1 Juin - 17:33 | |
| Bro', je t'aime quand même comme ça Je la finis demain ou mercredi aprem, pareil pour celle de Shanou, promis |
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Nombre de messages : 2296 Etudes/Metier : [en pause] Love : Forbidden. Humeur : un peu paumé. Inscription : 10/12/2012
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 4 Juin - 11:30 | |
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Nombre de messages : 766 Etudes/Metier : étudiante en journalisme. Love : lost. Humeur : méprisante. Inscription : 18/12/2013
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Jeu 4 Juin - 17:49 | |
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Nombre de messages : 10628 Etudes/Metier : pas grand chose Inscription : 29/12/2007
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Mer 1 Juil - 21:37 | |
| heyyy Alors y'a juste un couac...c'est pas Julian qui a tué Alicia, DS l'a révélé c'est Judith Livingstone :) Le reste est super, je te laisse modifier ça ou le rajouter |
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Nombre de messages : 766 Etudes/Metier : étudiante en journalisme. Love : lost. Humeur : méprisante. Inscription : 18/12/2013
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Mer 1 Juil - 21:58 | |
| AH OUI, en plus je l'avais lu Voilà, j'ai rectifié ma bêtise |
| | | Je fais des commérages à propos des voisins
Nombre de messages : 622 Etudes/Metier : Cultiver des poireaux quelque part... Love : être en couple ne veut pas dire aimer. Humeur : de retour. Inscription : 21/11/2012
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Mer 1 Juil - 22:03 | |
| naméhoooo ! julian est même plus à magnolia et on continue de l'embêter ! |
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Nombre de messages : 362 Etudes/Metier : employé au bowling. Love : c'est trop banal d'être sentimental. Humeur : lost. Inscription : 19/01/2014
| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. Mer 1 Juil - 22:07 | |
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| Sujet: Re: i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. | |
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| | | | i like my coffee how i like myself: dark, bitter, and too hot for you. | |
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