La famille c'est sacré à vie | H&C

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✿✿ Prend garde à toi petite fille car
je suis le grand méchant loup.

❥ claire & heathcliff

La famille n’est pas toujours le bon moyen de vous donner du sourire, elle vous fait mal par moment. Encore une fois mon père manque de tact et fait preuve de sérieux, m’évinçant ainsi d’une soirée auquel il est convié, y amenant ma belle-mère et mon grand-frère, me laissant, encore une fois. Merci Papa. Je suis jaloux de mon grand-frère par moment, mais au lieu d’agir comme lui, je fais l’inverse, et mon père ne semble même pas s’y soucier, au diable les bonnes manières, je suis un débauché à présent. C’est donc sur une humeur triste que je rentre à la maison, les lumières sont éteintes et il fait noir, mais je connais cette maison depuis tellement longtemps que je me guide jusqu’à la cuisine, me débarrassant de ma veste et la laissant sur le comptoir. Je dénoue ma cravate et sans que je ne puisse me contenir je donne un coup de pied dans le réfrigérateur. Sous la force du coup, celui-ci s’ouvre et me révèle son contenu. Une bouteille de whisky et entreposer en bas, n’attendant que ma personne. Je la prends alors doucement et rejoint doucement le salon, m’y posant, m’y défringuant. J’enlève mes chaussures et puis mon pantalon, restant simplement en chemise et boxer. J’ouvre alors la bouteille et m’enfile une première gorgée rapide, mais efficace. Le liquide se répand dans ma gorge et dans tout mon système, ça tient chaud et on pense à autre chose après ça. Oui, je veux me saouler et je n’ai besoin de personne, car je n’ai personnes de plus proche que ma famille pour me soutenir, me comprendre, à part ma famille, celle qui me fait mal à un point que personne ne peut imaginer, si seul. La solitude est celle que je ne veux pas côtoyer, mais en agissant comme je fais, je fais d’elle ma meilleure amie, mon alliée la plus précieuse. Rapidement je bois le premier quart de la bouteille, sans que cela ne me fasse un réel effet immédiat et me lève en direction de ma chambre. J’arrive au deuxième étage de la demeure et voit la chambre de ma sœur, avec curiosité j’ouvre doucement et regarde si celle-ci est présente. Elle y est, elle semble dormir, elle est si belle, ma petite sœur à moi. Un sourire, un vrai se fige sur mon visage, et c’est doucement que je prends place sur le lit de ma sœur, bien sûr il y a de la place, et je m’y pose doucement, pour ne pas la réveiller, juste à la regarder dormir, me saouler, et m’endormir aussi devant celle sur qui je peux compter dans ma famille. Ma p’tite sœur.

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La journée avait été des plus longues et des plus ennuyante. Mon père avait encore un de ses meeting et avait décidé d'amener mes deux frères. Enfin, je savais bien trop que Heathcliff allait revenir bien avant, parce que mon père ne faisait que le faire venir question de montrer qu'il avait deux fils. Et moi, il m'oubliait la moitié du temps. Après mes cours a l'université, j'étais revenu à la maison pour trouver, une fois de plus, la maison complètement vide. Un message sur la boite vocal venant de la part d'Eliza pour me dire qu'elle devais rester au bureau jusqu'à tard le soir, mais qu'elle avait pensé à me laisser de quoi manger dans le frigo. Après avoir mangé et fini mes devoirs, je regardais l'heure et me rendit vite compte qu'il était près de vingt-deux heures. Oui bon on était vendredi et je n'avais pas d'école le lendemain, mais quand même j'étais crevé. Je pris une douche vite fait, enfila mon pyjama ; un mini short et un chandail à manche courte, et je filais sous les couvertures. Je ne pris pas de temps avant de m'endormir profondément.

Environ une heure plus tard, je me tournais pour passé du ventre au dos et je m'accrochais dans quelque chose, enfin quelqu'un qui me fit sursauter. Je me redressais lâchant un léger cris de stupeur a la vue de mon frère couché dans mon lit.

CLAIRE - 'Cliff, qu'est ce que tu fou dans mon lit?

Lui dis-je en attirant les couvertures vers moi. Je tournais la tête vers mon cadran pour voir qu'il était vingt-trois heure quinze. Je soupirais et m'étendis de nouveau dans mon lit.

CLAIRE - Tu m'a foutu la chienne, ça fais longtemps que t'es la?

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✿✿ Regarde-moi petite sœur,
je suis ton grand-frère et j'ai mal.

❥ claire & heatcliff

Ma sœur, ma petite sœur. Celle sur qui je peux compter, même si je viens de lui donner une frayeur, en la voyant se réveiller en sursaut sous mes yeux tranquillisés, légèrement endormis par l’obscurité de la pièce, maintenant doucement éveillé par ma sœur, qui elle n’a pas eu droit à la même douceur que moi, au contraire, elle a eu peur toute seule. Un sourire con se pose sur mon visage, la voir ainsi se réveiller, c’est comme le réveil de la bête, elle était toute mignonne et une expression de rage a animé son visage par la suite quand elle a vu qu’il y avait quelque chose, puis moi. Je bus une autre gorgée de la bouteille au goulot et regarda ensuite ma sœur, il faut que je lui donne des explications, la pauvre. Le sourire qui se trouve sur mon visage a déjà disparu, ce n’était qu’un sourire du au réveil soudain de ma chère sœur. Je suis triste et seule ma sœur peut le voir, et elle le verra. Maintenant je dois lui répondre avant qu’elle ne pète sa crise, et ce n’est pas beau à voir quand elle commence à faire chier, surtout que c’est moi qui viens de la réveiller, ça peut crier dans ses moments-là, mais bien heureusement nous sommes seuls ce soir « Désolé Claire, je ne voulais pas te réveiller.. . Oh, ça va faire une bonne quinzaine de minutes. – Je laisse un blanc, regardant la bouteille au lieu de ma sœur – Papa a voulu que je rentre, je ne sers à rien là-bas. J’en ai marre. » Alors je bois, et sitôt dis, sitôt fait alors je bois encore dans la bouteille et regarde ma sœur, elle est belle ma sœur, mais mon père ne veut pas d’elle aussi « Papa ne t’amènes jamais, comme moi, je ne comprends pas, il repose tout sur Adrian. – Un autre blanc, plus long cette fois – Et toi, tu as passé une bonne journée petite sœur ? » Dis-je tendrement, quand je suis avec ma famille, je suis littéralement différent, je ne suis pas un salop attardé qui ne fait que regarder les mensurations d’une demoiselle, les jolies courbes de leurs corps sont attirantes, comme celle de ma sœur, mais celles-ci sont proscrites. Ma sœur fait bien ce qu’elle veut, mais elle ne doit pas devenir comme moi, je ne le permettrais pas, elle ne doit pas salir son honneur, ni celui de la famille, pour celui-ci, je m’en charge déjà seul.

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De nouveau allongé dans mon lit, je me demandais mentalement ce que pouvais bien faire mon frère a cette heure dans mon lit. Je n'avais pas encore remarqué sa bouteille d'alcool qu'il tenais dans ses mains. Je lui demandais depuis combien de temps il était couché près de moi et me répondit une bonne quinzaine de minutes. Je fronçais les sourcils, geste qu'il ne remarqua probablement pas étant donné qu'il faisait noir dans ma chambre. Je m'étirais pour atteindre ma lampe sur ma table de chevet et je l'allumais afin de mieux voir mon frère. Je posais mon regard sur lui. Il ne semblait pas bien..C'est alors que je suivis son regard et je remarquais cette bouteille dans ses mains. Ma première réaction fût celle-ci.

CLAIRE - Hé! Fait attention pour pas en renverser dans mon lit

Je croisais les bras et après qu'il en but une gorgée je la lui arrachais des mains pour en boire une gorgée à mon tour. Ce n'étais pas la première fois que je buvais du whisky pur et donc je n'eus aucune réaction lorsque ce liquide traversa mon œsophage pour se rendre dans mon estomac. Il me dit qu'il en avait marre. Je fronçais de nouveau les sourcils, marre de quoi? Je n'eus pas le temps de poser la question qu'il me répondit. Il me dit qu'une fois de plus le paternel l'avais viré de cette soirée donc il lui avait pourtant demander de faire acte de présence. Je soupirais en roulant des yeux. Ce qu'il pouvait être con mon père parfois. Il me dit par la suite que mon père ne m'amenais jamais dans ce genre de soirée non plus. Il n'avait pas tard. Quand j'étais jeune, il adorait me trainer avec lui, mais depuis que j'ai atteins l'adolescence, il me laisse carrément en plan. Enfin bon, moi je m'en foutais quand même de ne pas être la fierté de mon père. Enfin parfois je ne m'en foutais pas et j'en était blessé, mais présentement j'en avais rien a cirer.

Un petit moment de silence s'installa entre nous deux, j'en profitais pour boire une seconde gorgée de whisky. Mon frère me demanda alors si j'avais passé une bonne journée. Je hochais la tête pour répondre par l'affirmative. Bien qu'elle ai été longue et ennuyante, la journée c'était bien passé.

CLAIRE - Vient, on va aller au salon, on va être plus confortable pour parler et boire.

Dis-je a mon frère en me levant de mon lit. Je lui tendis la main avec un petit sourire sur mes lèvres. Mon frère m'avait réveiller, alors il allait devoir m'endurer. Ce dernier semblait être un peu en état d'ébriété alors pourquoi pas ne faire pareil? Un petite beuverie de fin de soirée ne ferais de mal a personne.

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✿✿ Buvons à deux,
et devenons plus fort qu'eux.

❥ claire & heatcliff

Ma famille est sans doute une famille étrange, tout le monde se laisse à croire les images que l’on arrive à montrer, une famille unie où l’amour règne. Ce n’est qu’une image, ce qui croient à cette image sont aveugles, et ne nous connaissent vraiment pas. Rares sont les personnes qui nous connaissent et qui savent qui sont réellement les membres de cette famille, les bons ou les méchants, la vie est ainsi, elle est pavés d’imbéciles et d’aveugles, à nous d’être malins et de savoir les éviter avec agilité sans être touchés et contaminés par leur vision fermés de la vie. Moi je vis, je vis même un peu trop, pas comme mon père voudrait que je vive mais ça ne le dérange pas, sinon il m’accorderait bien plus d’importance et donc je n’agirais sans doute pas ainsi, il s’en fiche tout simplement. Et moi, je continue, encore et toujours cette spirale infernale de débauche, d’alcool et de drogue par moment. Je suis sans doute un mec perdu, mais trop fier pour l’avouer. Mon père le voit et a réussi à me le faire comprendre ce soir, c’est pour ça que je suis là, je me raccroche à la famille qu’il m’a donné tout en le haïssant encore et toujours plus fort. Je ne peux pas réellement lui en vouloir, mais depuis la mort de ma véritable mère, il est devenu ainsi. Je ne peux le comprendre, tout à changer depuis qu’elle a disparu, et maintenant nous faisons avec lui, et son changement. Nous avons une belle-mère qui est presque aussi jeune que nous et pourtant, elle paraît si impossible à aborder, mais si tentante. Je le vois, mon frère l’a vu, et je le comprends, et pourtant nous n’oserons pas, car c’est notre belle-mère. Ma sœur est celle qui me comprend le plus, celle qui me rassure et qui peut m’écouter, une confidente et avec laquelle il n’y a aucun sujet tabou, l’on se connaît par cœur. Alors que je bois, elle me prend la bouteille en me disant d’y faire attention de ne pas en renverser, je souris et la regarde boire, elle aime boire cette petite, qui n’est plus si petite d’ailleurs « Doucement sur la bouteille, t’es pas censé boire plus que moi ! » Dis-je en rigolant avant de doucement me lever. Ma sœur me propose de bouger et d’aller dans le salon, pourquoi pas. J’ébouriffe les cheveux de ma sœur au passage, elle était mignonne habillée ainsi, et surtout elle venait d’être réveillé par son adorable grand-frère et tout deux nous allons nous saouler comme deux alcooliques en proie à un mal commun : la famille. « C’est vrai que le salon c’est mieux – dis-je en sautant sur le sofa et en laissant de la place à ma sœur près de moi – avant Papa était heureux et il a fallu que le ciel nous prenne maman. » Je pris la bouteille et but une grande gorgée, maman me manque et je ne peux oublier ce manque que par la boisson, autant se saouler à ne plus rien comprendre pour éviter de trop souffrir, pour l’instant je n’étais que légèrement saoul, je ne finirais saoul que dans ma chambre surement.

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Tout en aidant mon frère à se relever, je bu une assez grosse gorgée de la bouteille ce qui força mon frère à me dire que je devais y aller plus doucement sur la bouteille, ne devant pas boire plus que lui. Je penchais la tête sur le côté arquant un sourcils tout en ayant un rire sarcastique.

CLAIRE - Je dois bien te rattraper, t'es déjà saoul toi.

Dis-je buvant encore une gorgée. Avant de sortir de ma chambre Heathcliff m'ébouriffa les cheveux. Il savait pourtant que je déteste ce geste. Je fronçais les sourcils, me mettant à courir après lui jusqu'au salon. Nous avions l'air de deux jeunes enfants en train de jouer au chat et a la souris.

Arrivé au salon, Cliff s'installa sur le divan. Je me dirigeais vers le cabinet d'alcool de la maison pour attraper une ou deux bouteille de plus, question d'avoir de la variété dans notre beuverie. J'attrapais une bouteille de vodka de rhum ainsi qu'une seconde bouteille de whisky. J'allais vers mon frère et m'installais à ses côtés sur la canapé. Je déposais les bouteille au sol et accotais ma tête contre mon frère. Il semblait réellement déprimer. Il dit alors avant de prendre une gorgée de boisson que notre père était bien plus heureux avant et que le ciel nous avait pris notre mère. Je baissais la tête, sentant soudainement la nostalgie s'emparer de moi.

CLAIRE - Parle pas de maman.

Ma mère, ce qu'elle me manquait. Parler d'elle était vraiment un sujet sensible. Le mois passé on avait célébré son quinzième anniversaire de décès et ça m'avais fendu le coeur. Je ne pu m'empêcher de lever les yeux vers le plafond tout en poussant un soupir. Était-elle entrain de nous regarder et de se demander ce que ses deux bébé était en train de faire? J'haussais les épaules doucement tout en ouvrant la bouteille de vodka. Au diable les verres on allais boire directement à la bouteille. Je pris une gorgée de vodka tout en posant mon regard sur mon frère.

CLAIRE - Ça te dis de jouer a un jeu?

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✿✿ Toi & Moi, eux, sans nous.

❥ claire & heatcliff

L’impression, que de plus en plus, ma sœur me ressemble n’est pas factice, elle est bel et bien présente, mais heureusement pour elle, elle ne sera jamais aussi pire que moi, elle sera toujours aimé et jamais détesté, contrairement à moi qui le suit depuis toujours, le mal-aimé de la famille, une victime l’on pourrait dire. L’allégresse de ce moment, le moment de nostalgie de notre enfance remontant, on ne pouvait qu’être bien et pourtant un sourire faux statue sur mon visage, ne voulant pas bouger, persistant à rester ici, à demeurer là. Ma sœur, aussi folle que moi, voulant boire un peu plus, partit chercher de quoi varier nos envies de boire, de quoi varier les sauces, et au pire, les mélanger. C’est ce qu’il risque de se passer, j’en ai bien peur, mais nous sommes chez nous, il n’y aura pas de problème, nous avons bien le droit de nous saouler chez nous, on n’a pas besoin de quelqu’un pour nous ramener, le problème n’est plus. Vraiment ? On ne sait jamais ce qu’il peut se passer avec un trop plein d’alcool. Bien sûr on gère, mais lorsque j’entendis ma sœur qui veut rattraper le degré d’alcool que j’ai, ça me fait sourire, elle n’y arrivera pas, à moins qu’elle ne me surprenne et vu que c’est ma sœur je n’en douterais pas, elle est aussi forte que moi lorsqu’il s’agit des surprises. Le sujet de conversation s’élance, mon père ne m’aime décidemment pas et s’amuse à blesser l’amour propre que je me porte et surtout à éveiller des espoirs en moi. Je veux qu’il me voit, et pas comme le garnement que je suis depuis qu’il a commencé ce jeu, mais comme son fils, celui qu’il est censé aimer, il a changé parce que maman nous as quittés, et c’est nous qui en payons le prix. Pourquoi ? On ne le saura jamais, comme personne ne saura pour moi pourquoi je n’arrive plus à me regarder en face. Alors que j’ose partager mes pensées, ma sœur, elle, ne veut plus en entendre parler, et le mal qu’elle a je le lis dans son regard, dans le son de sa voix, elle a mal. Quel idiot je fais. Doucement je passe mon bras autour des épaules de ma sœur et la colle doucement à moi, nos têtes collés l’une à l’autre aussi. Murmurant à son oreille un « Désolé sœurette. » Avant de boire une autre et longue gorgée de whisky. De quoi être un peu plus saoul, un peu moins là et plus dans une autre dimension, pour éviter de penser à sa propre vie, de la vivre. C’est lâche et alors, certains se disent courageux et pourtant ils ont déjà fait pareil dans des moments de désespoir, et moi, le désespoir, je le côtoie depuis bien trop longtemps. Ma sœur me propose alors un jeu, mais quel jeu ? Je ne sais pas, de quoi se changer les idées, de penser à autre chose qu’à nos petits malheurs, le temps d’un moment, pourquoi pas. Je la regarde doucement et ouvre la bouche « Pourquoi pas, qu’as-tu en tête Claire ? » demandais-je. Curieux, j’attends avec impatience qu’elle me dise de quoi sera fait son jeu, quel sera-t-il, bonne question.

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Et voila, mon frère était venu me réveiller et nous avions décider de passer le reste de la soirée a boire et a parler. J'eus l'idée de lui proposer un jeu, avec un petit sourire en coin, question d'accelere le taux d'alcool qui allait entrer dans notre organisme. Je lui fis un petit sourire malin

CLAIRE - Pourquoi on ne jouerais pas à je n'ai jamais?

C'était un jeu pour apprendre a mieux connaitre l'autre et j'aimais l'idée. Bien sur Heahtcliff était mon cher frère mais je ne le connaissais pas si bien que ca après tout. Nous nous cachions certaine chose et c'était tout a fait normal. Par exemple, je lui cachais le fait que je couchais avec Joy. Pense a elle me fit sourire soudainement. Pour empêcher Cliff de voir ce sourire plein de bonheur je pris une gorgée de vodka et j'allais déposer un petit bisous sur la joue de mon cher frère. J'étais heureuse de pouvoir enfin passer du temps avec lui. Il y avait déjà un moment que je n'avais pas eu un moment seul à seul avec lui, a cause de nos horaire bien trop chargé pour le commun des mortels.

CLAIRE - Alors tu commence?

Dis-je en me redressant pour lui faire face. J'avais bien hâte de voir ce qu'il allait dire. Je lui souris doucement, buvant une autre gorgée de vodka à même la bouteille. J'avais bien l'intention de me laisser carrément aller et de profiter de la soirée. Après tous nous étions à la maison et donc pas de danger qu'il m'arrive quoi que ce soi si je buvais trop. Enfin rien sauf un père en colère s'il me trouvais complètement saoul.

Spoiler:

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