Leonor Stone

Il était une fois un flan, pas vraiment bon, mais réputé pour son humour hors du commun. En effet, il faisait rire autant les petits et les grands, avec sa blague du pingouin qui respire par le cul. Du coup sa tête avait une forme bizarre, et il se faisait charrier par les clafoutis aux cerises, qui sont les plus méchants car ils ont pris le melon et se la pètent au festival de Cannes. Ils y dansent la bachata et se prennent pour les rois. Ils ont rétabli l'ordre au sein de la mafia des gâteaux. Pourtant les cupcakes courent toujours, après avoir volé toutes les cerises du frigo ! Mais bon, les cerises c'est pas bon, sauf quand on les mange à plusieurs car plus on est de fous plus on rit ! Ce dicton racontait de la merde, en effet la bouffe ça rigole pas ! Par conséquent ils se firent tous bouffer pour calomnie par Léon, un petit garçon, qui aussi surprenant soit-il, était roux. Le problème quand on est roux c'est que Andrew Davies a peur de vous, or Andrew Davies est une personne géniale mais dangereuse. En effet celui-ci les envoie en enfer par la simple pensée ! Il faut donc être très gentil avec lui. Mais nous nous égarons du sujet, revenons-en à ce flan qui était tout triste de se faire charrier par les clafoutis, il tenta de se suicider en sautant du haut de la tour Eiffel. Mais ce jour-là, une tornade est passé à Paris et a détruit la tour ! Le clafoutis décida donc de venir en aide au flan, et lui offrit une thérapie. Là-bas, il rencontra une superbe tarte aux pommes dont il tomba instantanément amoureux. Oui, mais la tarte aux pommes aimait déjà quelqu'un d'autre. En effet, elle était amoureuse d'une ananas transgénique qui souffrait le martyre. Oui, cette tarte aux pommes était homosexuelle et manifestait souvent des envies particulières et des fantasmes complètement fou. Par exemple elle demanda à l'ananas de lui faire un strip tease avec comme musique d'ambiance des klaxons de camions et de voitures. Mais l'ananas n'était pas une vicos, et refusa ce fantasme dégradant. Alors, la tarte aux pommes décida d'aller voir ce fameux flan qui était en thérapie avec elle. Et elle lui demanda: "tu veux toujours coucher avec moi ?". Et le flan répondit : Oh oui, tu me rends tout flagada... Répondit-il ... Et ce qui devait arriver arriva. Malheureusement quelques mois plus tard, la tarte aux pommes tomba enceinte du flan... Et elle accoucha de monsieur Flanby ! Sauf que depuis, le Flan l'avait lâchée, il avait rencontré une tarte à la cerise qui jouait de l'harmonica et qui vint narguer la tarte aux pommes à la maternité. Alors cette dernière, prise d'une rage folle décida de prendre le pouvoir du monde et de régner avec son bébé tarte aux pommes. Sa première décision fut de manger son bébééééé Flanby, car elle detestait les flans maintenant, puis elle bannit tous les flans de la région ! Ces derniers furent si tristes qu'ils décidèrent de se venger en tuant toutes les pommes de la région ! Les producteurs furent bien embêtés car ils n'avaient plus rien pour leur récolte alors ils prirent des pommes en plastique. Mais les consommateurs portèrent plainte en se révoltant. Ils tuèrent tous les flans se trouvant sur leur passage. Un jour n'ayant plus rien à manger les humains décidèrent de se rendre au Pôle Nord pour demander à manger au Père Noël qui leur dit que pour manger il fallait qu'il réalise un service qui était : convaincre la Mère Noël de ne pas demander le divorce ! Celle-ci voulait se séparer du père Noël car il l'avait trompé avec marraine la bonne fée. Il fallait aussi retrouver ses rennes, qui s'étaient enfui au Mexique car ils voulaient se la couler douce au soleil, et bronzer toute l'année. Les producteurs décidèrent donc de se manger entre eux. A la fin, ne restèrent plus que les ananas, qui décidèrent de monter un feu de camp parce que ils voulaient faire griller des marshmallows. Mais ils n'avaient pas assez de marshmallow alors

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/709054-liberte-de-conscience-et-mariage-gay-l-egalite-au-rabais-selon-francois-hollande.html

(On doit rire ou pleurer?)

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Famille Spencer 23
Famille Ainsworth 25
Famille Hamilton 09

« Dans ce sac ridicule dans lequel Scapin s’enveloppe, je ne reconnais plus l’auteur du Misanthrope »

I La beauté de la femme
II Le point de vue du narrateur
III Felix, un anti héros romantique

Provoqué par un comportement dangereux

Famille King 31
Famille Huntington 15
Famille Spencer 24
Famille Ainsworth 22
Famille Hamilton 10

« J'suis obligé... Et puis, c'est qu'une barrière à repeindre et une telouse à tondre. Et avec un peu de chance, j'aurai même un pourboire. »

Cours TD.odt

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Famille Spencer 25
Famille Ainsworth 20
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Le petit soupir que poussa Lucy avant de répondre n'inspira rien de bon à Julian. Il était vrai que sa curiosité l'avait poussé à poser quelques questions indiscrètes, qui ne le concernaient en rien. Peut-être qu'il avait, involontairement, obligé à la jeune fille à se positionner dans ses derniers retranchements, et même à dépasser sa limite ? A cette pensée, il se sentit gêné plus encore. En aucun cas il n'avait voulu la mettre mal à l'aise, et pourtant, c'était bien ce qu'il avait réussi à faire. Son adresse dans cette discussion valait celle d'une dinde; qu'on le gave et qu'on l'abatte.
Malgré tout, il s'informa des activités de Lucy chez les Wainwright. En plus de répondre à ses questions, cela le rassurait. Bon, lorsque la jeune fille avança qu'elle s'occupait également des tâches ménagères de la famille aux doigts de fée, Julian tiqua. Il imagina une seconde que son véritable passe-temps chez les Wainwright était celui-ci, mais qu'elle avait énuméré ses autres tâches en premier pour ne pas l'inquiéter. Ce genre de concessions étaient très souvent analysées lors des premières années en psychologie. On apprenait même à s'en servir pour obtenir plus facilement ce que l'on souhaite d'une personne. C'était effrayant comme le cerveau humain pouvait être maléable et facile à berner. Mais malheureusement, Julian appartenait désormais à la catégorie des manipulateurs; non pas qu'il use lui-même de ces techniques, mais qu'il les connaisse et sache les détecter. Eviter d'être pris pour un pigeon était toujours agréable, et évitait quelques aléas malencontreux. Si tel était la volonté, ou la raison inconsciente, c'était possible aussi, de Lucy, alors il n'était pas tombé dans le panneau. Ses doutes restaient en état d'éveil.
La jeune fille insista sur l'aspect temporaire de cette situation, mais Julian sentait que quelque chose clochait. Comme si le plan de sa théorie était bancal ; il lui manquait une donnée importante. Malheureusement, il ne savait exactement quelle question poser, et il ne se sentait pas prêt à acculer Lucy davantage. Leur conversation allait tourner au jus d'airelles s'il s'aventurait sur ce terrain-là.
Alors, sans exprimer la moindre déception, Julian hocha la tête. Si ses suspicions ne s'évaporaient pas avec le temps, il était sûr d'avoir d'autres occasions pour leur trouver des réponses convenables.
Alors que Julian cherchait un moyen de reprendre la discussion sans pour autant gêner son interlocutrice, ce fut elle qui proposa un nouveau sujet. Enfin, Lucy amena plutôt la conversation à son avantage, en exprimant son envie d'entendre Julian parler de lui. Humpf. Quelle décision délicate. Le jeune homme sentait qu'il devait bien ça à la demoiselle, mais en même temps, il était considérablement inquiet de la suite de l'aventure. Il savait comme un rien pouvait le fruster, le déranger, ou pis, l'énerver. Finalement, il préféra ne rien répondre. Si Lucy désirait tellement connaître les détails de la vie de Julian, elle trouverait les questions appropriées à lui poser. Pour l'heure, il fallait aussi qu'il songe à terminer ses courses. Daren devait certainement s'impatienter.
Alors, considérant que leur conversation pouvait se poursuivre même en marchant dans le supermarché, Julian fit cette proposition à la jolie brune :
-On continue nos courses ensemble ?
C'était un véritable don pour éluder les questions embarrassantes, ne trouvez-vous pas ? En attendant, il offrit un sourire à Lucy, qui signifiait bien qu'il ne refusait pas ses interrogations. Ce n'est pas parce qu'il l'invitait à marcher et à remplir son caddie qu'il se fermait à elle. Bien au contraire. En effet, il était certain que concentré sur autre chose, sa spontanéité dans leur discussion en serait décuplée. Et dans ses calculs, ôter un peu de sa gêne pour la remplacer par une once de naturel et de franchise n'était pas dérangeant. Ouvrant la marche, il attendit de voir si la jeune fille le suivait ou non.