Victoire ou défaite à toi de voir! [Rose VV]

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Je souriais devant ma glace m’inspectant sous toutes les coutumes dans le miroir de ma chambre et j’étais tout simplement parfait comme à mon habitude mais cela m’arrivais encore de m’éblouir moi même. Pourtant je portais juste un jean Levis bien ajusté et un sous pull manche longue noire mais l’ensemble faisait ressortir mon physique de mannequin. Je continuais à m’admirer quand j’entendis mon père m’appeler depuis une pièce au rez de chaussée. Je soupirais et m’attacha à mon reflet avec regret me demandant ce que mon père me voulais. Je sortis de ma chambre et descendis qu’un pas traînant dans les pièces du bas pour trouver mon paternel.

Je finis par le débusquer dans la cuisine entouré par les 3 femmes qui vivaient avec nous. Je retiens une grimace devant son air content de lui il m’avait juste attiré ici pour que je puisse être en « famille ». je grognais intérieurement ils commençaient tous à m’agacer prodigieusement à essayer de jouer à la petite maison dans la prairie à sourire béatement comme si on débordait d’amour dans ce domicile. Franchement je n’avais pas envie d’en voir plus mais mon père avait été très clair sur mon comportement quand je revenais en week end à Magnolia je devais être d’une politesse exemplaire sinon je resterais à Harvard. Mais moi je demandais pas mieux de rester sur le campus.

J’attrapais une pomme et m’amusa à la lancée en l’air en souriant de toute mes dents sans pour autant intervenir dans la conversation qui se déroulait autour de moi. Je finis par reposer le fruit et après avoir trouvé une excuse je quittais la pièce rapidement avant de vomir devant tant de mièvrerie. Le pire c’est que j’étais en vacances j’allais donc être coincé ici pour une semaine entière et j’avais déjà fini mes devoirs pour la rentrée. Alors si mon père m’empêchait de sortir j’allais mourir d’ennui. Je décidais donc d’aller faire un tour dehors pour essayer de trouver une distraction.

Je me retrouvais donc sur le palier et m’arrêta quelques instants respirant à plein poumon sentant la tension qui m’avait envahi un peu plus tôt disparaître. J’allais partir quand j’entendis la porte d’à coté claqué. Je tournais la tête en souriant me demandant si j’allais pouvoir m’amuser à taquiner Nina vu que les Van Valkenburg habitait la maison voisine à la mienne. Mais non se fut sa sœur aînée Rose qui se tenait sur le palier. J’allais la saluer quand je vis comment elle était habillée.

Oh non Rose ! Tu le fais exprès ma parole ! Regardes comment on est habillé ! Ce qui te met en valeur par ailleurs cependant ce n’est pas comparable à la façon à laquelle cela me va.

Je lui souris amusé. J’aimais bien Rose surtout quand elle essayait de rivaliser avec moi mais il fallait l’admettre des fois elle gagnait ce qui n’était pas désagréable vu que c’était de temps en temps.

Invité

Rose avait l'impression que tout devenait routinier ces derniers temps. Ça ne lui plaisait pas. Elle avait parfois l'impression de tellement s'ennuyer. Bien qu'elle fasse ce qu'elle appréciait le plus dans la vie c'est-à-dire jouer de la musique tous les jours, elle ne pouvait s'empêcher de sentir comme un vide chez elle. Et pourtant, elle n'avait pas tout pour être heureuse ? Elle suivait des cours de violon tous les jours au conservatoire, elle avait Bryan avec qui les choses se passaient à merveille, et puis sa famille semblait être équilibrée. Malgré le petit incident chez les Freeman, les relations, d'accord ce n'était pas forcément simple d'y vivre tous les jours, mais Rose voyait plus la vie positivement que négativement depuis quelques mois. Pas moyen de se sentir parfaitement bien cependant.

Aujourd'hui donc, elle avait décidé de casser un peu sa routine. Elle avait une répétition ce soir, ce qui lui laissait toute la journée de libre pour vaquer à d'autres occupations. En temps normal, elle serait sûrement passée au studio de danser histoire de rester en forme, mais elle ne se sentait pas trop le courage. Elle traîna donc chez elle, en pyjama jusqu'à pas d'heure. Bizarrement tout le monde pointait aux abonnés absents. Nina et Evane avaient disparu ensemble de la circulation, quant aux adultes, ils devaient être au travail... un truc comme ça. Tant mieux dans un sens, Rose appréciait beaucoup la tranquillité. C'était désormais rare qu'elle ait un moment de calme après tout ils étaient quand même six dans la maison. Heureusement qu'il n'y avait pas d'enfants en bas âge, car sinon... Bref, elle décida donc de s'habiller, le plus simplement du monde, un jean coupe droite, avec un haut noir à manche longue. Elle enfila ses chaussures ; des bottines à talon, et se glissa dans l'air frais du dehors.

Quelle ne fut pas sa surprise d'entendre Cameron Cooper s'adresser à elle alors qu'elle était en train de faire claquer la porte de sa maison. Elle ne put s'empêcher de lâcher un petit rire à sa remarque. Elle s'examina ensuite pour vérifier ses dire. Quelle drôle de coïncidence même si leur tenue ne faisait pas particulièrement preuve d'imagination.

« Ah ? C'est bizarre, mais comme on dit les grands esprits se rencontrent. »

Cameron... Il était spécial quand même. Rose l'aimait bien, mais à petite dose, parce que son égo avait tendance à prendre toute la place. Tiens, d'ailleurs le voilà qui la complimentait, mais il se complimentait aussi, il ne perdait jamais le nord celui là. Il était définitivement intelligent, il le savait, en jouait beaucoup, un peu comme Rose, et c'est pour ça qu'ils aimaient bien se taquiner un peu. Ça tombait bien Rose n'avait rien à faire d'autre.

« Merci... » dit-elle amusée. « Alors Cameron, ça fait longtemps qu'on t'avait pas croisé par ici. Tu me manquais presque voisin. »

Dans le fond il n'était pas méchant, il suffisait juste de rentrer dans son jeu et de ne pas le prendre au sérieux.

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Je n’avais pas été très poli, il fallait le dire, avec Rose mais elle avait l’habitude à chaque fois qu’on se croisait et elle était moins susceptible que sa petite sœur qui prenait toujours la mouche quand je lui parlais. Je souris à Rose quand j’entendis sa phrase sur les grands esprits.

Sur un palier quelle chance.

J’étais toujours un peu désappointé par l’essaie pitoyable de mon père pour essayer de rapprocher les membres de sa famille. Mais c’était sa famille pas la mienne, je ne considérais pas les deux pestes comme mes sœurs et encore moins Mérédith comme une nouvelle maman. J’avais déjà la mienne même si elle était partie cela ne signifiait pas qu’elle pouvait être remplacée comme un kleenex. Je tournais mon regard vers Rose pour ne pas y penser et me concentrer sur ce qu’elle me disait. Elle parlait du fait que je n’étais plus à Magnolia souvent.

Ouais je rentre de temps en temps. Et moi cela fait longtemps que je ne t’ai pas entendu jouer ou même passer en petit tenu devant tes fenêtres. Je n’ai pas d’aussi belle voisine à Harvard.

Je lui fis un grand sourire innocent. Je la charriais je ne la matais pas de mes fenêtres même si cela m’était arrivé une fois de la voir passer en soutif mais je n’étais pas un voyeur j’avais juste jeter un coup d’œil avant de me détourner. Mais je trouvais amusant le fait de penser qu’elle allait faire attention à chaque fois qu’elle passerait devant une vitre. Je me mirais suffisamment moi même ce qui me prenait pas mal de temps sans qu’en plus je contemple les autres.

Et à part tes tendances à l’exhibitionnisme qu’est ce que tu fais de tes journées vu que comme moi tu dois être en vacances?

Je lui fis de nouveau un sourire candide. Ce n’était pas elle qui se baladait en boxer ou en serviette dans la maison ce que je faisais même si mon père me demandais souvent de m’habillais mais j’aimais bien que mes deux « sœurs » regardent sans pouvoir toucher. Je m’appuyais sur la rambarde posant mes deux mains dessus et mon bassin contre pour pouvoir me rapprocher de Rose je n’avais pas envie pour le moment d’aller jusqu’à son propre palier. Pas que j’avais peur qu’elle m’envoie sur les roses cela ne me posais pas de problème vu que je décidais quand je partais ou que j’arrêtais de parler sans prendre en compte l’avis de l’interlocuteur.

Invité

Comme Cameron venait de le souligner il fallait que les deux voisins se rencontrent sur un pallier. A vrai dire ce n'était pas si surprenant que ça, oui c'était un peu le risque quand vos maisons étaient à côté l'une de l'autre. Elle rit doucement, sensible à l'ironie de sa phrase. Puis Rose s'enquit de son charmant voisin. Elle avait entendu dire par sa mère qu'il était à Harvard. Dans le genre je mets la pression il était quand même fort. Rares sont ceux qui peuvent se vanter d'avoir côtoyer les bancs d'une si prestigieuse université. Rose ne doutait pas qu'il allait avoir un brillant avenir devant lui ; faisant par conséquent de lui un très bon parti. Cette façon de penser était sans doute un peu vénale, mais il fallait aussi voir les choses en face. A Magnolia -Rose en était persuadée- bon nombre de mères auraient pu pousser leur filles en direction de Cameron car son avenir était tout tracé. Après tout chacun voit midi à sa porte, et puis Rose doutait fortement que Cameron soit le genre de garçon posé et stable. Il était bien trop studieux pour être en plus un parfait petit fils à papa qui ne faisait jamais rien de mal. D'ailleurs, les paroles qu'il prononça par la suite venaient de confirmer la pensée de Rose. Alors comme ça, monsieur la voyait se balader en petite tenue ? Bizarrement elle ne se souvenait même pas avoir déjà jouée à l'exhibitionniste. Sans doute la taquinait-il histoire de voir s'il arriverait à l'énerver. Malgré cela il venait aussi de la complimenter, et Rose n'était pas non plus insensible à cela.

« Ah oui, alors comme ça la chose qui te manque le plus quand tu n'es pas à Magnolia c'est de ne pas pouvoir m'espionner à travers les fenêtres ? Je suis presque flattée. »

Elle répondit à son petit sourire innocent par un du même type. Quel beau parleur franchement ! Malheureusement il fallait que son égo prenne parfois toute la place, c'était dommage, car au fond il avait du potentiel comme garçon.

« Mais dis moi un peu comment ça se passe à Harvard. »

En réalité elle ne souhait pas aller alimenter les ragots que sa mère pouvait bien colporter dans tout Magnolia quand elle faisait ses réunions, elle s'intéressait vraiment à la vie de son voisin. Aussi étonnant que cela puisse paraître elle le trouvait plutôt intéressant, surtout pour son jeune âge. Il avait le même âge que Nina mais Rose n'arrivait pas à les mettre sur le même pied d'égalité, elle jugeait sa sœur un peu trop enfantine par rapport à Cameron. Mais cela tenait peut-être aussi du fait que Nina resterait à jamais sa petite sœur et que c'était étrange de la voir grandir.

Voilà que lui aussi s'intéressait à Rose lui demandant ce qu'elle faisait ces temps-ci tout en s'appuyant contre la rambarde alors que Rose n'avait pas encore bougé depuis le début de leur échange. Depuis qu'elle avait quitté la fac, elle avait encore plus de temps libre pour se consacrer à son art, chose qui ne lui déplaisait pas du tout. Elle s'y mettait à fond, et avait même trouvé un petit boulot en jouant quelques soirs par semaine dans un petit restaurant en ville. Ce n'était pas le bout du monde, mais ça lui permettait de s'assumer un peu, elle avait quand même vingt-deux ans, et dépendre de ses parents ne l'amusait plus.

« Eh bien je passe mon temps à jouer du violon, et je ne suis pas en vacances. J'ai même une répétition ce soir. On dirait qu'on bosse plus ici qu'à Harvard ! »

La dernière phrase était bien évidemment sarcastique, elle visait juste à l'embêter un peu, comme quand il l'avait appelée exhibitionniste.

Invité

J’avais été très rapide sur le fait que j’étais désormais à Harvard et en profita pour lancer une petite pique sur les habitudes exhibitionnistes de ma voisine juste pour voir comment elle allait réagir. En plus je lui faisais un compliment détourné en soulignant qu’elle était la plus belle de mes voisines. Mais bon j’étais dans une résidence étudiante où il n’y avait que des mecs donc les seules filles que je voyais dans le bâtiment étaient soit des petits amis soit des filles en chaleur en manque qui traînaient pour se trouver un bouche trou dans tous les sens du terme. J’évitais ce genre de fille je ne voulais pas d’une traînée qui s’était tapé tous les mecs d’une section. Je refusais même qu’elle me touche seulement la main c’était répugnant.

Je rigolais doucement en entendant la réplique de Rose. C’est cela que j’appréciais chez elle, Rose avait de la répartie et ne se laissait pas impressionner par mes paroles. Par ailleurs elle ne ressemblait pas du tout à sa sœur Nina que se soit physiquement ou mentalement. Sa cadette était plus grossière qu’elle en tout cas quand elle me parlait Nina m’envoyait balader d’une manière peu féminine mais il fallait l’admettre que je ne perdais jamais une occasion de la provoquer j’aimais bien la différence entre son coté poupée et son caractère vindicatif.

Voyons tu es belle tu le sais et je suis un mec je ne vais pas me plaindre de pouvoir regarder une jolie fille en petite tenue. Par ailleurs si tu t’ennuies n’hésites pas à venir me voir je suis sur qu’on pourra trouver quelque chose à faire.

Bon il fallait que j’arrête les compliments les filles devenaient vite insupportable quand elle était trop sur de leur charme sur un homme. Cela leur faisait oublier toute bienséance même si je me doutais que Rose ne tomberait pas dans un piège aussi grossier. Je lui fis mon plus beau sourire pour souligner mes propos. J’adorais flirter c’était comme une seconde nature chez moi même si je n’allais pas toujours jusqu’au bout. J’aimais l’avant quand les filles rougissaient et se tortillaient c’était ce qui était amusant dans la drague le reste n’était donné qu’à une fille qui me méritais ce qui entre nous ne courrait pas les rues malgré ce que les gens pouvait penser. Rose reprit la parole pour me demander de lui parler d’Harvard. Je fis une petite moue de mécontentement j’en avais assez qu’on me pose tout le temps cette question. Je soupirais doucement sans vraiment faire attention.

Je me demandais quand tu allais me poser la question comme toutes les personnes que je croise depuis le début de l’année universitaire…. J’ai l’impression que les gens se sentent obligé de me solliciter à en parler alors que la plupart se fiche de ma réponse.

Je fis une petite pause pour réfléchir à ce que j’allais dire. J’adorais parler d’Harvard malgré ce que j’avais dis à Rose. Mais il fallait l’avouer que je me demandais pourquoi elle m’avait interroger sur l’université. Elle n’était pas du genre à poser sans pouvoir avoir la réponse juste pour faire comme si elle s’occupait des autres. Ce qui voulait dire qu’elle avait envie de m’écouter parler ce qui m’allait parfaitement.

Je me demandais souvent pourquoi je rentrais sur Magnolia j’étais sur que j’arriverais à manipuler mon père pour qu’il me permette de rester le week end là bas mais il fallait l’admettre que j’appréciais le quartier même si je critiquais souvent ses habitants. Après tout cela faisait 10 ans que j’y étais et tout le monde n’était pas à mettre dans une poubelle.

Alors Harvard est ce que je m’imaginais en mieux. C’est agréable de pouvoir discuter avec des personnes qui ont plus de deux mots de vocabulaires. Les cours sont vraiment intéressants et détaillés, on ne fait pas que survoler des sujets comme au lycée. Et bien entendu les soirées étudiantes sont, je dois l’admettre, amusantes même si des fois cela part un peu loin.

Je souris en pensant à certaine soirées mémorables que j’avais passé depuis la rentrée même si je m’étais bien amusé à Magnolia aussi. Je regardais Rose je me demandais ce qu’elle faisait de ses journées. Je ne parlais que rarement à Nina et s’était toujours épique, quand a ses parents je les saluais seulement toujours poliment bien sur mais je ne m’attardais jamais longtemps. Cependant j’avais envie de savoir ce que faisait la jeune fille et pour une rare fois sincèrement. Ma voisine m’intriquais parfois elle était assez mystérieuse et ne montrait pas beaucoup ses sentiments sur son visage d’ange. Et vu qu’elle avait l’air disposé à discuter avec moi sans m’incendier ou m’envoyer balader autant en profiter.

Et à part tes tendances à l’exhibitionnisme qu’est ce que tu fais de tes journées vu que comme moi tu dois être en vacances?

Après lui avoir fait un sourire candide dégoulinant de sincérité je m’installais confortablement contre la rambarde après avoir vérifier que sa soit propre. Il ne manquerait plus que je me salisse sur mon palier. Ma journée c’était déjà bien assez mal commencer, j’avais de plus en plus de mal avec les 3 femmes qui habitaient chez moi. J’avais pensé que je serais plus indulgent parce que je les voyais moins souvent mais c’était le contraire qui s’était passé. Elles m’agaçaient encore plus d’avant j’avais perdu l’habitude de la vulgarité de Minnie, de la gentillesse écœurante de Meredith, et le sans gêne d’Annie.

Je haussais les sourcils aux paroles de Rose. Elle n’était pas à l’université j’aurais juré qu’elle y était. Elle était doué pour le violon je l’entendais régulièrement s’entraîner quand j’habitais encore à plein temps à Magnolia. Après tout si elle préférait se consacrer totalement à la musique ce n’était pas une mauvaise idée même si je ne voyais pas trop en quoi être musicien était un travail un passe temps oui comme deuxième travail oui mais comme unique revenu tu risquait de te retrouver vite à mendier.

Chérie je suis trop intelligent pour beaucoup travailler je suis doué naturellement. Par ailleurs tu n’étais pas à la fac en début d’année ? Ah oui la musique… tu dois avoir souvent des répétitions. Cela doit être ennuyant de devoir écouter un professeur te dire comment tu dois jouer. Moi cela me contrariait mais tu aimes peu être bien qu’on te donnes des ordres….

Je passais une main dans mes cheveux pour les tirer en arrière et j’aimais la sensation de mes cheveux entre mes doigts cela me détendait même si j’essayais de ne pas le faire trop souvent je ne voulais pas prendre de tic même si je savais que j’avais déjà l’habitude de me regarder dès que je pouvais voir mon reflet. Mais ce n’était pas un tic je voulais juste voir à quel point j’étais beau.

D’autre part tu ne te serais pas affiné par hasard ? Ou alors c’est la tenue qui fait cet effet peu être. En même temps on est habillé de la même manière donc forcement mis en valeur…

» Viens, on joue à s'asphyxier. Voir jusqu'où on peut aller. [Finnen / Lily]
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