It does not start (pv Jonathan Seyfield)

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Je m'étais réveillée très tôt pour aller à mon rendez-vous. J'avais été choisie pour rénover un manoir, c'était mon ancien colocataire qui m'avait mis sur le coup. J'allais m'amuser et puis les photos qu'il m'avait envoyées étaient magnifiques, je rêvais de rénover un jour un manoir comme celui si. J'avais 12 heures de route à faire, mais ça en valais la peine. Je m'étais préparée en deux heures en faisant bien attention de ne pas réveiller ma soeur qui dormait comme une loutre. Je lui avais laissé un petit mot pour qu'elle évite d'inonder encore une fois la maison. J'avais pris mes clefs, j'étais prête à partir. J'étais plus qu'en avance, mais c'était une bonne chose je n'avais pas envie de montrer le moindre signe de fatigue à mes commanditaire.
J'avais démarré ma voiture qui avait fait un drôle de bruit, puis plus rien. J'avais retenté l'expérience deux fois, elle ne voulait pas démarrer. Je n'avais pas envie de passer 12 heures dans les transports en commun et je ne pouvais pas louper une affaire comme se manoir. Je devais trouver une solution avant demain. J'étais sortie de la voiture, mes yeux se posèrent sur la porte de mon voisin et la solution me frappa de pleins fouets. Je savais qu'il était mécanicien et puis il était plutôt attirent, c'était un homme mûr. Je n'avais jamais trouvé le temps d'aller lui parler, ma voiture était une excuse toute trouver.
J'étais allée cogner à sa porte, en espérant qu'il était levé et qu'il était là surtout. J'avais trois petits coups sans réponse. J'avais attendu quelque minute. Il devait surement dormir où bien être à la douche. J'avais redonné trois coups un peu plus fort et je l'avais appelé.

- Il y a quelqu'un... Monsieur Seyfield!

J'avais entendu un bruit à l'intérieur de la maison, je croisais les doigts pour que ce soit lui et non sa fille qui venait m'ouvrir. Je l'imaginais déjà ouvrir la porte à moitié nu, ses muscles ferment qui ne demandaient qu'à êtres caresser et son torse qui me donnait envie de lui sauter dessus. Je m'étais mordu la lèvre et j'avais regardé le ciel. Quand la porte s'était ouverte j'avais déjà adopté une attitude normal et sur mon visage se trouvait un sourire qui se voulait séducteur.

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It does not start.

Une journée normale venait de commencer, le réveil avait fait son œuvre et John s’était levé non sans difficulté, appréciant la chaleur de son lit le matin, mais une nouvelle journée venait de débuter et son garage avait besoin de sa présence pour tourner, il s’était levé pour aller mettre en route la cafetière avant de remonter à l’étage pour prendre une douche rapidement, il adorait l’eau qui coulait sur son visage si tôt le matin, c’était le remède le plus efficace pour se réveiller en plein et partir du bon pied pour cette nouvelle journée assez folle qui l’attendait, le seul moment où il se sentirait propre avant de plonger les mains et les bras dans des moteurs tous plus crades les uns que les autres… Un métier manuel appelait à quelques désagréments de ce genre mais il aimait ce qu’il faisait et la mécanique était une vraie passion pour le père célibataire. Il sortit de la douche et s’essuya rapidement avant d’enfiler tout le bas, gardant juste une serviette autour du cou pour finir de se sécher en buvant son café quand il entendit quelqu’un frappé à la porte, il pensait que c’était le fruit de son imagination avant d’entendre à nouveau le bruit suivit par une voix féminine qui l’appelait par son nom, il se dirigea alors vers la porte d’entrée et l’ouvrit pour découvrir sa voisine déjà habillée qui lui sourit de manière très charmante. Il ne lui avait presque pas parlé depuis qu’elle avait emménagé en milieu d’année dernière excepté à quelques occasions assez rares. Il savait juste qu’elle devait avoir un peu plus de 25 ans et qu’elle était, il fallait le reconnaître très jolie.

« Tiens bonjour Evey, que fais tu ici, tu as un problème ? » Demanda t-il en la tutoyant, un peu surpris de la voir débarquer chez lui si tôt le matin et surtout pour la première fois en plus de six mois de présence dans le quartier. Il en oublia presque sa tenue mais John n’était pas pudique et puis qui n’avait jamais vu un homme torse nu à la sortie de la douche. Par contre il se décala sur le côté pour la faire entrer avant de fermer la porte derrière elle, le temps était frais et avec cette tenue il risquait d’attraper une pneumonie… Il la regarda alors en attendant sa réponse en finissant de se sécher l’arrière de la tête pour pouvoir rapidement enfilé une tenue plus adaptée à la réception de voisins ou de voisine en l’occurrence.

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J'étais venue demander à mon voisin de voler à mon secours et j'avais eu de la chance qu'il été là et surtout qu'il ne dormait pas. Le voir d'aussi près, torse nu qui plus est, m'avais permis de me rendre compte qu'il était plus musclé et surtout plus attirant que je ne le pensais. A ma grande surprise il n'avait pas oublié mon prénom, il ne m'avait pas oublié tout simplement... Aurait-il fait attention à-moi? Il m'avait tout de suite tutoyer, je lui avais souri heureuse qu'il fasse lui-même tomber cette barrière. Il s'était mis de côté pour me laisser entrer. Il y avait bien assez de place pour que je passe sans le toucher, mais je ne m'étais privée. Ma poitrine avait effleuré son torse qui aurait pus me faire baver d'envie.
- Bonjour voisin... Je suis désolée de venir te déranger si tôt, ma voiture ne démarre pas et je dois retrouver des clients.
Je détaillais ses muscles discrètement, ils étaient magnifiques, j'aurais bien aimé le déranger si tôt pour d'autres raisons qu'un moteur qui me fait un caprice. Il terminait de se séchait la nuque afin de pouvoir s'habiller. Je n'avais pas vraiment envie qu'il s'habille maintenant.
- Comment ça ce fait qu'un, homme aussi bien bâti et gentil comme vous soit père célibataire?
Cette question était à la fois un compliment et une sorte de démonstration de l'intérêt que je portais à mon beau voisin. Connaître de petits détails de sa personnalité étaient utile à savoir, le gentil voisin qui n'avait pas peur d'aider les autres cachait peut-être un homme totalement différent qui en demandait trop à ses petites voisines qui cognaient à sa porte... Je le fixais toujours en souriant et ces idées noires s'effacèrent. Cet homme ne pouvait pas être le grand méchant loup, il n'y avait aucun doute que c'était le bucheron... Le loup, ou plutôt la louve, aujourd'hui, c'était moi et je ne voulais ni du chaperon rouge ni de mère-grand, c'est le bucheron que je voulais. Il me m'était l'eau à la bouche en se promenant torse nu. Je n'en bavais pas, j'en étais toute émoustillée et la séductrice affamé qui était en moi avait pris le dessus.
Chacun de mes gestes étaient là pour lui faire perdre ses moyens, certains cachaient des invitations. Je n'allais pas lui sauter dessus maintenant, je comptais le faire mijoter quelques jours, le rendre dingue.... Je voulais devenir son fantasme, un fantasme si puissant qu'il allait venir frapper à ma porte pour qu'il devienne réalitée... J'avais repris la parole.
- Je ne veux pas de prix d'amis parce que je suis la charmante petite voisine en détresse.

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La jeune femme pénétra dans la maison des Seyfield mais étrangement elle n’hésita pas à se frotter à lui quand il l’invita à entrer en se décalant sur le côté. Elle le salua et se mit à le tutoyer à son tour en parlant de sa voiture qui refusait de démarrer. John remarqua non sans mal le regard d’Evey glisser sur son corps, s’arrêtant avec insistance sur son torse, il n’eut pas le temps de répondre quoi que ce soit et enfila son tee shirt pour cacher son corps devant sa voisine qui fit une remarque sur son physique et son statut de célibataire, un sourire se dessina sur le visage du mécanicien à l’écoute de cette question un peu personnelle et surtout surprenant venant de la part d’Evey, il n’était pas rare que les femmes le complimentent sur son physique ce qui faisait d’ailleurs souvent rire sa fille Amber qui n’hésitait pas à lui faire remarquer qu’il était vraiment le charmeur de ces dames.

« C’est la vie Evey, ce n’est pas forcément un choix personnel d’être toujours célibataire, plutôt un mauvais concours de circonstances. » Dit-il tout simplement en posant sa serviette sur une chaise pour la faire sécher avant qu’elle ne reprenne la parole pour lui dire qu’elle ne voulait pas de prix d’amis pour la voiture et cela même si elle était la charmante petite voisine, sur ce point là elle n’avait pas totalement tort, elle était très mignonne et devait fortement plaire à la gente masculine, mais Jonathan ne la voyait que comme une voisine qui avait besoin de son aide pour sa voiture, et rien d’autres. La seule femme qui occupait l’esprit de Jonathan était une de ses charmantes voisines et cela depuis bien des années… Il lui tournait autour encore et encore sans jamais oser l’aborder pour lui avouer ses sentiments, il se contentait de jouer au parfait bon ami toujours là pour la soutenir et l’aider quand ça n’allait pas…

« Je vais voir ce que je peux faire pour ta voiture, mais pas sur que je puisse la réparer pour ce matin, il faut d’abord que je vois ce qui ne marche pas, tu devrais peut-être appeler un taxi, sauf si tu préfères patienter un peu ? Le temps que je jette un coup d’œil et je me rends à mon garage en ville, je pourrais te déposer quelque part. » Ajouta t-il à l’attention d’Evey pour lui présenter le programme et les solutions qui s’offraient à elle. Il lui sourit avant d’attraper sa veste pour s’approcher à nouveau de la porte d’entrée pour l’inviter à le suivre jusqu’à chez elle où il pourrait se rendre compte de l’étendu des dégâts et lui donner un meilleur pronostique sur l’état de son véhicule.

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en cour

» "MR#5" C'est la fête à la grenouille (Amber Seyfield et kay)
» Start of something new | Scarlett
» Take me back to the start.. || Cliff
» Katlina x Back to the start
» parties don't start till' we walk in | Dean

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