Apparemment l'homme en question n'était autre que le patron de sa mère. « Ah non, je ne m'en rappelle pas. » Finit par dire la brune, jetant discrètement un coup d’œil vers celui qu'elle pensait être le copain d'Esperanza. Mais bref. « Ah tu trouves aussi ? » Finit-elle par dire avant de prendre la main de Heathcliff à son tour. Après la réflexion du jeune homme, Evane lui donna un léger coup de coude. « Hey ! » Elle fit une petite moue tout en croisant les bras. Après la vodka, le casque de pompier, le nouvel objet proposé était un jeu de société. Cette vente aux enchères devenait de plus en plus étrange.. Heath leva sa pancarte et quelques secondes après, la mama en fit de même avant de se lever pour aller retrouver sa sœur. Evane posa le poumon en plastique et les billets de monopoly sur la chaise d'Espé pour que personne ne s'y installe. « Tu as donné un objet pour cette vente ? » Demanda-t-elle à Heathcliff par simple curiosité.

La brune se retourna ensuite et pu apercevoir sa mère entre l'homme dont elle parlait tout à l'heure et sa tante. Elle fronça les sourcils, se demandant ce qu'il pouvait bien se passer vers le buffet. Sa mère avait l'air sérieuse, s'imposant entre l'ancien patron et Natalia. Bizarre. Les deux sœurs regardèrent ensuite dans la direction d'Evane, ce qui la fit se retourner aussitôt vers la vente. Elle ne voulait pas que les deux pensent qu'elle était en train de les espionner.

La rouquine ne savait pas du tout qui ce vieil homme pouvait être. Une chose était sûre : il ne passait pas inaperçu dans cette vente aux enchères. Après tout, il avait misé quarante dollars sur des tic-tacs, avant qu'Aaron ne s'en empare. Vraiment, le jeune Hamilton se demandait bien pour quelles raisons il avait eu envie de gagner ce lot. Un problème d'haleine, peut-être ? Enfin, le garçon était résolu que sa B.A. étant faite, il pouvait profiter de l'occasion pour parler avec Satine. Elle lui fit remarquer l'étrangeté de la situation, et des objets qu'on leur demandait d'acheter.

-Bah, c'est original, plutôt. Enfin, tu sais, à Magnolia, c'est rare quand c'est pas bizarre, répondit-il naturellement avant de rire un peu.

Une bouteille de vodka fut présentée à la place d'une basse (quel dommage!), et puis un casque de pompier. Brillant, il semblait ne pas avoir servi depuis des lustres, mais cela n'empêcha pas les Wainwright de se battre pour l'obtenir. En effet, Ginerva et Satine enchérirent toutes deux sur l'accessoire de pompier. Aaron suivit le deal, attentif, et félicita la jeune fille de son acquisition.

-Et tu vas en faire quoi, de ton casque de pompier ?

Il avait susurré ça un peu ironiquement, pour taquiner la jeune fille. Il faut dire qu'il se demandait bien ses raisons, à elle, de miser autant pour un objet si insolite. Mais peut-être vouait-elle un amour secret pour le calendrier annuel des pompiers, qui sait ? Un jeu de société trouva acheteur en l'homme d'Heathcliff O'Connel. Aaron s'amusa un instant, l'imaginant jouer avec toute sa petite famille. Puis, on proposa un bouquin ; décidément, on passait du tout au tout dans ces enchères.

Aaron aussi trouva les prix de cette vente aux enchères plutôt bizarre, il eut une réflexion qui avait énormément de sens après tout. Magnolia sans quelque chose de bizarre ... C'était plutôt rare en effet. Cependant, Satine n'avait pas pour habitude de se retrouver au plein milieu de ces situations étranges, en général elle les lisait sur son ordinateur au chaud dans sa chambre grâce à Dirty Secret. « En effet, je devrais me faire à l'idée depuis le temps ! »

Pour ce qui était de ce fabuleux casque de pompier. Satine n'avais pas eu le courage d'enrichir une fois qu'elle avait compris que c'était contre sa soeur qu'elle se battait et puis si c'était elle qui gagnait ce casque elle pourrait lui piquer de temps en temps ! Elle effaça son ardoise, elle finirait bien par réussir à acheter quelque chose aujourd'hui pour les petits Africains ! Au passage elle félicita Ginny en même temps que Aaron pour son casque, elle était toute mignonne avec, elle n'aurait pas pu lui enlever ce plaisir.

Les enchères suivirent et toujours des lots aussi sordides étaient mis en vente. Satine ne savait pas trop sur quoi enchérir, tout ce qu'elle voulait c'était réussir une fois à gagner un objet. Un bouquin était mis en jeu. Cette fois c'était le sien ! « Cette fois je réussis ! » Elle nota 20$ sur son ardoise avant de la lever. De la lecture, c'était cool la lecture ?

Après avoir perdu face au jeune Hamilton pour les Tic Tac, je me contente de regarder la vente des lots suivants. Une bouteille de vodka, un... un casque de pompier ?!, un jeu de société, et maintenant un livre de Jean Cocteau (ben ouais j'ai de la culture quand même !). Quelle drôle de vente aux enchères... Une rumeur s'éleve dans l'assistance: les vrais lots auraient été échangés contre des lots bidons. Je me demande contre quoi ont été échangés mes vinyles...

Ce fut finalement Ginny qui remporta le casque de pompier. Elisabeth ne savait pas pourquoi est-ce qu'elle le voulait tant et surtout, elle ne savait pas ce qu'elle allait en faire, mais quelle importance, tant qu'elle était contente.

Le prochain lot qui fut présenté était un jeu de société. Elle regarda son amie qui semblait être un peu perdue, disant que ce n'était pas le lot qu'elle avait donné.

Avant même de répondre à la question de son amie la rouquine, des gens avaient déjà levés leur pancarte pour faire des offres sur le jeu de société, tout est allé tellement vite qu'ils arrivèrent finalement au tour de la jeune Spencer.

Quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit qu'au lieu de ses livres de contes qu'elle avait donné, tout avait été remplacé par le livre « La machine infernale. »

«  Qu'on remplace les objets sont une chose, mais je voudrais bien savoir où sont passés ce qu'on a donné. »

Elle regarda autour d'elle et comme précédemment, les gens avaient déjà levé des pancartes pour offrir quelque chose.

«  Faudrait que quelqu'un aille voir ce qui se passe parce que là, ça commence à devenir un peu n'importe quoi. » fit remarquer la jeune brune.

Apparemment la Van Valkenburg paraissait aussi choquée de lui - et tous les gens de la salle- à propos des lots. On était le premier avril certes, mais il y avait tout de même anguille sous roche. Natalia parut ouvertes la conversation et cela rassura Isaac, qui se dit qu'Esperanza lui avait donc vraiment pas raconté l'histoire.. Tant mieux. Natalia répondit alors au Melrose qu'elle avait donné ses cours de médecine car elle n'était plus du métier.

- Ah c'est bien ça, je pense que ça pourrait intéresser quelqu'un. Mais pourquoi n'êtes vous plus du métier, si je peux me permettre ?

Il ne voulait pas attaquer direct en posant des questions personnelles, mais l'occasion s'y prêtait, et puis bon, si elle ne voulait pas répondre Isaac ne s'en vexerait pas. il posa alors sa main sur l'épaule de Natalia en la remerciant, et celle-ci fit un petit sourire avant de se dégager poliment.

C'est alors que la fameuse Esperanza arriva -comme l'attendait Isaac-, et ignora complètement le Melrose après avoir seulement prononcé son prénom. Isaac fit donc de même avec un petit sourire. La Damenez se tourna vers sa soeur, la félicita vers le buffet et sembla indiquer à sa soeur que sa nièce se trouvait 'là-bas', autrement dit qu'il fallait qu'elles la rejoigne.
C'est là que Natalia fit quelque chose qu'Isaac n'attendait pas du tout. Elle rembarra sa soeur en lui disant indirectement qu'elle préférait rester avec lui ! Il retint un sourire de satisfaction et se réintégrant près de Natalia, presque poussant la Damenez de côté. Il remarqua alors qu'un nouveau lot était annoncé.

- Tiens, la machine infernale. C'est d'un écrivain français ça non ? demanda-t-il à Natalia. ..Coco ou quelque chose comme ça..fit-il alors, imitant l'accent français avec un sourire.

Le jeu de société qui avait remplacé son collier a été vendu à Heathcliff, un O'Conell qu'elle ne connaissait que de nom, bien qu'ils aient toujours habité dans le quartier. Ginny savait bien que les O'Conell étaient une classe à part; la famille riche de la ville. Le prochain objet fut un livre et, à voir la d'Elisabeth, ça avait remplacé l'objet qu'elle avait donné aux enchères. De quoi s'agissait-il? Ginerva l'ignorait. Mais elle acquiesça aux propos de l'aînée des Spencer, qui se demandait où leurs objets avaient disparu. Et les gens semblaient s'en foutre complètement, pourtant il s'agissait de leurs objets aussi! Lorsque la brunette ouvrit de nouveau la bouche, Ginny eut une idée. "Attends-moi, je reviens." La pianiste se leva et se dirigea vers le buffet, où des adultes parlaient entre eux. Elle prit un en-cas - en n'omettant pas de donner une contrepartie monétaire dans la boîte prévue - et regarda nonchalamment les alentours. À part la porte d'entrée où tout le monde était passé, il n'y avait pas vraiment d'ouverture ailleurs. Quoiqu'il y avait cette porte, au fond de la salle, près de l'estrade où le responsable vendait les objets au plus offrant. Ayant terminé la nourriture, la rouquine retourna auprès d'Elisabeth.

"Tout le monde semble se ficher de ce qui se passe, alors si on allait enquêter par nous-mêmes? La porte près du responsable m'intrigue, si ça se trouve ce n'est qu'un placard mais mieux vaut vérifier, au cas."

À défaut d'avoir vendu son collier, Ginerva voulait le récupérer pour être sûre de savoir où il se trouvait. Voler, c'est mal, surtout au nom d'une oeuvre de bienfaisance.

Elle n'avait pas osé le proposer à Ginny, mais après que celle-ci parte un instant au buffet, elle lui proposa à son retour de jouer les détectives pour voir où avaient bien pu passer les objets qui semblaient avoir étés échangés.

Elisabeth savait que faire quelque chose comme ça risquait de la faire apparaître dans le prochain article de DS, cette pétasse ne ratait jamais une occasion de fourrer son nez partout et pour une fois que ce sont les deux jeunes femmes qui veuillent le faire, ça allait sûrement la faire réagir, mais bon, au point où elle en était.

« Faut qu'on se fasse toute petite sinon on va nous mettre dehors. »

Regardant en direction du podium puis des autres autour d'elle, elle se rendit compte qu'en effet, tout le monde se fiche de savoir ce qui se passe même si ils savent que quelque chose ne va pas.

Se levant, elle déposa ses pancartes sur son siège et se dirigea vers le buffet en chuchotant un « viens » à l'intention de Ginny.

Elle alla se poster juste à côté du buffet et essaya de faire une sorte de repérage rapide avant de passer à l'action.

DS était un problème non négligeable, il fallait l'avouer. Mais Ginny avait déjà eu son nom cité dans un de ses articles et depuis, elle était... immunisée? Non, pas tant que ça. Mais tant que ce n'était pas pour révéler des détails trop intimes, ça allait. Et puis le fait que Dirty Secret parle de l'enquête de la rouquine et d'Elisabeth n'était pas si dérangeant. Sauf si elles étaient prises sur le fait. Là, ça irait mal. La rouquine hocha la tête lorsque Spencer la mit en garde des possibles conséquences et la regarda se diriger vers le buffet. Une fois la brunette à son poste, Ginerva se leva et prit la même direction qu'Eli, casque de pompier en main. Si elles avaient des problèmes, ce casque pourrait peut-être servir à quelque chose, genre une diversion ou l'anonymat - quoique l'anonymat c'était mort, tout le monde savait qui avait acheté ce casque. Une fois au buffet, Ginny remarqua que toutes les personnes présentes parlaient entre eux ou suivaient le déroulement de la vente aux enchères. Tant mieux si personne ne s'intéressait aux deux jeunes filles. La rouquine quitta lentement le buffet pour se rapprocher du podium, faisant mine de s'intéresser à la vente du livre. Elle s'appuya contre le mur à côté du podium, son casque de pompier sous le bras, entre le bonhomme qui parlait et la porte et fit un signe de tête à Eli pour qu'elle aille voir. Ainsi, la pianiste bloquait la vue du responsable sur ce qui se passait près de la porte et pouvait voir si quelqu'un semblait un peu trop s'intéresser aux occupations de la Spencer et de la Wainwright - si on pouvait appeler ça une occupation.

Personne pour renchérir ? Génial ! Satine allait avoir son livre pour elle toute seule, elle allait dépenser de l'argent pour les Africains aussi ! Mais après ses cuisants échecs pour réussir à obtenir un lot elle était vraiment contente qu'on lui laisse celui-là. Ce battre n'avait véritablement pas été dans ses cordes au début de la journée. Voyant que personne ne voulait enchérir elle leva sa pancarte de plus en plus haut, c'était limite si elle ne dansait pas à moitié sur sa chaise. « Allez donner le moi ! » murmurait-elle. Elle s'en fichait de son livre, elle voulait juste réussir à remporter un lot, comme si c'était sa mission du jour, elle ne repartirait pas les mains vides. Il y avait peut-être un côté frustrant de perdre un casque de pompier, même si celui-ci était maintenant dans les mains de sa petite soeur qui semblait ravis de son acquisition ! D'ailleurs en parlant de sa soeur celle-ci préparait un truc louche.

Ce qu'elle était amusante, la Satine, à miser sur tous les lots qu'on lui présentait. Aaron songea que tout comme lui, elle s'était motivée à acheter quelque chose, pour les petits africains, pour se donner bonne conscience. Elle obtint un livre de Jean Cocteau qu'Aaron n'avait jamais lu. Etait-ce si étonnant ?

-Tu aimes lire ? Lui demanda-t-il comme pour confirmer son idée qu'elle n'avait pas un intérêt grandiloquent pour l'ouvrage.

Il avait ce sourire figé un peu mesquin qui voulait tout dire. Elle ne le roulerait pas dans la confiture ! A moins que ce ne soit dans la farine ? Il ne savait plus. Finalement, un nouvel objet fut présenté : une cabane en bois décorative. Il pouffa un temps, avant de se contrôler. Vraiment, qui irait acheter un truc aussi inutile ? Surtout que la maquette n'était même pas jolie. Il se demandait bien ce qu'elle fichait là, soit dit en passant.

Oui ! A Satine le livre ! La demoiselle c'était levé presque en même temps que son nom avait été prononcé. Ce rendant compte de son emballement pour si peu elle rougit un peu et alla chercher son précieux. Elle lança un regard toute contente à Ginny au passage, ne pouvait cacher sa joie indéfiniment d'avoir réussis à obtenir quelque chose de la journée. Ensuite elle retourna sur son siège, en chemin elle remarqua que la salle était plus complète qu'à son arrivée. De retour aux côtés d'Aaron elle serait toujours son livre entre ses mains, c'était son bien durement gagné. Elle l'avait sauvé ce pauvre livre qui n'avait personne pour l'enchérir. Son voisin lui demanda amusé si elle aimait lire avec cet air un peu ironique pour taquiner la jeune fille. « Hum, quand j'ai le temps, c'est-à-dire 3 fois par an, il m'arrive de lire un livre piqué dans la réserve personnelle de Lucy » Elle regarda son livre avant de continuer. « Premier de l'année ! Et toi tu lis ? » Elle se demandait si le sportif, tout comme elle, avait du mal à trouver le temps pour apprécier un livre.

Il fallait avoir du temps pour lire, chose que Satine ne prenait jamais. Sauf pour un livre, l'exception à la règle qu'elle pouvait lire et relire encore et encore. La Mécanique Du Coeur de Mathias Malzieu. Un conte racontant comment un petit garçon apprend à aimer, alors qu'il ne peut pas et quelles sont les désavantages d'avoir une horloge à la place du coeur.

Comme Aaron s'y attendait, Satine n'avait pas plus de temps que lui pour la lecture. Cependant, elle lui avoua terminer quelques ouvrages, et il salua l'exploit. Il ne savait pas pourquoi lui, ne prenait guère de plaisir à lire autre chose que des pavés sur la cuisine. Il savait pourtant qu'il existait des intrigues incroyables, des aventures fantastiques et ce genre de jolies littératures pour pré-adolescents. Il fallait même préciser qu'avant sa puberté, Aaron aimait un peu la lecture. Il avait adoré les contes chevaleresques où ces cavaliers en cottes de maille allaient libérer les princesses des dangereux dragons, traversant des plaines paysannes et gravissant des montagnes. Il en gardait même certains exemplaires dans une cachette dans le grenier. Mais avec son amour grandissant pour le football, le jeune homme avait un peu perdu -voire carrément perdu-, le goût des livres. Il ne lisait que lorsqu'on le lui recommandait fortement, pour ses études, par exemple. Mais les trois-quarts du temps, il courrait sur Wikipédia lire le résumé du bouquin ou lisait la fin pour satisfaire la demande du professeur.

-Pas trop trop. Au lycée, quand les profs voulaient qu'on lise des trucs genre... j'sais pas moi, bref, je lisais la fin pour pas trop culpabiliser, et j'allais voir le résumé sur Wikipédia. Honte à moi, je sais, conclut-il en roulant des yeux.

Il n'avait pas le temps, c'était tout. Entre les cours, le football US, le hockey, le footing du dimanche matin, les sorties avec Elias ou Holly ou Blaine, les sessions jeux-vidéos avec Mike, les réunions de famille aux apparences d'enterrement, Aaron avait une vie plutôt remplie. Et lire n'apparaissait nulle part dans son emploi du temps.

La blague du Melrose destinée à détendre un peu l'atmosphère apparemment fit tiquer Esperanza qui le corrigea dans un bon français le nom de l'auteur. Et bien, fallait pas la chatouiller celle-là hein..
Isaac se retourna pour parler à Natalia, qui avait envoyé sa soeur bouler, mais alors qu'ils allaient reprendre leur conversation, Papy Shawn le tira en arrière en disant de venir avec lui. Isaac fit un regard désolé à Natalia puis suivit Shawn. Il attrapa au vol un autre délicieux friand -oui il était un peu en train de se gaver- en s'arrêtant au coin de la salle, éloignés de tous les autres. Isaac se demadait bien pourquoi il avait autant besoin de lui.

- Bah alors ? demanda-t-il au Crawford, intrigué.

Le maître priseur annonçait alors un autre lot, et Isaac n'entendit même pas ce que c'était tellement que Shawn avait besoin de son attention sur quelque chose de bien particulier..
La salle commençait à s'agiter, peut-être pour le lot, ou peut-être aussi pour ce changement de lot qui paraissait en effet très bizarre. Isaac lui, n'y avait pensé plus que ça, mais c'était assez pénible pour certains apparemment, qui devaient se demander où allait l'argent et où se trouvait les lots qu'ils avaient donné..