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ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah

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MessageSujet: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeMer 20 Mar - 20:28

Le dimanche. Les gens ne bossent pas réellement le dimanche. On doit même avouer que c’est un jour saint et qu’ils sont censés prier et ensuite ? Bon allez voir la famille ou jouer au bridge avec mamie. Bon, pas vraiment mais passons. Pour la police ? Ce n’était vraiment pas la joie car nous bossions même le dimanche. Vous croyez réellement que les voleurs et assassins ou même n’importe… prennent congé le jour saint ? Sérieusement ? Ça serait bien trop beau et cela n’existe même pas dans les films ce qui est vraiment bête. Mais là ? J’étais un peu débordé en ce moment. Je commençais à me sentir surmener. Je bossais beaucoup trop et j’avais réellement besoin d’un jour de congé. Bosser tellement me permettait de passer moins de temps à la maison dans un sens et pourtant bosser tellement me fatiguait dans l’autre sens. C’était un bien pour un mal ? Me tenir éloigner de mes proches en me rapprocher d’un boulot qui peut aussi devenir un risque pour la santé mentale ? Certains agents me disaient de déléguer un peu plus mais je n’y arrivais pas tellement. Il fallait avouer que le boulot, c’était important. Ils me disaient de passer du temps avec ma petite amie tellement sexy. C’était ce qu’ils disaient oui car ils me pensaient toujours en couple avec la belle blonde que j’avais embrassé à la nouvelle année mais j’avais été débordé depuis, réellement. Je n’avais eu de temps pour personne sauf deux ou trois soirées dans des bars. Elle était présente mais je m’étais laissé à l’écart. Assez… inquiet par les dossiers en ce moment ouvert comme le cadavre qu’avaient découvert Jay et Adrian. Enfin il fallait faire avec. 3 mois et 20 jours à peu près que j’étais donc occupé à vivre de mon boulot et de quelques bières de temps à autre. La poisse comme l’on pourrait dire. Je crois que je n’avais plus vraiment eu le temps de me poser sur un banc pour regarder le ciel ou de profiter d’un bon repas avec des gens sympathiques. Bon, les gens n’étaient pas réellement mon dada, c’est sûr mais se mêler aux humains sans être payé pour ? C’est souvent assez divertissant, non ? Là, j’étais assis simplement les yeux collés sur le dossier de ce fameux cadavre. J’y étais depuis 2 bonnes heures après être revenu du terrain. J’étais retourné sur la scène ou l’on avait découvert le corps sans savoir ce que je cherchais mais cela me semblait être une impasse mais je me sentais tellement concerné par cette affaire et pourquoi ? Tellement de raisons que je ne pourrais même pas vous citer. Je levais le regard vers l’horloge. L’heure tournait et j’avais soif. Une petite irritation dans la gorge. Je me desséchais et ce n’était surement pas une bonne idée. Je me levais en allant vers le petit frigo et en sortant une bouteille d’eau fraiche avant d’aller me rassoir. Rien de mieux pour me désaltéré. Une fois assis, j’ouvris celle-ci pour en boire une gorgée et laissant la boisson rafraichir ma gorge. Cela faisait du bien, je ne pouvais pas dire le contraire. Je soufflais un bon coup en secouant ma tête comme pour me réveiller ou me remettre les idées en place avant de reposer mon regard sur le dossier que je voyais tellement en ce moment. Je me demandais ce que j’attendais à le regarder. Une petite ampoule qui s’allume au-dessus de la tête comme dans les cartoons ? Pourquoi pas mais ce n’est pas comme si nous avions des oiseaux qui tournent autour de notre tête quand nous nous cognions la tête. C’est alors que je louchais un peu sur les photos étalées sur la table que j’entendis la porte s’ouvrir. Relevant le regard vers celle-ci. Qui pouvait bien faire irruption dans la pièce ? Qui me rendait visite alors que j’avais demandé à ce qu’on ne me dérange pas pendant quelques heures ? De nos jours ? Les secrétaires ne sont pas douées ou ont les oreilles bouchées ? Surement.
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Savannah Richardson
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeMer 20 Mar - 23:09

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❝ Beautiful Day.❞
Savannah se leva de bon matin et constata que sa maison était bien vide en ce dimanche. Ses frères trainaient sûrement dans le voisinage chez des potes à eux ou chez leur fréquentation féminine du moment, tandis que ses parents étaient partis en week-end amoureux. Ce dernier mot résonna dans la tête de la jeune femme. N’était-elle pas censée être en faux couple avec un charmant policier ? Ayant congé aujourd’hui, elle décida d’en profiter pour aller lui rendre une petite visite. Le soleil baignait sa chambre de lumière et la poussait à sortir de chez elle. Gabriel et Savannah ne s’étaient pas beaucoup vus dernièrement, car le jeune homme avait été largement occupé à renouer avec sa famille et a enquêté sur les différentes affaires de la ville, mais la jolie blonde devait toujours lui demander des comptes sur ce qui s’était passé au Nouvel An. Pas qu’elle voit un inconvénient à ce qu’il l’ait embrassé, mais elle avait été surprise qu’il l’affiche devant tout le monde. N’était-ce pas elle qui était censée lui prouver les bienfaits d’un couple ? D’ailleurs, elle allait bien le lui démontrer aujourd’hui. Il était temps de se prêter au jeu. Une petite visite improvisée au bureau ne ferait pas de mal. Savannah fila dans la douche et s’habilla d’une jolie robe de printemps et enfila une veste légère avant de prendre ses lunettes de soleil et son sac. Elle marcha d’un bon pas et passa devant le starbuck où elle commanda deux cafés bien noirs, et sucré pour Gabriel –elle se souvenait qu’il le buvait ainsi la fois où elle s’était réveillée chez lui- pour bien montrer qu’elle était « une petite amie attentive et attentionnée ». Savannah esquissa un petit sourire au fond d’elle, puis sortit en emportant les deux cafés. Elle se dirigea vers le commissariat et demanda le bureau de Gabriel à l’entrée. Le policier à l’accueil la dévisagea un instant et sembla se souvenir vaguement d’elle. La jeune femme montra les deux cafés qui allaient refroidir, ce qui poussa le policier à sourire et à l’amener sans plus attendre devant la bonne porte. Elle remercia l’agent puis ouvrit sans frapper et fit irruption dans le bureau de « son petit ami ». « Alors Mr l’inspecteur, toujours plongé dans le travail ? » Demanda-t-elle en s’avançant et en lui tendant sa boisson. Savannah ne se soucia pas des dossiers sur lesquels Gabriel était penché et en écarta quelques-uns pour s’asseoir sur le bureau – oui elle faisait comme chez elle, puisqu’il le lui avait dit. Elle ferma un énième dossier, puis le regarda en souriant, sachant très bien qu’il serait partagé entre la surprise de la voir, le ravissement de l’attention et surtout le mécontentement de cette interruption inopinée. « Il faut pouvoir accorder du temps à sa copine, monsieur le policier ! Une femme a besoin qu’on s’occupe d’elle. » Lâcha-t-elle faisant mine de le bouder. « Mais tu as de la chance d’avoir une petite amie en or qui va bien s’occuper de toi aujourd’hui. » Ajouta-t-elle d’un regard malicieux. Elle indiqua alors les dossiers sur lesquels il avait l’air si occupé quelques instants plutôt. « Des affaires importantes en cours, je présume. Ça avance bien ? » Elle s’informait un peu en douce des dernières nouvelles, ça faisait toujours bien d’être au courant de ce que la plupart des autres ne savaient pas. La jeune femme esquissa ensuite un nouveau sourire et reprit aussitôt. « Bon, tu as voulu jouer, et dans un jeu, il y a des règles. Les miennes, en l’occurrence. » Lança-t-elle pour le titiller. « Fini le travail pour aujourd’hui, on part en virée pour la journée. » Ajouta-t-elle d’une voix qui n’appelait pas vraiment à discussion. Il n’avait pas le choix. On ne pouvait pas dire que Savannah n’avait pas fait montre d’une patience sans faille et qu’il n’était absolument pas en position de lui refuser quoique ce soit aujourd’hui.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeJeu 21 Mar - 1:09

Si un jour l’on m’avait dit que ma petite amie allait débarquer dans mon bureau avec deux cafés ? L’aurais-je vraiment cru ? La vie et ses surprises ce qui est vrai me surprenait encore alors qu’elle débarquait dans le bureau. La porte qui s’ouvrait et mon envie d’être seul se mêlait pendant deux secondes à mon esprit qui semblait un peu s’énerver d’être dérangé mais en voyant la bouille de cette blonde qui s’offrait à ma vue me fit légèrement sourire. Magique, non ? Cependant ce jeu m’amusait un peu même si j’étais un fin joueur par moment et que je favorisais l’éloignement. Je prenais des risques à participer à la partie et elle en prenait même sans même le savoir. Cela me rendait un peu dingue par moment de risquer autant juste pour jouer avec les esprits des autres et la laisser me prouver que ça avait du bon d’être en couple. En avais-je envie ? Que l’on me le prouve ? L’idée était tentante mais pourtant beaucoup de choses me refusaient ce genre de bonheur. Même si je pensais que ce n’était pas vraiment pratique rien ne prouve que ce n’est pas un bonheur d’avoir une femme quand on rendre chez soi qui puisse prendre soin de nous. Quel homme dirait que c’est nul ? Je ne trouvais pas les femmes chiantes contrairement à beaucoup d’hommes. Ma distance avec elles et mon envie de rester seul ne venait pas vraiment de là. Dans le fin, je me tenais aussi éloigné des hommes donc le rapport ne venait pas du fait que la femme soit chiante et que vivre ou supporter une femme soit un calvaire. « Hummm… en apnée, oui ! », plaisantais-je alors en réponse à sa question car oui, la plongée et l’apnée. C’était la blague pour les nuls, bonjour mais bon le dimanche ? On a le droit de blaguer, je me trompe ? Il n’y a pas un jour ou la semaine que pour faire ça. Je prenais alors le café qu’elle me tendait d’ailleurs il était chaud, bien chaud car il réchauffait ma main qui n’avait pas spécialement froid. Je riais un peu nerveusement en la voyant alors s’assoir en me disant qu’il serait préférable que la porte soit fermée au cas où. Mais je ne disais rien en la regardant sur mon bureau et l’écoutant alors attentivement en me retenant un peu de rire car les autres nous regardaient. Je faisais une moue, fausse moue car si j’étais son copain et qu’elle me disait ça, je réagirais comme ça. Elle avait raison. Et je la laissais terminer sans vraiment savoir quoi dire. Comme si j’étais… dans un truc nouveau. Du « pas encore vécu » ce qui était le cas sauf avec une petite copine au lycée avant de quitter Magnolia. Je riais un peu nerveusement alors qu’elle allait chipoter près des dossiers et mettant les mains contre en riant. « Pas touches… confidentiel. Coquine ! », soufflais-je alors en me demandant ce que j’allais faire alors que certains collègues semblaient chercher à nous voir par la porte encore grande ouverte. Je me levais alors en la regardant attentivement se jouer de la situation en m’envoyant simplement dans la honte de ma vie sur le lieu de mon boulot alors que je suis aussi leur chef. Je lui lançais ce regard séducteur en posant alors les mains sur ses cuisses en les menant à son dos pour la rapprocher et ainsi… la serrer un peu plus contre moi. Un geste de séduction que j’avais l’air de faire avec les femmes qui n’étaient que des coups d’un soir. « Mais qui dit que je ne sais pas prendre soin d’une femme… ? Il parait même que je suis très doué. », lâchais-je alors en posant mon regard au fond de ses yeux avant de pencher la tête en souriant. « Mais… je suis attentif à tes règles, j’aime beaucoup ce jeu. C’est celui dont parlais tes petits messages coquins ? Ceux avec la photo… », je racontais du n’importe quoi mais on était sous écoute donc je voulais jouer le jeu à fond mais aussi me venger un peu. Je jouais la carte du petit ami… un peu harcelé sexuellement de message et photo coquine. Cela allait prendre ? Je l’ignorais. « Mais j’aime aussi qu’on s’occupe de moi. », je reculais un peu amusé en allant vers la porte pour la fermer et la regardant alors attentivement en penchant la tête. « Très astucieux… me foutre la honte devant mes collègues du petit ami assez nul ! », je riais en la regardant et haussant les épaules. « Laissais-moi juste ranger mes affaires quelques minutes enfin ce dossier. », j’allais au bureau en remettant alors deux ou trois trucs par ici et par là. Reposant les photos dans le dossier assez rapidement. Tout devait être propre et rangé.
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Savannah Richardson
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeDim 24 Mar - 17:11

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❝ Beautiful Day.❞
Savannah était entrée dans le bureau de Gabriel sans se soucier du regard de ses collègues, curieux de voir cette jolie blonde faire irruption chez leur chef comme si elle était chez elle. La jeune femme trouvait la situation étrange, mais non des moins cocasses. Elle se retrouvait à jouer un rôle dans lequel elle s’était glissée sans avoir rien provoqué. En effet, si Savannah n’avait pas risqué de passer une nuit en prison, et si Gabriel ne s’était pas déclaré devant ses collègues comme son petit ami, ils n’en auraient été là. Elle lui avait proposé de choisir la meilleure façon de se séparer devant eux, mais il n’avait pas voulu le décider et l’avait au contraire poussée à continuer de jouer la comédie pour lui prouver le contraire. Si la jeune femme avait compris pourquoi il l’avait aidée à sortir du commissariat –pour lui rendre la pareille d’une aide qu’elle lui avait donné quand ils étaient enfants-, elle n’avait en revanche pas saisi ses intentions de vouloir rester avec elle s’il n’appréciait pas vraiment les relations amoureuses. Ils ne s’étaient pas vraiment vu dernièrement, à cause du travail de Gabriel sur plusieurs affaires en cours, mais Savannah se demandait où cette histoire la mènerait et ce qu’elle y gagnait dans le fond. Des questions qu’elle avait repoussées à plus tard, lorsqu’elle avait trouvé l’ingénieuse idée de passer lui rendre visite sur son lieu de travail… autant justifier toute cette comédie en pointant son nez devant tout le monde. Elle lui avait apporté un café et s’était assise sur son bureau en l’écoutant désormais divaguer sur des éventuels messages coquins qu’elle lui aurait envoyé. Savannah arqua un sourcil alors que les mains du policier se posèrent sur ses cuisses et remontèrent sur son dos pour qu’elle se rapproche de lui. Leurs visages étaient à quelques centimètres l’un de l’autre ; la jolie blonde se rappelait du baiser qu’il lui avait fait au Nouvel An, souvenir qui survenait dans un moment… étrange. Il avait voulu cette situation. Elle ne lui avait pas demandé de la « protéger », de la faire passer pour sa « petite amie » ni de « poursuivre » le jeu. Il l’y avait encouragée et maintenant se jouait d’elle devant tous ses collègues en prenant pour prétexte qu’elle était une femme en manque qui lui envoyait des photos et des messages coquins ? Parfait. Savannah allait lui rendre la pareille. « Bien sûr, mon cœur. Mais qui a demandé à ce que sa « petite amie » lui prouve les bienfaits d’un couple ? Et quel est le mal pour une femme de vouloir raviver la flamme sexuelle inexistante de son couple parce que son petit ami passe ses nuits surmené de travail ? » Demanda-t-elle alors que la porte était toujours ouverte. N’importe lequel de ses collègues serait content d’avoir une femme qui se soucie de leur bien-être, et celle-là, Gabriel ne l’avait pas volée. Bingo. Il s’éloigna alors de la jeune femme et ferma la porte avant de se tourner vers elle pour lui reprocher la carte du petit ami assez nul et plutôt rire de la situation. « Très astucieux de me faire passer pour une allumeuse. » Rétorqua-t-elle aussitôt en écho à ses mots. Savannah esquissa un sourire à son tour et se tourna ensuite vers le dossier sur lequel il était penché. « C’est celui du cadavre trouvé en ville ? Des idées de quoi il en retourne ? » Demanda-t-elle, sa curiosité ravivée. Devant le regard surpris de Gabriel qu’elle soit au courant de la situation, elle expliqua vaguement que c’était son frère de cœur qui l’avait trouvé, alors rien d’étonnant à ce qu’elle le sache. Le policier reposa les photos à l’intérieur du dossier et le rangea rapidement avant qu’ils ne quittent le bureau.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeLun 25 Mar - 5:37

Le jeu, tout était là. Jouer. Est-ce qu’elle allait m’en vouloir de ma technique de fine vengeance ? En fait tout était une douce vengeance. Un mélange de deux âmes qui avaient besoin de jouer pour s’auto prouver peut-être que le jeu en valait la chandelle ? Elle ne savait pas à qui ou quoi… elle s’attaquait en se frottant un peu à moi et il fallait avouer que j’avais cherché ce jeu entre nous sauf que ? Je ne m’attendais pas à ce qu’elle accepte ce défi et que tous mes collègues nous attendais au tournant. S’ils savaient que j’avais fais semblant d’être son copain pour la sortir de la prison ? J’allais passer pour quoi. Un flic ripoux ? Et Mince, il ne fallait pas qu’ils y pensent. J’étais leur chef, quoi. Je voulais quand même un bon enfin… bref, je me comprends. Une bonne image. C’est alors que j’allais vers la porte pour la fermer qu’elle me posait cette question qui me fit rire nerveusement ainsi que quelques collègues dans la salle voisine. Cool, elle avait gagnée. Je la regardais une fois la porte fermée. « Comment tu peux savoir que ma vie sexuelle est inexistante ? », demandais-je alors en la regardant attentivement car il est vrai que la plupart des soirées que je passais avec des femmes étaient à Philadelphie et elle n’allait pas me suivre comme une petite amie jalouse quand même. Non mais oh. La coquine. Espionnage ? J’en étais amusé de ce jeu et secouant un peu la tête. « Je serais ravi d’être soulagé quand je bosse mais… seul soucis… c’est toi qui a mon numéro et je n’ai point le tiens ! », lâchais-je alors avec un petit air coquin dans le regard pour la taquiner même si la porte était fermée car c’était le cas. Je me souvenais du moins pas d’avoir eu son numéro ou alors elle l’avait mis quelques parts dans la maison lors de son passage et je l’avais tout bêtement perdu. « Mais je t’en prie pour le côté allumeuse… je passe pour un impuissant ou je ne sais quoi. C’est un sacré duo que l’on forme ! », disais-je en rangeant mes dossiers et riant nerveusement alors qu’elle osait regarder encore sur les dossiers avant qu’elle ne pose cette question bien trop curieuse à mon gout tandis que je fus rassuré de ce qu’elle savait. Je ne lui laissais même pas le temps d’entrevoir ne serais-ce qu’un mot. Et non, coquine et curieuse en plus. Je soupirais doucement. « T’en sais déjà trop, crois-moi. », soufflais-je alors doucement en mettant le dossier dans le tiroir de mon bureau que je fermais aussitôt à clé avec certains autres avant de mettre celle-ci dans le fond de ma poche. « Et je ne te dirais rien ! », ce n’était pas que je ne pouvais plus faire usage de la parole en sa présence ou même sur ce dossier mais c’était que je ne voulais pas l’impliquer dans cette histoire assez compliquée à mon gout puis en parler n’était pas un sujet des plus réjouissants. Je la regardais en sortant alors du bureau pour voir les collègues… nous regarder comme si nous venions d’une autre planète. Une planète ou la vie était surement bien existante mais surement pas humaine. J’avais soudainement l’impression d’être un gros steak avec une tête de sushis à la façon dont il nous regardait. Ils devaient être surpris d’une personne arrive à me faire quitter la tête d’un dossier. Je pouvais lui consacrer du temps quand même et je voulais accepter ce challenge qu’on avait fait… celui de me prouver que ça avait du bon. Je riais nerveusement une fois hors du commissariat en regardant la jeune femme. « Tu vas me faire regretter de t’avoir fait passer pour une allumeuse, je parie ? Alors autant que nous soyons dans un endroit public. » et cela tombais bien car un petit soleil était de sortie et l’herbe était bien sèche. Elle commençait à avoir cette belle couleur verte. Je traversais la rue avec la jeune femme pour la guider vers ce parc en prenant sa main pour même en venir à la soulever pour passer la petite barrière. Car oui, e suis un hors la loi, je ne veux pas faire le tour pour trouver l’entrée, je passe et je m’en fiche. « Soyons fous… on va peut-être même se faire arrêter. », une fois dans l’herbe, je retirais mes chaussures en relevant un peu mon jeans ce qui peut paraitre étrange mais autan être relax. Je me mettais alors assis dans l’herbe en tapant un peu à côté de moi. Sans oublier cette boisson refroidie qu’elle m’avait rapportée dont il restait un fond. J’en buvais une gorgée en riant. « C’est presque froid… mais buvable ! », cela m’arrivait souvent de boire un café froid. Pas bon mais bon. Je souriais en regardant la jolie blonde. « Bon, t’avais une idée de cette journée ? Ou on reste ici à flâner… », Lâchais-je alors en m’allongeant et la regardant. « Ou alors on va dans un hôtel pour que je te prouve ce dont je suis capable en tant que petit ami ? On peut… ou bien aussi aller dans un club de striptease pour que je me rince l’œil ? Enfin je dis ça, je dis rien mais tu serais la meilleure des petites amies, tu sais ? », je riais en la regardant attentivement et fronçant les sourcils.

HJ : désolée :( c'est pas top, j'ai l'impression.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeMer 3 Avr - 11:58

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❝ Beautiful Day.❞
Savannah plongea ses yeux bleus dans ceux de Gabriel. Le jeune homme l’avait engagé dans un jeu sans queue ni tête, un jeu qui dérivait sur un terrain plus dangereux, sa partie favorite, où la frontière entre aimer ou haïr devenait de plus en plus mince… L’étincelle éclatante dans ses yeux ne trompait plus. Si elle avait le choix, elle déciderait de ne pas s’accrocher. Mais elle commençait à apprécier Gabriel, difficile à cerner et à manipuler. Il n’était pas de ceux prêts à vous croquer dans la main à la première promesse, comme elle s’amusait parfois à tenter certains hommes en leur proposant de la rejoindre à l’hôtel d’Isaac après une soirée ‘romantique’ ; accord tacite qu’elle avait conclu avec le propriétaire Melrose, elle lui ramenait des clients, pour bénéficier d’avantages dans l’hôtel, mais Savannah ne se pointait jamais aux rendez-vous fixés. Ce serait trop facile. Et elle n’était pas une fille facile. Ce qui la liait à Gabriel était un ‘défi’ tout à faire différent. Il était davantage comme elle ; à refuser de renoncer à son indépendance, pour se protéger lui-même et des autres. N’était-il pas absurde d’imaginer ces deux êtres émotionnellement perturbés formé « un couple » ? Deux âmes qui coexistent, liées d’une même certitude de ne pas vouloir aimer et de chercher à s’en convaincre, ne pouvaient qu’amplifier ce désir inéluctable de se prouver le contraire. Voilà vers quoi dérivait leur jeu. Savannah esquissa un petit sourire lorsqu’il lui demanda comment elle pouvait savoir si sa vie sexuelle était inexistante. La jolie blonde pouvait le deviner au léger malaise qu’avait glissé sa remarque et qui pouvait se lire sur le visage de Gabriel. Il tentait de garder bonne figure devant ses collègues, mais il n’arriverait pas à la tromper. Il prétexta alors ne pas pouvoir la contacter quand il le voulait, puisqu’il n’avait pas son numéro. La jeune vendeuse arqua un sourcil ; si ce n’était que cela, ça pouvait s’arranger très vite. Elle attrapa un stylo indélébile sur le bureau du policier et lui prit le bras pour y écrire son numéro. « Voilà qui est fait, à moins d’y laisser le bras, tu as peu de chance de le perdre maintenant. Par contre, les filles dans la rue risquent de croire que c’est le tien et se décourageront en tombant sur ta ‘petite’ amie au téléphone si elles tentent de t’appeler. » Lâcha-t-elle en souriant. Il pourrait toujours l’effacer plus tard dans la journée, mais ça lui prendrait certainement du temps. Gabriel commenta alors leur sacré duo entre un impuissant et une allumeuse ; pour sûr, ils formaient un ‘couple’ atypique. En le voyant ranger ses dossiers, la curiosité de la jeune femme s’éveilla de nouveau, mais le policier n’était pas du genre très bavard. Qu’à cela ne tienne, si elle n’avait pas les réponses de lui, elle les obtiendrait bien d’une autre façon à un moment ou un autre. Savannah le suivit ensuite à l’extérieur du bureau, tandis qu’ils passaient devant leurs collègues qui les dévisageaient. Elle avait en effet réussi à sortir Gabriel du commissariat, ce qui n’était déjà pas une mince affaire, quand on voyait le spécimen grincheux et têtu qu’il pouvait être. Une version masculine d’elle-même en somme, du moins pour ces deux points-là. « Aurais-tu peur de moi ? Ce serait bien drôle à voir, toi qui cours après tous les méchants du quartier. » Lui demanda-t-elle alors qu’il préférait se rendre dans un endroit public pour éviter qu’elle lui fasse regretter ce qui s’était passé dans le commissariat. Décidément, il la connaissait peut-être mieux qu’elle ne pensait. Savannah était pourtant du même avis que lui, car devant d’autres personnes, ils seraient obligés de continuer à jouer le jeu. Elle éclata de rire lorsqu’ils passèrent la barrière du parc comme deux clandestins amoureux qui ne voulaient pas se faire voir, ni faire comme tout le monde. Savannah n’aurait pas pensé autrement que ce qu’il venait de faire et se laissa déposer dans l’herbe tandis qu’il s’installait à côté d’elle. Il termina son café avant de lui demander si elle avait une idée pour cette journée. A vrai dire, Savannah n’avait pas d’idée précise en tête ; elle vivait au jour le jour et était plus ou moins venue lui rendre visite en touriste… Quoique le commissariat ne pouvait pas vraiment être comparé à un bureau de vacances. Elle ferma les yeux et laissa les rayons du soleil réchauffer sa peau et illuminer davantage sa chevelure blonde. La jeune femme n’était pas de ces filles qui doutaient d’elle-même ; elle connaissait ce qui allait ou n’allait pas chez elle, mais ne s’en cachait ni ne s’en plaignait jamais. C’était une des raisons pour lesquelles elle s’entendait souvent bien avec des garçons d’ailleurs. Elle était souvent vue comme une pote cool, qui ne prenait pas la tête, et Savannah préférait de loin cette considération. Avoir grandi avec deux frères l’y avaient sans doute encouragée. Elle détesterait se faire prendre pour une petite chose fragile, ce qu’elle n’était absolument pas, et heureusement, Gabriel ne la voyait pas comme telle. « J’ai peut-être une idée oui. » Souffla-t-elle alors. Cependant, comme elle s’y attendait, le policier proposa tout un tas d’options saugrenues, entre une nuit à l’hôtel pour lui prouver ses capacités en tant que petit ami, ou alors se rendre dans un club de striptease pour qu’il prenne son pied. Savannah avait bien deviné qu’il n’était pas sérieux,… ou pas. « Ce n’est pas le genre d’activités que l’on propose à sa petite amie, chéri. » Répondit-elle alors d’un regard amusé. « Mais pour ce qui est de te rincer l’œil, on devrait pouvoir arranger ça plus tard. » Ajouta-t-elle d’un air malicieux. Elle profita encore quelques instants des rayons du soleil, avant de se relever. « Je vais te montrer l’endroit où je travaille. Le centre commercial est exceptionnellement ouvert ce dimanche, comme ça, tu pourras te venger devant mes propres collègues, mais à tes risques et périls. » Lança-t-elle pour le défier à son tour. Le jeu n’arrêtait jamais.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeLun 8 Avr - 19:30

Comment en étions-nous arrivés là ? Il suffit de peu dans le fond. Deux êtres humains, deux cœurs presque fermés. Je n’étais pas vraiment certain de comment cela avait commencé. Au fond ? C’était peut-être même à l’époque où elle m’avait aidée que cette histoire bien étrange avant débutée ? Je ne savais pas réellement ce qui se passait. Comment suivre ? On était un faux couple et on se prouvait que c’était bien d’être en couple mais si tout est faux ? Ce n’est pas réellement être en couple ? Les choses étaient étranges quand même. Dire que je n’y avais pas pensé ? Étrange. Cela serait un mensonge. Je rumine assez souvent dans mon coin entre deux heures de boulots à vrai dire. Et alors que je parlais de ne pas avoir son numéro ? Je regrettais cette idée de faux couple. J’allais devoir me frotter le bras non mais vous n’imaginez pas combien ça gratte la peau. J’haussais les épaules. « Sauf si je prends une douche ? », lâchais-je alors amusé en la suivant alors dehors du bureau. Nous devions prendre l’air et personnellement ? J’avais peur de ce qu’elle pourrait faire au bureau devant mes collègues et pas en public. C’était différent, quand même. Je la regardais en souriant. « Hum hum… non, pas de boulots et c’est plus de ce que tu me réserves dont j’ai peur ! », soufflais-je en levant le regard vers le ciel. Nous passions alors la barrière pour nous installer aussitôt sur l’herbe. Les gens ne comprennent pas le bienfait de la nature. Rien que de s’y assoir ne peut parfois détendre. L’on sent le parfum reposant d’une nature fraiche. Il y a des gens qui pensent que je suis simplement un acharné du boulot mais parfois ? J’aime assez me poser sur l’herbe. C’est stupide ? Oui, certainement mais j’aimais bien ça. Parfois on a beau être une vraie statue de glace, émotionnellement parlant mais nous restons un peu humain Un moindre truc peut vous détendre. Parfois c’est un verre d’alcool et d’autres fois, c’est ça. Cependant ? Certaines femmes paraissaient vite pour des paysannes dans ce parc. Je les regardais assez ahuri par les looks qui se présentaient à notre vue. Le monde est petit. Il fallait cependant que l’on bouge, je le savais et j’ignorais ce que nous allions faire. Je paniquais même un peu à l’idée qu’elle pourrait avoir en tête car oui : peut-être mais pourquoi peut-être ? Tellement de questions alors que je ne devrais même pas la laisser se rapprocher de moi. C’était une erreur, je le savais. J’étais un peu nerveux à cette idée car je lui en cachais tellement que c’était vraiment risqué. Bien sûr, je lâchais des idées en espérant de voir aussi sur son visage si ce n’était pas l’une des siennes. Mon dieu par ce que sérieusement, j’en craignais quelques-unes. La vengeance est un plat qui se mange… à la sauce piquante aussi ? Pas toujours froid ! Je souriais quand elle me disait que ce n’était pas le genre d’activité que l’on choisissait mais jouant le jeu en faisant aussitôt une moue. « Mais… chérie, t’es dure ! », oui bah il fallait bien que je m’en amuse aussi. C’était rare que je me comporte ainsi ou même appelle : Chérie… une fille qui ne soit pas ma sœur. Enfin étrange. Cela me perturbait assez. « .. enfin je peux attendre ! », rajoutais-je avec cet petit regard de pauvre petit gamin torturé. Oui enfin ce n’était pas compliqué pour un enfant brisé par l’indifférence de son père et les préférences notables de sa mère. Je riais un peu nerveusement en hochant la tête avant de me relever aussi tandis qu’elle venait de me dire me montrer ou elle travaille. « Cool… des chaussures ! », lâchais-je faussement enthousiaste en lui offrant un rayonnant sourire. Il fallait avouer que je jouais un peu le petit ami qui était un brin : enthousiaste pour du n’importe quoi. De quoi la rendre folle ? Maybe enfin cela m’amusait d’être dans la peau du looser et ce n’était qu’un jeu sur cette réplique. « Et j’adore l’idée de me venger… Elles sont canons ? », demandais-je alors possiblement intéressé d’après l’air que je posais sur elle. Un air interrogatif et curieux. J’haussais les épaules. « Non pas que je ne veuille te tromper mais voilà ! », je fronçais les sourcils avant de lui prendre la main comme tous les humains en couple. Il fallait jouer le jeu. Je m’en foutais bien que l’on nous croise main dans la main… dans le fond ? J’étais tellement solitaire et distant que peu de personnes savaient que j’existais. Sérieusement ? Bah voui et j’aime ça. Enfin j’aime être effacé des peoples, disons. Je posais alors les yeux vers la douce jeune femme. Ses yeux bleus étaient ravissants. Ils me rappelaient ceux d’une neurologue qui bossait à côté du commissariat de Philadelphie. Elle était peu séduisante mais ses yeux étaient du même bleu océan. « Au fait ? Toi qui est si douée en chaussons, je fais quelle pointure à ton avis ? », je demandais ça avec un air de malice en marchant toujours vers le centre commercial tandis que nous y arrivions même assez rapidement au fil de nos pas énergiques. Je n’étais pas spécialement friand de shopping. Il fallait avouer que c’était assez pénible pour tous les hommes mais cependant je ne disais pas non pour découvrir la boutique ou travaille la jeune femme. C’est bizarre ?
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeVen 12 Avr - 19:21

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❝ Beautiful Day.❞
Savannah se redressa de l’herbe et s’assit en regardant Gabriel. Ses propositions loufoques la faisaient rire ; et si elle semblait ne pas vraiment le prendre au sérieux du premier abord, elle était tout à fait capable de retourner la situation à son avantage et d’en relever le pari un peu plus tard dans la journée. Le policier voulait se rincer l’œil ? Très bien, il serait servi et par un service de luxe. Gabriel fit la moue et protesta quelques instants de devoir attendre, mais Savannah aimait éveiller sa curiosité. Il bridait la sienne en ne parlant pas de ses affaires, elle ferait de même en cours de journée. La vengeance était un plat qui se mangé glacé chez la jeune femme. Très glacé. Le jeu n’en faisait que commencer. Elle proposa au policier de lui montrer l’endroit où elle travaillait ; endroit neutre pour endormir sa confiance. La jolie blonde lui avait rendu visite à son bureau juste avant, ils pourraient ainsi inverser les rôles. Gabriel et elle se levèrent pour se rendre au rendre commercial. Ils commencèrent à marcher tandis qu’il exprimait un enthousiasme limite faussé à l’idée d’aller voir des chaussures avant de demander si les collègues de la jeune femme étaient assez canons pour pouvoir se venger. Charly, la véritable patronne du magasin, n’y travaillait pas tous les jours, mais pourrait éventuellement correspondre au critère de beauté qualifié de « canon » par Gabriel. S’il voulait vraiment se la coltiner, tant mieux pour lui. Elle ne l’aurait plus dans les pattes au boulot. Quoiqu’il en était hors de question. Même pour un jeu, elle refuserait à ce qu’il tente quoique ce soit avec une autre qu’elle connaissait sous peine de la voir vraiment réagir en petite amie en colère. Il voulait jouer jusqu’au bout, alors elle le ferait aussi. Bien sûr, elle savait qu’il plaisantait dans sa question, qu’il n’était pas vraiment intéressé… Ou pas, en fait, elle ne pouvait pas l’affirmer. Savannah tourna donc sa réponse différemment. « Les chaussures ? Oui, elles sont canons ! ». Lâcha-t-elle en souriant. « Et puis, comment pourrais-tu me tromper s’il ne s’est encore rien passé entre nous ? » Ajouta-t-elle le regard amusé. Il lui prit alors sa main comme le ferait tout petit couple digne de ce nom ; ils n’étaient plus très loin du centre commercial. Savannah esquissa un nouveau sourire lorsqu’il lui demanda de deviner sa pointure. Souvent, la jeune femme faisait un rapide calcul mental pour évaluer par rapport à la hauteur de la personne et à la taille de son pied la bonne pointure. Elle en estima une mesure dans sa tête avant de répondre. « Tu sais quoi ? Je te ferais essayer une paire de chaussures et on verra bien si j’avais bon. » Dit-elle pour repousser à plus tard le résultat de cette petite expérience. Ils arrivèrent alors au centre commercial. Le magasin où travaillait Savannah se trouvait au premier étage. Pour un dimanche, l’endroit était plutôt fréquenté. Ils prirent l’escalator et se rendirent ensuite jusqu’à la boutique de chaussures. Ce n’était pas un de ces petits magasins de 5m² -façon de parler- ; il était plutôt assez grand avec un large choix de modèles, couleurs, marques et pointures pour petits et grands, hommes et femmes. Un rapide coup d’œil dans la boutique lui indiqua que Charly était absente pour le moment, sûrement en pause. « Voilà c’est ici que je travaille. Je te laisse choisir un modèle que tu aimes et j’essayerais de deviner la bonne pointure. » Proposa-t-elle comme elle l’avait promis quelques instants auparavant. Elle aperçut au loin une collègue occupée avec un client ; elles se firent un signe, l’autre jeune femme étant sans aucun doute surprise de la voir débarquer avec un homme sur son lieu de travail. Savannah était connue pour ses relations de courte durée ; la jeune femme ne se posait pas et n’emmenait pas ses fréquentations ici, excepté ceux qui étaient devenus ses amis. C’était donc une première..
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeLun 6 Mai - 5:29

Le jeu devenait de plus en plus intéressant dans cette sortie. M’amuser en prétendant alors à ma « petite amie » si on peut l’appeler ainsi. Était un vrai jeu de divertissement pour moi. Je n’étais pas vraiment d’humeur à papoter avec des hommes qui sont bourrus et très sérieux. La légèreté de rire et m’amuser avec Savannah ne faisait de mal à personne pour sortir de mon trou et arrêter d’être trop bosseur. En fait, c’était une bien plus agréable compagnie que des dossiers parfois pleins de poussières par ce qu’ils sont peu doués dans cette ville. Les flics les plus fainéants. Je riais un peu amusée, les chaussures étaient canons. Je riais un peu nerveusement en baissant le regard vers ses chaussures. « Moui ! », me contentais-je de souffler en souriant doucement. Il fallait avouer que je n’étais pas vraiment certains de moi sur ce coup. Je souriais doucement, un fin sourire. Je n’étais pas maitre des beaux sourires mais elle m’y encourageait souvent. Je riais à sa logique quand elle me demandait comment je pourrais la tromper si on n’était pas mis à passer à l’acte. Dans le fond, ce n’était qu’un jeu et une image. Je n’avais pas pour plan d’aller à l’acte avec elle. Ce n’était pas au programme proprement parlé. Et comme deux amoureux, nous marchions alors main dans la main. C’était surement la première fois de ma vie que je prenais la main d’une femme. « Ok ! Je vous obéis, femme. », disais-je en souriant. Et je la suivais. Le premier étage, génial. Je n’étais pas vraiment fana des ascenseurs en fait, ça tombait à pic. J’entrais alors à son pas dans la boutique et regardant autour de moi. C’était grand, oui. Spacieux même. Je riais un peu nerveusement en l’entendant. Choisir une chaussure ? Oui, ou pas. Je n’étais vraiment pas doué pour ça. Demandez-moi de choisir une chemise et je fais ça les doigts dans le nez - même si l’image s’avère être gore. - ! J’adorais les chemises enfin c’était surtout par ce que j’aimais en changer à mon humeur donc… je ne devais pas toujours en changer souvent, certes. Je regardais alors la collègue qui faisait signe en souriant doucement. Un sourire faussement charmeur pour voir la réaction de Savannah et la regardant attentivement. « C’est une des chaussures canons ? », demandais-je pour la taquiner. Je n’étais peut-être pas l’être humain le plus sociable mais je savais taquiner. Ça oui. J’avais beau le faire rarement comme je ne parlai pas avec des masses d’êtres humains mais je pouvais le faire. Je riais, amusé en la regardant. « Ok, donc des chaussures ! », totalement motivé, ou pas. J’allais vers les chaussures pour hommes en déambulant. Je n’étais pas du genre à directement les prendre en fait, je suis plus pointillons. Je les regardais une à une et puis je refaisais un tour pour prendre en main deux ou trois qui me plaisaient et les regarder attentivement. Je fronçais les sourcils en riant un peu. « Moui ! », disais-je en regardant un modèle. En fait, ils étaient un peu tous les mêmes pour moi mais je faisais ça exprès pour jouer un peu avec ses nerfs. « Chérie ? », disais-je alors d’un ton dégoulinant d’amour… en me retenant de rire mais la regardant sérieusement. « T’en penses quoi de celle-ci ? », c’était en fait : la pire de toute. Vertes fluors, un vrai cannabis pour les pieds. Je vous jure que ça craignait. En fait, j’en avais vu des plus simples mais je la testais devant sa collègue. Lui tendant alors en souriant. « Je veux celle-là. Elles sont canon ! », je gardas mon air super sérieux mais vraiment trop super sérieux en attendant alors assis sur une banquette ou l’on pouvait essayer. Sisi, j’étais carrément sérieux, ou pas. Je voulais des chaussures vertes fluors. Et puis… il est où le problème. J’ai peur être un solitaire, distant et tout ça mais j’ai le droit d’avoir des pieds fluors pour plaire à ma fausse petite amie. C’était parfait pour tenir les dragueuses loin. Surtout les lourdes dingues.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeSam 18 Mai - 1:00

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❝ Beautiful Day.❞
Il n’y avait pas à dire. Savannah devait bien reconnaitre que Gabriel s’investissait dans le jeu à fond. On aurait vraiment pu croire qu’il était un petit ami modèle derrière cette image de policier bourru qu’il essayait de renvoyer. Il se demanda alors ce qui était prévu aujourd’hui, Savannah lui proposa alors de lui montrer l’endroit où elle travaillait. Chacun leur tour. S’il éprouvait un désir de vengeance après ce qu’elle avait fait au poste de police, il pourrait s’en donner à cœur joie. Mais lancer une pique à Savannah, c’était prendre le risque de se la voir enfoncer en retour. A ses risques et périls donc. Il glissa sa main dans celle de la jolie blonde et marcha avec elle jusqu’au centre commercial exceptionnellement ouvert en ce dimanche. La jeune femme lui indiqua le premier étage où Gabriel l’accompagna jusque dans son magasin. Elle lui proposa de choisir une paire qui l’intéressait, commençant à le connaître, il la testerait sans aucun doute. Une de ses collègues s’approcha, curieuse de découvrir qui était ce bel inconnu qui accompagnait Savannah. Il fallait bien admettre qu’elle ne ramenait jamais d’hommes sur son lieu de travail. Sa collègue fit alors un sourire faussement charmeur à l’encontre du policier, qui se retourna vers la jolie blonde pour lui demander s’il s’agissait là d’une des chaussures canons. « Plutôt d’un modèle dépassé. » Répondit-elle en pouffant de rire à son tour. Gabriel essayait-il de trouver une mauvaise façon de la rendre jalouse devant les autres ? Le jeu n’exigeait pas de Savannah de faire semblant de l’être, parce que ce n’était pas du tout le cas. Elle était plutôt du genre à pousser la taquinerie à son maximum. Le policier se remémora alors la proposition de la jeune femme lorsqu’ils étaient entrés à l’intérieur du magasin et se mit donc en quête d’une paire de chaussure digne de ce nom. Il ne semblait pas très emballé pour choisir lui-même. Savannah le regarda du coin de l’œil tandis qu’elle échangeait quelques mots avec une autre de ses collègues un peu plus loin. Celle-ci se montrait curieuse de connaître la nouvelle relation de la jolie blonde. Gabriel l’interpella alors d’un doux surnom, qui répondait certainement à toutes les questions que son interlocutrice aurait pu poser à Savannah. La jeune femme se retourna vers lui et sourit de nouveau en constatant qu’il avait certainement pris la paire la plus repoussante du magasin… Enfin, pas au niveau du modèle, mais de la couleur. Il lui demanda son avis sur la question. « Je pense qu’elles sont bien… pour la Saint-Patrick ! » Répondit-elle en riant. La fête où tout le monde portait du vert ! Il les lui tendit pour aller les essayer devant les yeux interloqués des collègues de Savannah qui était partagée. Si elle le laissait acheter cette horreur, elle se ridiculiserait devant ses « copines de travail ». Si elle ne le laissait pas prendre « ce qu’il voulait », elle refuserait à un client ce dont il avait envie. Elle trouva alors une parade qui réglerait son problème. Son regard d’experte devina la pointure de Gabriel en un instant. « Mon chéri, il n’y en a plus à ta pointure. Tu sais, ce modèle a tellement de succès… » Rétorqua-t-elle malicieuse. Le policier avait voulu la piéger, mais elle ne s’était pas laissé avoir. Le modèle exposé en magasin était trop petit pour lui, c’était évident. « On t’en trouvera d’autres comme ça. » Lui promit-elle alors. Elle remarqua alors que ce modèle existait dans une autre couleur… plus sobre ! Un parfait compromis donc ! Gabriel aurait tout de même le modèle, mais pas en vert fluo. « Que dirais-tu de cette couleur-là ? Elles sont plus… dans ton style. » Répondit-elle alors en prenant une paire plus sobre, mais qui rendrait plus classe sur Gabriel. Savannah chercha une boîte à la bonne pointure et lui tendit pour qu’il essaie. « Si elles te plaisent, c’est moi qui te les offre pour me faire pardonner de ce matin. » Dit-elle en lui lançant un regard complice, mais tout à fait sérieuse. Elle se pencha ensuite vers lui, une nouvelle idée derrière la tête. « Ensuite, ce sera à ton tour de venir m’aider à choisir. Il faut bien que je fasse quelques achats également. Tu sais… pour te rincer l’œil. » Lui murmura-t-elle à voix basse pour l’appâter. Une offre qu’il ne pourrait certainement pas refuser.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeVen 24 Mai - 4:18

Il était une fois, oui une fois. Un homme totalement amusé par ce jeu alors qu’il jouait tellement rarement. Il voulait juste en profiter un peu. J’étais cet homme à chercher les pires chaussures pour les présenter à Savannah. Pourtant j’avais l’impression qu’elle ne m’écoutait pas. Elle ne semblait pas faire attention à moi alors que je parlais un peu seul pourtant mais en me disant qu’elle m’écoutait et bah non, je le remarquais en la regardant alors qu’elle semblait ailleurs. J’inspirais alors doucement en lui montrant les vertes et arquant un sourcil à sa réaction. J’affichais une petite moue, faussement déçu en soupirant doucement. « T’es vache, ma chérie ! », lui balançais-je alors aussitôt en soupirant doucement et penchant la tête. « Méchante ! », murmurais-je alors entre les dents un peu amusé à l’idée de passer pour le petit et pauvre petit gamin. Je fermais rapidement les yeux et les rouvrant aussitôt alors que je posais mon regard vers la chaussure et que je la remettais. Faussement déçu. Non mais je l’aimai bien ma chaussure. Moi qui rêvait être un leprechaun dans une vie antérieur. Je vous jure les femmes, jamais contente. Et puis on se demande pourquoi je préfère le célibat. Et puis, il n’y avait pas ma pointure ? Non mais de toute manière, j’avais deviné qu’elle me refuserait ma belle et canon chaussure verte. Tsss… sans cœur les femmes, sérieusement. Je vous jure. Pas gentille, c’est sûr. Pas du tout même. Mais alors là, pas du tout du tout. J’étais triste soudainement et m’asseyant sur une banquette en la regardant avec mon air de cocker. « Pas grave, je m’en remettrais ! », j’avais curieusement l’impression de me comporter comme l’enfant qui ne pouvait pas avoir son t-shirt Dragon Ball Z par ce qu’il n’en a plus à sa taille ou de la couleur de son choix. Et je la regardais avec un air blasé alors qu’elle disait qu’on ne trouverait d’autres, je secouais doucement la tête. Je regardais alors les chaussures qu’elle me montrait et je lui laissais un regard interrogateur. « Non, je voulais les vertes ! », lâchais-je en finissant même par rire un peu sous ma connerie et lui souriant doucement. « Je vais les essayer ! », oui bon le délire pour mes chaussures vertes fluors qui siérait au teint d’un aliène tout droit de mars. « Bon ok ! », disais-je alors qu’elle venait de me dire qu’elle allait me les offrir. « Mais je t’offre un riner… oui, un riner car j’ai envie d’un chinois donc ça sera du riz. », je disais ça, amusé. Je ne savais clairement pas ce qu’il se passait dans ma tête pour plaisanter à ce point. J’étais tellement amusé que je me laissais aller à ce jeu et me décoinçant ce qui n’arrive jamais. Elle avait une magie sur moi, un peu comme celle de Ginnerva mais bien moins… subtile. J’étais bien dans cette journée détente ou alors j’en avais besoin peut-être. Il valait mieux que je penche pour l’option de la détente. Je riais un peu en l’écoutant alors quand elle se penchait tandis que j’essayais les chaussures. Je souriais doucement en la regardant attentivement. « Oh, tout d’un coup, t’es la plus gentille des petites amies ! », disais-je pour alors reprendre le fait que j’avais dit qu’elle était méchante. Et bah mince alors. J’étais lunatique en ce moment mais elle m’avait rendue mon sourire… et fait partir mon faux sourire. Je souriais doucement en baissant le regard vers les chaussures et regardant ses pieds. « Non pas que je ne trouve pas tes pieds incroyablement sexy mais dis-moi que je ne vais pas me rincer l’œil sur eux tout de même… j’aime les chaussures pour femme surtout celles à talon mais tu serais chiche de me sortir des tongs ! », lâchais-je pour plaisanter un peu même si j’avais compris que cela ne serait pas des chaussures mas je souhaitais jouer le jeu. Vraiment. « Dans tous les cas, je suis ton homme ! », lâchais-je donc en lui souriant. Je me levais pour tester les chaussures et marchant un peu avec pour voir si elles étaient réellement confortables. C’était stupide d’agir ainsi mais oui. Je les retirais aussitôt en la regardant. « Emballé c’est pesé ! », rétorquais-je d’un air entendu. Oui, les chaussures allaient. C’était une expression que j’avais bien souvent entendue et je comptais bien l’employer. Me retrouver ainsi face à elle ne me dérangeait pas alors que je montrais bien une sorte d’impatience. « Allez… chérie, on va faire les boutiques ? », balançais en jouant le jeu du petit ami mais voulais-je réellement me rincer l’œil ou juste en jouant jusqu’au bout ? Tel était la question. « On y va ? », je prenais la boite et les mettait dedans sans vraiment y mettre du soin.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeJeu 20 Juin - 23:00

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❝ Beautiful Day.❞

Savannah aimait bien jouer avec les nerfs de Gabriel, mais elle était amusée de voir qu’il commençait à y prendre goût lui-même et à lui rendre la monnaie de sa pièce. La jeune femme refusa d’accepter ces horribles chaussures vertes, tournant le style du policier à la dérision, avant de lui proposer le même modèle dans une couleur plus adéquate. Elle était même prête à les lui offrir à condition qu’il oublie les vertes fluo, une idée qu’accepta à contrecoeur Gabriel, devant baisser les armes devant une telle proposition. Il ronchonna quelques instants, mais se décida enfin à essayer la nouvelle paire tandis que Savannah lui suggéra de continuer ensuite leurs achats pour se ‘rincer’ l’œil.  Une petite étincelle malicieuse s’alluma dans le regard du policier qui ne refusa évidemment pas cette suite de programme… intéressante. Il sourit doucement et s’exclama d’un coup qu’elle était la plus gentille des petites amies. C’était bien loin de connaître Savannah qui avait encore plus d’une idée derrière la tête pour le mener en bateau. Il voulait qu’elle cherche à le convaincre des bienfaits d’un couple, mais en vérité, cette idée était totalement en contradiction avec ses convictions. Les couples ? Non merci ! Elle aurait simplement pu refuser ce jeu, mais la jolie blonde ne se défilait jamais devant un défi. Cependant, elle avait remarqué qu’à essayer de le pousser à la quitter pour ne pas qu’elle perde le jeu, donnait au contraire l’envie à Gabriel de le continuer. Un paradoxe qui n’était pas du tout déplaisant pour Savannah, car il avait l’air d’aimer se faire ennuyer pour lui rendre la pareille. Et si les bienfaits d’un couple pour le policier était de se la jouer chien et chat et de la chercher ? Pourquoi pas… Dans ce cas, ce jeu prenait une tournure beaucoup plus amusante, une tournure dont Savannah avait justement besoin de tester les limites, car si les deux jeunes gens jouaient effectivement au faux couple, Gabriel n’avait jamais cherché à la toucher davantage qu’un baiser s’entend. Si leur petite mascarade avait des limites bien définies à ce sujet au début de leur jeu, ce n’était peut-être plus tout à fait le cas… Une question à laquelle la jeune femme trouverait rapidement des réponses. Elle éclata de rire lorsque Gabriel s’inquiéta de savoir si se rincer l’œil signifiait que Savannah allait à son tour chercher des chaussures et qu’elle serait en plus capable de lui sortir des tongs juste pour le faire enrager. Décidément, il commençait à bien cerner son esprit, c’était tout à fait le genre d’idée qu’elle aurait pu avoir, même si ce n’était pas le cas ici. « Ne t’en fais pas, j’ai une meilleure idée en tête, mais tu verras. » Répondit-elle en souriant. Le trentenaire se leva ensuite pour marcher quelques pas dans sa nouvelle paire de chaussures avant de les valider. La jolie blonde l’aida à les emballer, parce qu’il fallait bien admettre que s’il était bon pour faire les petits déjeuners, il n’était pas vraiment doué pour le rangement. Ils payèrent les chaussures, puis elle acquiesça ensuite à sa demande. Faire d’autres boutiques. Savannah salua ses collègues, puis ils sortirent du magasin et elle tendit à Gabriel le sac contenant la boîte à chaussures. Les lui offrir était une chose, les porter en était une autre, et elle n’allait certainement pas s’y coller. « Un petit ami digne de ce nom doit pouvoir faire certains achats avec sa copine. » Lâcha-t-elle mystérieusement, une fois à l’extérieur. Ils firent quelques pas quand soudain Savannah s’arrêta devant un magasin de sous-vêtements féminins. Ça tombait bien, il lui en fallait de nouveaux. Sans attendre la réaction de son faux petit ami, la jolie blonde s’engouffra à l’intérieur et commença à admirer plusieurs modèles. Elle observa du coin de l’œil le policier qui ne s’était sûrement pas attendu à pouvoir se « rincer l’œil » aussi littéralement. « S’il y a des modèles que tu aimes… N’hésite pas. » Dit-elle en souriant pour lui signifier qu’elle accepterait de les essayer si ça pouvait lui faire plaisir. Si à ce moment-là, Savannah pouvait apparaître comme un doux ange prêt à lui donner des plaisirs aux yeux, il n’en était rien. La jeune femme avait bel et bien une idée derrière la tête ; tester certaines limites qu’elle savait devenues indéfinies. C’était tellement flagrant dans le regard de Gabriel, même si il essayait de ne pas lui montrer. La jeune femme choisit plusieurs modèles de sous-vêtements et en prit un que le jeune policier lui tendit. Elle se rendit ensuite dans une cabine d’essayage et en essaya plusieurs. Certains allaient, d’autres pas. Quand c’était le cas, elle ouvrait le rideau quelque seconde pour le lui montrer et voir son approbation ou non. Si, si. Voir sans pouvoir toucher. A ce moment précis, Savannah était une vile tentatrice. Au bout de quelques minutes, elle enfila un nouveau modèle. Mais tout à coup, elle mima des difficultés pour fermer un des soutien-gorge dans son dos, alors que toute femme y parvenait sans problème. « Chéri, tu peux venir m’aider une minute ? Je crois que je me suis coincée et j’ai dû mal à le fermer. » Lui demanda-t-elle alors de le rejoindre. Elle attendit qu’il s’exécute, sentant son regard la parcourir de haut en bas dans le dos. Savannah releva les yeux dans le miroir et le vit contre elle. Une fois qu’il l’eut fermé, elle se retourna doucement vers lui et déposa ses lèvres sur les siennes.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeLun 29 Juil - 5:56

J’avais l’habitude de vite cerner les personnes et les conneries qu’ils pourraient faire. Je comprenais rapidement de quoi la jeune femme pourrait être capable pour dire de jouer un peu avec moi. Je devinais facilement ce que les gens pourraient avoir dans la tête en général. Les fruits du métier mais bon, c’était parfois aléatoires. Les flics ne sont pas spécialement des génies du crime mais ils apprennent à être attentif. Je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir ressenti que c’était possible qu’elle me dupe. Il était bien compliqué de m’avoir. Disons presque impossible car j’avais simplement du mal à faire confiance, tellement de mal. Je ne pouvais pas m’empêcher parfois de me demander si c’était réellement bon de jouer à ce jeu avec elle. Ce jeu de copain/copine qui ne l’est pas du tout en sachant que l’idée n’était peut-être pas bonne. La victoire n’était en fait que bien subtile et le jeu n’avait pas vraiment de fin mais ce qui était amusant était que nous pouvions faire connaissance. Enfin c’était tellement risqué pour bon nombre de raisons que je ne pourrais pas expliquer clairement ce qu’il se passait dans ma tête à vrai dire. Et là, nous allions faire du shopping ce qui entre nous ne m’enthousiasmais pas réellement sauf pour m’acheter des chemises car oui, ça j’adorais. J’en avais des millions de toutes les couleurs et j’en passe. C’était mon kiff. Une chemise pouvait me rendre heureux. « Ceux de vos rêves ! », lâchais-je bêtement alors qu’elle parlait des petits amis dignes de ce nom mais dans mes potes même s’ils sont rares… j’entendais rarement qu’ils pouvaient faire du shopping avec leur copine donc je m’interrogeais un peu en me demandant dans quel monde… elle avait entendue ça avant de voir le magasin face à moi, elle était sérieuse ? Non mais alors là, j’hésitais un peu sur le coup. Je soupirais doucement en levant le regard avant de le tourner vers elle quand elle me disait que si j’avais des modèles que j’aimais, je ne devais pas hésiter. Je riais nerveusement. « Je ne pense pas qu’ils aient ma taille, tu vois ? », disais-je d’un ton un peu plaisantin sur le coup. Bon certes ce n’était pas vraiment pour moi qu’elle parlait mais on se comprenait sur le coup ce n’était que l’humour sacrement nul du flic. Et alors que nous entrions, j’étais finement gêné d’être dans ce genre de boutique. La vendeuse me regardait comme si j’étais une sorte d’ovnis. Comme si j’allais venir dans une boutique ainsi si j’étais un ovni mais quand même, allez. Allo non mais. Je ne pouvais pas m’empêcher de lui faire un sourire timide surtout pour la rassurer. Je n’avais pas envie que le bruit d’un pervers à la police se fasse circuler. Et c’est là que la jeune femme commençait à essayer lingerie sur lingerie en se montrant et ne se montrant pas par moment. Je voyais presque dans ma tête… les lingeries voler par-dessus le rideau, il n’en était rien mais c’était un peu mon imagination qui me jouait des tours. Si, elle ose la coquine. J’ai une imagination assez rebelle. Et alors que je me retenais presque par moment de les regarder avec les yeux d’un homme, un vrai… je tentais de les calmer. Oui, les yeux tellement coquin et de n’être qu’un spectateur qui était censé s’y connaitre mais c’était bien difficile, réellement. Je suis un homme et il ne faut pas m’en vouloir d’avoir les yeux et le reste de mon corps un peu coquin. Et là, Je riais en l’entendant m’appeler « chéri », elle commençait un peu trop à s’y faire à mon gout. J’arquais un sourcil en secouant doucement la tête et me levant. « Hum hum… », disais-je alors en trouvant que ce n’était qu’une excuse et allant dans la cabine en fermant le rideau surtout par ce que c’était respectueux pour elle que les gens n’assistent pas à son jeu. Et c’est là que je posais les mains sur le tissus et le fermant en levant les yeux. « Je n’ai jamais vue une femme ne pas réussie à en fermer un et je te jure, j’en ai vu beaucoup ! », j’avais une fameuse liste de coups d’un soir même si je quittais Magnolia depuis mon arrivé les soirs ou j’allais draguer. J’allais à Philadelphie dans mon ancien appartement ce qui était bien plus simple. Et là, alors que je n’avais pas le temps de dire ouf… elle se retournait et venait poser ses lèvres sur les miennes. J’arquais de suite un sourcil en la regardant. Elle devenait folle ? Sur le coup, j’étais réellement mais réellement perdu voir même figé, je ne savais pas comment réagir mais pas du tout. Surtout après son défilé car oui… j’en avais envie mais non, il ne fallait pas. Oh et puis merde… à quoi bon ? « Je… Tu… », lâchais-je. « Tu vas bien ? », demandais-je alors sans savoir ce qu’il lui prenait mais finissant par céder comme un con et l’embrasser avec une sorte de fougue que je pouvais nettement expliquer mais il ne faut pas jouer avec les pulsions d’un homme.
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Savannah Richardson
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeDim 4 Aoû - 11:02

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❝ Beautiful Day.❞

Savannah avait une nouvelle idée en tête pour donner à cette journée shopping une tournure plus amusante. En tant que ‘petit ami’, Gabriel se devait de l’accompagner dans un magasin bien particulier. La jeune femme lui proposa de l’aider à choisir des sous-vêtements sexys qu’elle pourrait porter lors d’une occasion ou l’autre… sans aucune arrière-pensée dans leur jeu bien entendu, puisque rien n’était censé être vrai entre eux. Disons que c’était une façon pour elle de tester à quel point ce drôle de lien qu’ils partageaient dépassait la fiction. Savannah s’enfonça dans le magasin, tandis qu’elle entendit Gabriel lui répondre que ces modèles n’étaient pas à sa taille. Elle esquissa un petit sourire ; il avait cette fâcheuse habitude de jouer à l’imbécile et de la prendre au mot, même si la jeune femme savait qu’il avait parfaitement bien compris. L’humour façon Gabriel, que voulez-vous. Savannah regarda plusieurs modèles différents et en prit quelques-uns pour les essayer. Elle souhaitait justement renouveler sa lingerie de quelques modèles récemment sortis. Quoi de mieux que l’avis de son faux petit ami pour l’aider à choisir ? Savannah sourit de plus belle en constatant la timidité grandissante du policier. Elle qui avait entendu son passé assez mouvementé avec les femmes ne voyait pas du tout ce même homme aujourd’hui. La jolie blonde l’attira donc près des cabines pour essayer de le décoincer un peu. Il avait tout à fait sa place dans ce genre de magasin du moment qu’il était avec sa prétendue copine. Savannah enfila plusieurs modèles en lui demandant son avis, puis eut une nouvelle idée coquine pour pimenter un peu plus leur jeu, bien trop calme et… platonique depuis que leur faux couple avait débuté quelques semaines plus tôt. Elle simula un petit problème d’essayage et appela son « chéri » en appuyant sur le mot pour qu’il vienne l’aider à s’en sortir. Gabriel n’était pas stupide, loin de là. Savannah le savait pertinemment bien. Il devina son petit jeu directement et marmonna quelque peu avant d’entrer. Il n’avait jamais été question de reculer au dernier moment. La jolie blonde avait eu quelques réticences au début de cette histoire avec le policier, mais avait vite pris goût au fait qu’il ne se défilait jamais et était devenu très joueur aussi à la longue. Dans le cas contraire, elle se serait vraiment ennuyée et aurait déjà coupé court à leur couple sordide si elle avait été complètement lassée. Ce qui n’était pas du tout le cas pour le moment. Gabriel rentrait toujours dans son jeu en étant tout à fait conscient de celui-ci. Il l’aida à attacher son soutien-gorge dans le dos et lui fit remarquer qu’il n’avait jamais vu une femme –et il  en avait vu beaucoup- ne pas réussir à fermer le leur. « Vraiment ? » Rétorqua Savannah d’une voix faussement innocente. Le contexte était tellement différent… Ces femmes n’étaient pas la jeune Richardson. De plus, Gabriel n’avait sûrement jamais dû jouer à un jeu aussi sordide que celui qui existait entre eux… Mais jusqu’où se posaient leurs limites ? La jolie blonde se retourna soudainement vers lui et déposa doucement ses lèvres sur les siennes. Elle sentit la surprise de Gabriel qui lui demanda d’un air étonné si elle allait bien avant de revenir vers elle et de l’embrasser à son tour avec bien plus de fougue que la jeune femme. Savannah comprit que leur pseudo-attirance n’avait pas été si feinte qu’ils voulaient le laisser paraître, mais elle n’aurait jamais deviné que Gabriel répondrait avec autant d’intensité en retour. La jolie blonde se surprit elle-même à aimer ce contact plus qu’elle n’aurait dû et se sentit soudainement prise au piège du jeu provocateur qu’elle avait engagé. Elle ne voulait pas prendre le risque d’aller plus loin aujourd’hui dans ce jeu qui pourrait vite se montrer dévastateur de leur relation. Savannah ne voulait pas que tout se précipite comme ça dans une sordide cabine d’essayage au milieu du centre commercial. C’était de sa faute. Elle avait allumé les pulsions de Gabriel et briser sa volonté pour en tester les limites, mais de façon assez surprenante, la jeune femme avait ressenti quelque chose de légèrement différent, elle ne voulait pas dépasser ces limites avec lui aujourd’hui de peur de devoir arrêter le jeu ensuite. Savannah refusait de prendre le risque d’arrêter cette complicité qui naissait entre eux. Parce que ce qui était entrain de se passer en ce moment pouvait tout à fait le remettre en question… Elle continua donc d’embrasser Gabriel avec la même fougue que lui, lorsque soudain, elle s’arrêta net. « Tu n’aurais pas perdu quelque chose ? Tu devrais faire plus attention à tes affaires monsieur le policier ! » Souffla-t-elle alors d’un regard espiègle. Pendant le moment d’abandon du jeune Farnsworth, Savannah avait réussi à lui subtiliser son arme dans sa pochette et le pointait sur sa hanche –cran de sûreté activé bien sûr- pour lui faire comprendre qu’il avait égaré son revolver. Grave erreur pour un policier. Mais aussi ‘comment briser ce moment en deux secondes’… La jeune femme devinait d’avance qu’il n’allait pas du tout aimer ça.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeMar 10 Sep - 4:26

Tu sais bien qu’elle te mène par le bout du nez mais au fond, tu n’es clairement pas non plus à côté de son jeu. Et non, tu y joues aussi. Le plus amusant c’est que tu n’es pas dupe. Une femme sait fermer un soutien à gorge sans aide. Parfois, elles sont même contorsionniste. Tu n’ignores pas du tout ce fait en réalité. Tu t’en amuses. Tu te demandais parfois comment elles faisaient pour être aussi souple. Tu vois souvent ces soutiens à gorge avec les brides qui se croisent dans les dos et la façon dont tes coups d’un soir se faufilaient naturellement entre les brides pour arriver à l’attacher en deux ou trois mouvements. Tu les enviais à vrai dire. Oui, c’est le mot. Enfin plus vite l’expression. Tu ne savais pas comment elles réussissaient leur coup. En fait, tu ne cherchais pas réellement à le savoir également. Mais là, tu sentais le pot au rose. Et sans même que tu ne puisses te résoudre à calmer tes pulsions ou même ses soudaines pulsions et surtout que tu te doutais qu’elle préparait un mauvais coup mais à quoi bon ne pas jouer ? Tu n’es pas vraiment un mauvais perdant en général. Pas du tout même. Bourru, certes mais tu ne balancerais pas les cartes à travers la pièce sauf si un petit bourriquet venait à tricher. Tu n’aimais pas la tricherie. Oh non, pour un flique, voyons et pourtant tu triches car tu es un être humain. Et là, paf. Alors que tu étais totalement lancé à l’attraction des lèvres de cette blonde en petite tenue qui semblait s’offrir à toi et bien : pas de chances mon coquin. Tu l’écoutais alors qu’elle s’était arrêtée et ces mots… au début, tu ne comprenais rien enfin tu ne voulais peut-être aussi pas comprendre car tout ce qui restait dans ton esprit était que tu voulais reprendre ce baiser. Tu es un homme, c’est normal et personne ne t’en voudras de vouloir profiter de l’occasion. C’est alors que tu sentis l’arme contre ta cuisse que tu comprenais enfin ce qui arrivait. Il était temps quand même. Tu n’es qu’un rude crétin pour en prendre autant mais oui, il était temps, c’était un fait. La compréhension et toi parfois. Enfin heureusement que quand tu bosses, ça monte bien plus vite au cerveau que cela n’en reste dans le boxer. Espèce de petit coquin. Tu es bien un homme. Tous les mêmes. Tu n’en as pas honte. Là, sur le coup, tu soupirais surtout blasée qu’elle prenne ton arme car ce n’est pas un jouet. Tu la reprends en la regardant droit dans les yeux. « Hop, hop hop… rendez-moi, ça. Vous pourriez blesser quelqu’un et le sang ne devrait pas couler près d’une lingerie fine ! », tu souris et déglutissant aussitôt en la regardant rapidement enfin… en bas pas dans les yeux. Tu te sentais un peu con de t’être laissé berner mais tu savais que maintenant c’était clair et net, toi et les femmes de Magnolia… ce n’était pas possible. Trop d’implication et ton boulot ? Cela ne faisait pas vraiment bon ménage. Si tu ignorais que c’était un jeu pour elle, tu serais parti, assez fâché mais là, tu reprenais bêtement ton arme pour la ranger là où elle devant l’être. Tu ne voulais pas spécialement te montrer en colère ou frustré dans le fond, il ne s’était pas passé grand-chose si ce n’est un baiser. Pas assez pour te frustrer, pas assez pour réellement t’émoustillé. Il t’en fallait tout de même un peu plus pour démarrer ! « Mais ce n’est pas gentil de jouer avec les hommes ! », soufflais-tu décidément un peu amusé mais un brin agacé tout de même. Tu ne pouvais pas lui en vouloir totalement même si dans le fond, le jeu dépassait des limites que tu n’avais pas réellement désirées. Décidé à quitter cette cabine, tu le faisais à reculons en gardant le regard vers son visage et seulement son visage. « Tu as terminée ? », demandais-tu visiblement avec l’envie d’en sortir aussitôt… de ce moment totalement gênant qui tu donnais envie d’aller… bien loin surtout pour bosser car il n’y avait que là que tu pourrais oublier ce qui venait de se passer. Tu ne voulais cependant pas paraitre rabat joie mais pourtant tu semblais l’être, c’était un peu ce que tu avais toujours été dans le fond que cela plaise ou non. Tu n’es pas vraiment du genre à t’en affairer. Et pourtant cette fois, si. Tu n’aimes pas le paraitre car elle s’amuse mais là, cela ne t’a pas amusé.
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MessageSujet: Re: ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah ohhh... ma petite amie me rend visite - Gab&Savannah Icon_minitimeMer 18 Sep - 19:07

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❝ Beautiful Day.❞

Le jeu. C’était tellement devenu une passion pour Savannah qu’elle en oubliait parfois que ses actes pouvaient dépasser certaines limites et surtout blesser des gens. Elle avait déjà commis plusieurs faux-pas auprès de ses plus proches amis, mais n’avait encore jamais mis le pied de travers devant Gabriel… avant ce moment où elle l’embrassa et profita de son moment d’abandon – il restait un homme – pour se saisir de son arme. Mais bien loin d’arrêter l’idée qu’elle avait en tête, la jeune femme ne comptait pas stopper en si bon chemin. Elle pointa le pistolet vers lui, ce qui fit reculer le policier surpris d’un pas. C’était comme si Savannah cherchait toujours à casser les rares « bons » moments et à les retourner en conflits pour pimenter le calme qui s’installait, sauf qu’à la longue, ça pouvait devenir fatiguant. Elle le constata clairement sur le visage de Gabriel qui la sermonna comme une enfant immature en lui reprenant l’arme des mains et en lui rappelant qu’elle pourrait blesser quelqu’un – à commencer par elle-même. Du sang sur de la lingerie fine ne serait en effet pas des plus glamours. Le policier plongea son regard dans le sien et évita soigneusement de se laisser amadouer une deuxième fois en n’égarant pas ses yeux sur son corps. Il se perdit dans ses pupilles, petites opales d’un bleu océan aussi profond qu’insondables. Il ne parviendrait pas à la cerner aussi facilement ! Savannah ne lui donna pas l’occasion de se fâcher et esquissa un sourire. Tout ceci n’était qu’un jeu sordide voyons. Gabriel se contenta alors de pousser un petit soupir et de ranger l’arme à sa place avant de la sermonner à nouveau en lui disant que ce n’était pas bien de jouer avec les hommes. La jeune femme n’avait pas encore dit son dernier mot et réagit aussitôt. « C’est toujours mieux que de jouer avec ça. » Dit-elle en indiquant le pistolet. « Tu m’avais caché ta passion pour les armes. » Lui murmura-t-elle ensuite à l’oreille dans un sous-entendu avant qu’il ne quitte la cabine d’un air songeur. Savannah remarqua alors que ces mots eurent une portée assez significative, une portée dont elle ignorait réellement l’impact, alors que dans sa tête, il était normal qu’un policier en possède une. Il lui demanda alors si elle avait terminé, comme s’il voulait quitter cet endroit le plus vite possible et retourner travailler. Savannah répondit par la positive et se rhabilla rapidement pour ne pas le faire attendre trop longtemps. « On peut y aller. » Ajouta-t-elle ensuite en sortant de la cabine, n’ayant pas spécialement prévu d’acheter quoique ce soit après ce petit intermède. Elle remit les sous-vêtements essayés en place, Savannah n’avait pas besoin d’en prendre pour le moment. Ils n’avaient été que l’instrument de ce qui s’était passé dans cette cabine. Elle avait appris d’une part qu’elle était tout à fait capable de le tenter, et d’autre part, qu’elle aurait beaucoup plus de mal à retrouver sa ‘confiance’ à ce niveau-là. Gabriel n’était pas comme tous ces hommes ordinaires. Il était loin d’être dupe et commençait en fait plutôt bien à la cerner, même si elle avait crû le contraire quelques instants plus tôt dans cette cabine. Savannah ignorait où les mènerait leur jeu insolite, mais elle appréciait de plus en plus la tournure qu’il prenait. Inattendu. Imprévu. Un véritable challenge… car Gabriel n’avait toujours pas rompu pour lui rendre sa liberté. Il s’accrochait pour continuer la partie. Jusqu’à quand ? Bonne question. Les  deux jeunes gens sortirent finalement du magasin et se dirigèrent ensuite vers l’extérieur du centre commercial. Cette journée avait été… enrichissante, à bien des niveaux.


SUJET TERMINÉ
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