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Comme un collégien en ce jours particulier (#5)

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MessageSujet: Comme un collégien en ce jours particulier (#5)  Comme un collégien en ce jours particulier (#5) Icon_minitimeMar 14 Fév - 15:36

On était la Saint Valentin. Je m’étais levé tôt pour bien mettre en place ma surprise pour ma douce. J’avais l’impression d’être un collégien qui allait avoir son premier rendez vous amoureux. Mais j’avais vraiment envie que tout soit parfait vu que j’avais demandé à Lauren de me laisser tout prendre en main. Enfin au moins l’endroit et le déroulement même si je savais que ma chère femme était imprévisible alors j’aurais forcément des petites surprises mais c’est une des choses que j’aimais le plus chez elle. Même si peu de gens le savait elle passait plutôt pour quelqu’un de calme alors qu’elle était plus que volcanique.

Je mis tout ce dont j’avais besoin dans le coffre de la voiture avant que Lauren ne soit levé et je préparais le petit déjeuné assez copieux car j’avais l’intention de nous faire faire du sport avant de se restaurer. Je mis la cafetière à chauffer pour que tout soit parfait. Je regardais l’heure 7h30 parfait le timing était respecté. On avait l’habitude de se lever tôt donc je savais qu’elle ne m’en voudrait pas de la réveiller à cette heure ci.

J’entrais à pas de velours dans la chambre et me dirigea doucement vers le lit où Lauren dormait encore comme une bien heureuse. Qu’est ce qu’elle était belle quand elle était dans les bras de Morphée. La lumière du jours filtrait un peu et éclairait son visage ce qui rehaussait sa beauté si c’était encore possible. Je la regardais pendant quelques minutes avant de me secouer ce n’était pas le moment de rêvasser. Je m’approchais doucement et lui caressa le bras tendrement pour ne pas la réveiller brusquement sa la rendait grincheuse.

Réveilles toi ma chérie..

J’embrassa son épaule tendrement et attendit qu’elle tourne sa petite frimousse vers moi pour lui faire un sourire éclatant. Ouais la pauvre elle avait pas de chance j’étais vraiment d’excellente humeur aujourd’hui.

Bonjours mon amour….

J’embrassais son bout du nez avant de ressortir de la chambre pour lui laisser le temps de se réveiller et d’enfiler quelque chose pour prendre le petit déjeuner. Je redescendis dans la cuisine pour dresser la table et vérifia que j’avais bien tout sortit. Je m’installais sur une chaise en l’attendant. Je finis par entendre ses pas dans l’escalier je me relevais et posa la rose rouge que j’avais acheté en passant ce matin là sur son assiette.

Bon Saint Valentin mon ange !

Je lui fis un magnifique sourire et la prit dans mes bras tendrement et lui embrassa le front et le nez puis la pris par la taille pour lui montrer ce que j’avais fais tout fier de moi.

Le petit déjeuner de Madame est servi.
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MessageSujet: Re: Comme un collégien en ce jours particulier (#5)  Comme un collégien en ce jours particulier (#5) Icon_minitimeJeu 16 Fév - 23:12

Saint-Valentin. C'était ce fameux jour où tous les hommes étaient tendres et aimants avec leurs femmes, où toutes les femmes étaient adorables le temps d'un jour. Et où tout le lendemain redevenait comme d'habitude. Lauren était en train de dormir profondément dans le lit, depuis quelques temps, la bonne humeur était au rendez-vous chez les Winston et c'était très agréable de vivre de la sorte. Frederik avait insisté pour tout prendre en main, la jeune femme ne s'était pas plaint, elle n'avait aucune envie de réfléchir à quoi faire ou préparer pour le moment, elle avait donc laissé son mari prendre les rennes. La jeune femme s'était dit qu'elle ferait des efforts pour rester de bonne humeur toute la journée et qu'elle allait s'y tenir, son caractère était tellement énervant par moment qu'elle plaignait Fred.
Lauren était donc dans le lit, elle posa sa main à l'endroit où son mari était sensé se trouver mais toucha simplement le drap, tant pis, il était déjà levé, elle se retourna et se rendormit tranquillement. Quelques minutes plus tard, la jeune Winston entendit vaguement les pas de son mari qui revenait dans la chambre, elle continuait tout de même à dormir. Elle sentit tout d'un coup une main sur son bras, un sourire s'afficha sur son visage et elle émergea tout doucement, Fred lui déposa un baiser sur l'épaule et la regarda en souriant. Dieu qu'il était à croquer, elle lui sourit et l'embrassa.
« Bonjour toi... »
Lauren regarda ensuite Frederik qui redescendait le temps de lui laisser le temps de se réveiller comme il fallait. Elle se leva donc et enfila une chemise à son mari qui traînait là puis descendit les escaliers qui menaient à la cuisine, une bonne odeur lui arrivait dans les narines. Elle entra dans la cuisine et un grand sourire se dessina sur son visage, qu'est ce qu'il pouvait être attentionné avec elle, Lauren regarda Fred en souriant et s'approcha de lui.
« Bonne Saint-Valentin à toi aussi mon coeur. »
Quand il la prit par la taille, la jeune Winston ne put s'empêcher de sourire, elle regarda la table quelques instants et alla s'assoir ensuite, puis pris du café tout en souriant.
« Merci Fred, t'es adorable ! »
Lauren but une gorgée de café. Si déjà le petit-déjeuner était aussi agréable, elle n'osait même pas imaginer comment serait la suite de la journée, elle n'avait aucune idée de ce qui était prévu pour eux, elle posa son regard sur son mari et lui sourit tout en continuant de manger tranquillement. Elle s'imaginait ce qui avait bien pu être organisé par son mari, le connaissant, il n'avait certainement pas fait dans la demi-mesure et elle s'attendait à quelque chose de grandiose et d'éloigné de Magnolia. Oui, s'ils s'étaient levés à sept heures et demie, ce n'était pas pour rester dans le quartier, et ça, c'est ce qu'il y avait de mieux, ils allaient pouvoir passer du temps loin de tout le monde. Que tous les deux.
« Alors, quel est le programme ? »
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MessageSujet: Re: Comme un collégien en ce jours particulier (#5)  Comme un collégien en ce jours particulier (#5) Icon_minitimeVen 17 Fév - 13:54

Bon Saint Valentin mon ange !

Quand je vis le sourire rayonnant de Lauren, qui faisait irruption dans la cuisine dans une de mes chemises qui lui allait magnifiquement bien par ailleurs, mon sourire s’agrandit de plus belle. Elle était de bonne humeur c’était parfait. Bon elle avait encore le temps de changer d’humeur mais j’allais profiter au maximum du positif pour cette journée que je voulais particulière.

Bonne Saint-Valentin à toi aussi mon coeur.

En souriant je pris ma femme dans mes bras et lui embrassa le nez et le front pour lui dire bonjours correctement vu que maintenant elle était réveillée et en forme. J’avais hâte de mettre en action l’idée que j’avais eu mais on avait le temps on était largement dans les temps. J’étais un peu stressé quand même j’espérais que cela allait plaire à Lauren. J’avais essayé de faire quelque chose d’original et en même temps romantique. Mais pour le moment je voulais lui montrer ce que j’avais fais pour le petit déj.

Le petit déjeuner de Madame est servi.

Je jetais un petit coup d’œil pour vérifier encore une fois que tout était en place. C’était le cas je le savais mais plutôt prévenir que guérir. J’en faisais peu être un peu trop mais cela n’était que la deuxième Saint Valentin que l’on passait comme mari et femme même si on en avait passé plusieurs en temps que couple. Cela n’était pas la même chose pour moi. Pour la plupart des gens le mariage n’était d’une institution un simple bout de papier qui n’avait pas vraiment d’importance mais pour moi c’était l’inverse. Les vœux que j’avais fais à l’Eglise de chérir et de protéger pour tout le reste de ma vie ma femme avait un sens sacré pour moi.

Lauren avait fait une erreur on en avait tous les deux confiance. Mais j’avais décidé de lui pardonner après tout ce n’avait été qu’un baiser et je la croyais quand elle me disait qu’elle regrettait. Et depuis notre retour de notre petit voyage à Rio l’ambiance était au beau fixe. Ce dernier nous avait permis de prendre un nouveau souffle dans notre couple loin de Magnolia c’est pour cela aussi que j’avais décidé de quitter de nouveau le quartier pour fêter la Saint Valentin.

Merci Fred, t'es adorable !

Je la rejoint à la table et m’installa en face d ‘elle et nous servit un café bien rempli pour elle et à demie pour moi j’en avais déjà bu deux avant que Lauren se lève comme j’avais déjà déjeuner mais j’allais grignoter pour l’accompagner. Je fis plusieurs tartines pendant que Lauren buvait son café et les posa vers elle. J’en pris qu’une seule pour marquer le coup.

Alors, quel est le programme ?

Je pris le temps de finir ma bouchée et de boire une gorgée de café avant de lui répondre en souriant d’un air malicieux.

Non non c’est une surprise petite curieuse !

En rigolant je lui caressais la main. Je voulais tenir un maximum le suspens même si je savais que Lauren risquait de me harceler pour me faire dire ce que c’était. Cela ne me dérangeait pas du tout enfin cela dépendait de la méthode qu’elle utiliserait.

Tout ce que tu sauras c’est qu’il faut que tu t’habilles confortablement. Les talons et jupes ne sont pas conseillés à mon grand regret !
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MessageSujet: Re: Comme un collégien en ce jours particulier (#5)  Comme un collégien en ce jours particulier (#5) Icon_minitimeDim 19 Fév - 20:27

Tout était parfait pour le moment, Lauren pouvait être des plus heureuses, son mari était vraiment quelqu'un d'adorable avec elle. Elle venait de descendre dans la cuisine vêtue d'une de ses chemises et avait été touchée par toute l'attention mise en place par Fred pour le petit-déjeuner. La jeune femme était de bonne humeur pour le moment, elle s'était réellement dit qu'elle allait faire des gros efforts afin que la journée se déroule de la meilleure des façons. Elle n'avait jamais eu un caractère facile et c'était souvent le jeune juriste qui en payait les frais. Mais non, aujourd'hui ça n'allait pas se passer de la sorte, aujourd'hui allait être agréable.
Une fois assisse à table, la jeune Winston découvrit la rose à laquelle elle n'avait pas prêté attention avant car elle était émerveillée par la beauté de la table de petit-déjeuner. Elle tourna la tête vers Fred avec un grand sourire, il s'était vraiment surpassé pour que tout se passe bien et ça faisait plaisir à voir. Rien qu'à voir sa tête, le jeune homme était stressé ce qui amusa Lauren, il était tellement perfectionniste que s'en était parfois agaçant mais là, elle ne pouvait pas le lui reprocher.
« J'arrive pas à croire que tu ais fait tout ça pour moi. C'est juste parfait ! »
Et ça, elle le pensait vraiment. Dans un sens elle savait parfaitement qu'en laissant le choix de tout préparer à Fred il allait se surpasser mais à ce point, elle ne pensait pas. Ce n'était pas un reproche, loin de là mais c'était leur seconde Saint-Valentin en tant que couple marié et pour le moment, il était nettement mieux que l'année précédente. Leur mariage tenait le coup malgré tous les dires de leurs familles. Les parents de Lauren ne croyaient pas du tout à ce mariage et pourtant, il était toujours là, ils n'avaient pas divorcé même si dernièrement il y avait eu des engueulades assez importantes, ils s'étaient toujours pardonnés. Le voyage à Rio avait permis aux deux de se ressourcer un peu, de faire le point, de décompresser de toutes les angoisses qu'il y avait au sein du quartier -et il y en avait plus que vous ne pensez- et depuis leur retour, tout allait bien dans le meilleur des mondes.
Voyant l'heure qu'il était, Lauren savait que Frederik l'emmenait hors de Magnolia et qu'ils devaient avoir pas mal de route à faire. Tant mieux. Le jeune homme était tellement attentionné qu'il était même en train de préparer des tartines pour sa femme qui se contentait de les manger tout en buvant son café ramené de Rio. Quand elle lui demanda la destination de la journée, sans grande surprise Fred répondit que c'était une surprise, la jeune Winston fit la moue et sourit avant de prendre une gorgée de café.
« Pff... tu crois que je vais tenir longtemps sans savoir où on va ? »
La jeune femme ponctua sa phrase par un sourire, elle allait le harceler jusqu'à ce qu'il lui dise mais tout en sachant pertinemment qu'il n'allait pas céder, il était presque aussi têtu qu'elle. Quand il lui caressa la main, un grand sourire se dessina sur la visage de la jeune femme, ainsi il ne fallait pas qu'elle s'habille classe ? Dommage. Mais bon, dans un sens ça allait être très bien de ne pas avoir à s'habiller comme il faut, tirée à quatre épingles.
« Très bien monsieur ! Alors je vais me doucher tout de suite ! »
Lauren se leva donc, déposa un baiser sur les lèvres de Fred et monta les marches quatre à quatre pour prendre une douche rapide. Elle descendit quelques minutes plus tard vêtue d'un t-shirt, d'une veste de sport, d'un short de sport (même en février) et d'une paire de basket. Elle se posta devant son mari.
« Comme ça c'est bon ? Allez, c'est quand qu'on part ? J'en peux plus d'attendre ! »
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MessageSujet: Re: Comme un collégien en ce jours particulier (#5)  Comme un collégien en ce jours particulier (#5) Icon_minitimeMer 22 Fév - 10:00

Non non c’est une surprise petite curieuse !

En rigolant je lui caressais la main. Je voulais tenir un maximum le suspens même si je savais que Lauren risquait de me harceler pour me faire dire ce que c’était. Mais je tiendrais le maximum même si en voyant l’endroit elle comprendrait une partie de la surprise bien entendu mais j’avais toujours quelques cartes dans ma manche.

Pff... tu crois que je vais tenir longtemps sans savoir où on va ?

Je rigolais avec bonne humeur en secouant la tête pour lui dire que j’avais tenir bon. On était tous les deux têtus comme des mules ce qui était un avantage comme un inconvénient dans certaines circonstances. Mais j’allais quand même lui donner un indice primordial mais pas des moindre comment s’habiller. Bien que j’aurais préféré la voir en petite robe et talon haut qui la rendait totalement époustouflante et qui me rendait irrémédiablement à sa merci elle n’était pas adéquate à ce que j’avais en tête.

Tout ce que tu sauras c’est qu’il faut que tu t’habilles confortablement. Les talons et jupes ne sont pas conseillés à mon grand regret !

Je souris encore plus je la voyais presque trépigner d’impatience et sûrement un peu de frustration de ne pas savoir mais je tenais absolument à contrôler au maximum les aspects de la journée même si je me doutais que cela n’allait pas forcément se passer exactement comme je l’avais prévu vu la tendance de Lauren à l’initiative spontanée mais je voulais aussi qu’elle impose sa marque à cette journée.

Ma femme était tellement pressée qu’elle avait à peine finit son café et ses tartines qu’elle disait déjà qu’elle allait prendre sa douche. Elle m’embrassa sur les lèvres avant de partir je lui caressais le bras en passant et la laissa partir se préparer. Pendant ce temps la je débarrassais la table jetais à la poubelle les détritus rangea les aliments dans le frigo et fis la vaisselle hâtivement. Oui on était maniaque chez les Winston rien ne traînait et tous était fait tout de suite et non laissé pour le lendemain. Je m’essuyais les mains dans une serviette quand Lauren réapparu toute fière d’elle.

Comme ça c'est bon ? Allez, c'est quand qu'on part ? J'en peux plus d'attendre !

Je rigolais et souris d’un air indulgent. J’avais dépassé les limites d’attente de Lauren en matière de non contrôle de la situation. Je m’approchais d’elle et la pris par la taille déposa un baiser sur ses lèvres et la regarda de haut en bas appréciateur.

C’est parfait. De toute manière j’ai prévu les pulls au cas où on aurait froid. Je crois que c’est bon oui on peut y aller.

Je lui pris la main jeta un dernier regard à la cuisine pour voir si j’avais tout bien rangé c’était le cas. Je souris joyeusement à Lauren et l’entraîna vers la porte d’entrée. Une fois dehors nous allâmes dans la voiture. J’ouvris la porte pour Lauren et me mis au volant.

Prêtes à découvrir ta surprise ?

Lui demandais –je pour la taquiner. Je mis la voiture en route et m’engagea sur les routes qui étaient encore désertes vu l’heure à laquelle nous partions. Ce qui n’était pas plus mal comme cela je pouvais rouler un peu plus vite, sans dépasser les limites de vitesse. A chaque fois que j’étais dans la voiture j’avais toujours envie de fumer c’était un automatisme je me dis que j’allais en fumer une une fois qu’on serait totalement arrivé là où on s’installerait.

Nous sortîmes de Magnolia dans le silence moi je réfléchissais si je n’avais rien oublié et Lauren devait sûrement essayer de deviner ce que nous allions faire. Nous avions environ une heure et demie de trajet pour le moment nous étions dans les temps.

Où penses tu que je vais t’emmener ? Tenue sportive et bon petit déjeuner cela fait quoi comme équation. Tu en parlais il y a quelques jours en disant qu’on en avait pas ensemble depuis longtemps..

Oui je n’avais pas tenu longtemps sans lui donner des indices mais de toute façon elle m’aurait harcelé pour savoir alors autant lui donner quelque chose à se mettre sous la dent. Tout en jetant des coups d’œil sur la route je mis la radio en route où j’avais mis un CD d’un mixte des chansons auxquelles on avait des souvenirs. Je mis le son pas très fort pour pouvoir discuter tout en ayant une musique d’ambiance.
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MessageSujet: Re: Comme un collégien en ce jours particulier (#5)  Comme un collégien en ce jours particulier (#5) Icon_minitimeDim 23 Sep - 23:06

S'il y a bien une chose que Lauren n'arrivait pas à faire, c'était être patiente quand on lui faisait une surprise. Et surtout quand la surprise en question venait de son mari un certaine jour de Saint-Valentin, c'était mission impossible mais apparemment ça faisait bien rire Fred. À peine avait elle fini son petit déjeuner que la jeune femme était déjà en haut en train de mettre des habits confortables, suivant les conseils de son mari. Elle avait enfilé un short et une veste tout en se disant que même si elle avait froid ça valait le coup, mais elle ne savait toujours pas où elle allait atterrir. Une fois prête, Lauren descendit les escaliers limite en courant et rejoint son mari qui venait de finir de faire la vaisselle -la maniaque attitude des Winston ne cessait jamais- elle le regarda en souriant tout en lui demanda si ces habits allaient pour cette si mystérieuse activité. La jeune brune était pire qu'une gamine le jour de son anniversaire, elle trépignait d'impatience mais savait pertinemment que son mari ne lâcherait pas le morceau avant qu'ils arrivent à destination.
Une fois tout vérifié dans la cuisine, Lauren sentit la main de son mari dans la sienne, elle lui sourit à pleine dents, ils étaient fin prêts à partir, elle le suivit tout en étant autant impatiente. Il était préférable que ce soit Fred qui conduise car de toute façon, c'était lui qui savait où ils allaient et puis la jeune femme n'était pas en état de conduite, peut être un peu trop euphorique et puis même, apparemment il fallait qu'elle conserve son énergie. Pour essayer de se calmer, la jeune femme ouvrit la fenêtre et sortit une cigarette, elle était tellement habituée à fumer après son café matinal qu'elle avait oublié que son mari -contrairement à elle- essayait d'arrêter de fumer, elle le regarda en souriant d'un air désolée mais elle ne pouvait pas gâcher une cigarette qu'elle venait tout juste de commencer donc elle la finit quand même et puis tant pis pour Fred. Il était quand même assez tôt et Lauren essayait tant bien que mal de deviner où elle allait finir. Ils partaient tôt, en voiture, elle avait une tenue de sport et Fred aussi, il y avait un pique-nique, des pulls. Non, vraiment elle ne voyait toujours pas et pourtant elle se creusait la tête comme jamais. Elle sursauta quand Fred prit la parole, elle ne s'y attendait pas, elle continuait de réfléchir tranquillement tout en chantonnant par dessus la musique qui résonnait dans la voiture. Et là, grosse révélation, Lauren tourna la tête vers son mari, un grand sourire aux lèvres, les yeux brillants, elle avait deviné ou du moins elle l'espérait car si c'était vraiment ce à quoi elle pensait, son mari la connaissait vraiment bien.
« C'est pas possible ? T'as pas fait ça quand même ? Tu m'emmènes à l'escalade ? Dis moi oui s'il te plaît ! Et si c'est ça, t'es juste le meilleur ! »
La jeune brune finit sa phrase par un grand sourire avant d'embrasser son mari même s'il conduisait, il était habitué à ce genre de chose. Elle le regarda tout en souriant alors que les musiques continuaient de défiler dans la voiture. Est ce que c'était ça ? Elle mourrait d'envie de savoir mais Fred avait l'air d'avoir envie de la faire patienter encore un peu. Lauren s'imaginait déjà en train de monter une falaise, ça faisait tellement longtemps que ça ne lui était pas arrivé et ça lui manquait beaucoup. La jeune Winston était une personne très sportive alors le fait de devoir rester assisse sans bouger, notamment la semaine au travail, c'était assez dur pour elle, c'est pour ça que le week-end, dans la mesure du possible elle essayait de faire le plus de sport possible. Parmi tous les sports qu'elle avait fait, et il y en avait un paquet, l'escalade restait le préféré de la jeune femme. Elle posa à nouveau son regard sur son mari qui continuait de conduire, un sourire au coin des lèvres, il n'avait pas envie de lui dire si elle avait raison ou non.
« Sérieux Fred, tu vas me faire attendre combien de temps comme ça ? C'est l'escalade ou pas ? S'il te plaît dis moi ce que c'est, j'en peux plus d'attendre. Une vrai gamine comme tu peux le voir ! »
Sa phrase fut cette fois ci ponctuée par un petit rire, à la fois nerveux et joyeux, elle ne voulait qu'une chose, savoir où ils allaient passer la journée.

HJ - Oui oui, j'ai genre 7 mois de retard, c'est plus du tout la Saint-Valentin mais tant pis (a)
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MessageSujet: Re: Comme un collégien en ce jours particulier (#5)  Comme un collégien en ce jours particulier (#5) Icon_minitimeDim 30 Sep - 23:26

J’étais donc au volant de la voiture et je conduisais Lauren vers la destination que j’avais prévu. La musique que j’avais prévu était lancé et nous étions dans les temps. Tout se déroulait comme je l’avais espéré pour le moment. Je gardais le silence quand j’entendis le bruit du briquet. On était réglé sur la même longueur d’onde au même moment où je pensais que je fumerais bien une cigarette Lauren en allumait une. J’appuyais sur le bouton de la vitre électrifiée pour laisser l’air passer et ne pas trop sentir l’odeur de tabac. Je rendis son sourire à ma femme je savais qu’elle avait besoin de sa nicotine d’après le petit déjeuner et cela ne servait à rien d’en discuter vu que je me doutais que cela serait dur d’arrêter avec une fumeuse pour femme.

Je ne pu m’empêcher de donner rapidement un indice à Lauren rien que pour voir son visage s’éclairer quand elle devinerait. Cela ne manqua pas elle compris tout de suite que je l’emmenais faire de l’escalade. Cela pouvait paraître pas très romantique mais nous étions tous les deux des fans de ce sport et je n’avais pas envie d’entrer dans la routine d’aller au restaurant ou au cinéma. Je n’eus même pas le temps de sourire que Lauren m’embrassait tendrement. Je répondis à son court baiser il fallait que je reste concentré sur la route et ce genre de démonstration avait tendance à me déconcentrer malgré qu’elle avait pris l’habitude de le faire régulièrement pendant que j’étais occupé à faire autre chose.

Après qu’elle est reprit sa place dans son siège je haussais les épaules sans rien dire tout en souriant de toute mes dents. J’étais vraiment content qu’elle soit enthousiasmée par mon idée même si elle ne savait pas encore que c’était cela que j’avais prévu. Je gardais un sourire en coin et continua à conduire en restant muet. Cela me manqua pas elle n’attendit même pas 5 minutes avant de commencer à me poser des questions pour savoir si elle avait raison ou non. Je réfléchis pendant quelques secondes pour poser le pour et le contre de répondre. Si je ne disais rien elle allait continuer à me harceler et s’enflammer avec le risque qu’elle s’agace et donc de se mettre de mauvaise humeur. Je posais ma main qui était sur le levier de vitesse sur ma cuisse pour l’apaiser.

Oui tu as raison on va faire de l’escalade et pic niquer en haut de la falaise. J’arrive jamais à garder une surprise sans parler avec toi. Vu ta réaction je pense que l’idée te plais. C’est mieux que d’aller s’enfermer dans un endroit rempli de couple non ?!

Je gardais ma main sur sa cuisse faisant des allés retour entre le levier et sa jambe. Je jetais un coup d’œil au réveil digitalisé de la voiture. Je n’avais pas tenu plus d’une heure avant de vendre la mèche. Cependant je gardais encore quelques petites choses en tête que je ferais en temps voulu. Je me mis à chantonner quand le CD passa une chanson que l’on aimait tous les deux.

Tu as la forme j’espère ?! Parce que j’ai choisi une falaise assez difficile pour mettre un peu de chalenge mais ne t’inquiètes pas je t’aiderais si tu as du mal…

Je fis un petit rire et lui donna un sourire candide. Je la taquina elle était aussi sportive que moi c’étais une chose que j’aimais chez elle pas que j’ai quelque chose contre les oisives mais j’appréciais pouvoir partager ces moments avec ma femme plutôt qu’avec un ami.

Une vingtaine de minutes plus tard nous arrivâmes en haut de la falaise que nous devions descendre. Je me garais et me tourna vers Lauren et l’embrassa tendrement passant ma main dans ses cheveux lâchés qui bouclaient adorablement.

Je t’aime ma chérie. Aller on y va avant que je change d’avis. D’ailleurs tu devrais pas attacher tes cheveux ?

Je sortis de ma poche un élastique, j‘avais prévu le coup, et sorti de la voiture et me dirigea vers le coffre pour lui laisser le temps de finir de se préparer. Je sortis les cordes les baudrier et les deux pulls que j’avais rangé. Je me tournais vers Lauren en l’entendant arriver. Je laissais la glacière dans la voiture et ferma le coffre avant de sourire à ma femme en lui tendant son matériel.

On va descendre par un chemin pour pouvoir avoir accès à la falaise. Tu préfère qu’on s'assure nous même ou on mets une sécurité avant de partir ?

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