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There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn

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MessageSujet: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeLun 9 Mai - 23:12

There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Images10There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Images?q=tbn:ANd9GcRHSZ32lWIulO9VhsG0g6tKMLCckWIau141u_Wb_0941qviF0mUUgThere is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Images?q=tbn:ANd9GcSAb8_zSkVjgPadS4-h0txdB1aCOfupmgS2MewHZNCIuDyx9f650Q

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There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Lauridsen017There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Iconbbarnesas4There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Ashley-ashley-greene-21179595-100-100There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Iconrobertpattinson8There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Fa4ww4There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Jay17There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Annie1There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn 232sliThere is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn 043There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Naya-naya-rivera-15535372-100-100There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn ThpotraitThere is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn 107ly1iThere is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Sanstitre17copieThere is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Andrew007There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn 000913There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn -Willa-Holland-willa-holland-347516_100_100There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Blake-L-3-blake-lively-7909246-100-100There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Sophia-33-sophia-bush-1461283-100-100There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn 31There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn 2944987575_0_5There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Ed2iThere is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn 5ry-1There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Th_james_franco_028

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Magnolia Cresent, la rue calme bordée de grande maison. Parmi elles, la demeure des Turner, une des plus riches famille du quartier. La maison se dresse fièrement avec ses trois étages et son petit portail. Derrière ces murs, le calme résonne. Pourtant, en sortant de l'autre coté, on peut entendre résonner les basses de la soirée qui vient. Dans le jardin, Plusieurs tables aménagées au centre avec toutes sortes de bouteilles et de cochonneries à grignoter entourées chaises de jardin. A coté, une estrade avec des emplis, diverses instrument et matérielles de karaoke. Plus au fond, à coté de la piscine, la petite maison de jardin avec sur sa terrasse, des tables basses et des coussins avec dessus des chichas et autre cochonneries.

J'avais passé la journée avec ma mère qui avait absolument tenue à ce qu'on la passe en famille. Mon frère lui aussi, légèrement irrité de devoir être à mes petits soins avait néanmoins accepté de se joindre à nous avec Kennedy. C'est donc dans une joie suprême est dévastatrice que je passais cette journée. C'est en fin d'après-midi que nous rentrions au 23 de mC pour préparer activement la soirée. Sortant jeux diverses, nourritures, boissons et tout ce dont nous avions besoins pour une fête réussie. Ce n'est qu'en début de soirée que tout fut achever.
Ma mère m'embrassa trois fois avant de s'en aller avec Mark et Kennedy. La maison était à moi. J'avais aussitôt filé à la douche. Une fois lavé à fond, je m'habillais d'un beau jeans et d'un marcel pour changer. Puis avisant des derniers détails j'ajoutais ma note personnelle avant de me poser et de boire un verre. A peine celui-ci posé, un bruit se fit entendre. La sonnette venait de retentir, signe que les premiers invités étaient arrivés. Je me dirigeais vers la porte d'entrée que j'ouvris rapidement me demandant qui serait là en premier...


Dernière édition par Holden Turner le Mer 25 Mai - 13:50, édité 29 fois
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeLun 9 Mai - 23:40

Je me réveillais tranquillement ce matin là, seul dans mon lit, prenant toute la place dont j'avais besoin. Que c'était bon d'être un peu au calme un matin, sans personne pour vous étouffer. Je pris d'ailleurs tout mon temps pour sortir de mes draps frais. Il était pourtant bientôt dix heures et je ne me sentais pas de me lever. L'excitation qui régnait depuis quelques semaines avait finie par me contaminer.
Et oui ! Aujourd'hui, c'était un bien grand jour ! Du moins, pour moi il était important, car c'était l'anniversaire de mon meilleur pote. D'ailleurs, je pris bien soin de ne pas lui envoyer de texto pour le lui souhaiter. Des fois que monsieur s'inquiète un peu de savoir si je pensais à son royal postérieur.

Ce n'est que beaucoup plus tard que je sortis de la douche, prêt à m'habiller en conséquence. Bon, pas la peine de se mettre en costume, mais un jean foncé et ma chemise blanche faisait à la fois classe et décontracté ! Au poil pour cette petite sauterie à laquelle j'étais convié.
Il me restait encore à passer prendre le cadeau de Holden. Enfin, les cadeaux, puisque je le connaissais, j'étais à même de le combler comme il se devait et ne pas voir son air boudeur de "mais que ça ?" Cela me faisait toujours sourire de voir ce Peter Pan en action. Là était toute notre différence. Lui était ma partie frivole, me détendant et me faisant passer de bons moments. Moi, j'étais plus le côté strict, le faisant souvent bosser - bien trop à son goût.

Après une petite virée en ville, je pouvais aisément occupé mon après-midi. J'avais décidé de me rendre chez mon ami en toute fin d'après-midi, afin de voir son expression. On aurait dit un gosse émerveillé d'avoir des copains pour con goûter, alors que nous étions bien loin de nos huit ans ! Ce soir, c'était soirée détente.
J'arrivais alors chez lui, le paquet de sucettes entouré de papier cadeau pour le fun, ainsi qu'un autre petit truc qui avait étrangement la forme d'une bouteille... Je sonnais à la porte et attendis que l'on vienne m'ouvrir.

Surprise ! Ce fut mon ami qui se tenait dans l'encadrement de la porte. Je lui offrit mon plus beau sourire pour commencer, suivit d'une accolade amicale.

- Salut mon frère! Bon anniversaire ! lâchais-je joyeusement en le relâchant. Tu es tout seul ?

Il ne semblait pas y avoir de bruit encore. J'étais le premier ? Ça c'était ce qui s'appelait avoir un bon timing ! Je ne me fis pas prier pour entrer, je connaissais cette grande battisse après tout. Tout était toujours beau ici, comme chez nous. J'avais la chance d'être seul ce soir, Juliet étant retenu ailleurs. Ce qui n'était pas bien grave en soit.
On entendit, à la suite de ma question, la sonnette retentir de nouveau. Les gens arrivaient, super !


Dernière édition par Adrian O'Conell le Mar 10 Mai - 17:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeMar 10 Mai - 16:41

    La nuit commençait à tomber sur Magnolia Cresent et la lune n'allait pas tarder à prendre sa place dans le ciel.Pendant que la plupart des gens du quartier s'apprêtaient à passer une petite soirée tranquille en famille autour d'un feu en train de se raconter leurs journées mutuels,moi j'étais en train de me battre avec mon dressing pour retrouver une tenue que je voulais porter. En général je n'étais pas le genre de personne à m'attarder sur mon physique mais aujourd'hui était un jour spécial,pas pour moi,mais spécial quand même. Mon ami Holden vieillissait d'un an et il se devait de fêter ça comme il se doit !

    Après une dur bataille mené contre mon dressing je me décidai de porter un simple jean slim noir avec une chemise blanche et une grosse ceinture noire ainsi que d'autres accessoires pour finaliser le tout. Je n'avais pas trouvé de cadeau approprié pour l'occasion vu que monsieur ne désirait que des sucreries cette année. Sachant que les autres lui en emmèneraient surement,je décidai de lui offrir un cadeau un peu spécial. J'avais décidé de lui offrir un ours en peluche qui porte des lunettes et pour faire passer ça pour un vrai cadeau,j'avais pris soin de mettre un beau ruban rouge autour du cou de la peluche avec un mot accroché sur la peluche disant " Joyeux anniversaire. Je t'adore,Lizzie."

    Le trajet en sortant de chez moi ne fut pas très long. Le temps était de mon coté pour que nous puissions passer une bonne soirée sans craindre une averse,en espérant qu'il en soit ainsi tout le long.

    Une fois devant sa porte,je sonnai et une fois suffit pour qu'il vienne m'ouvrir. Avant même qu'il ne puisse dire un mot,je le pris dans mes bras et lui faisant un bisous sur la joue avant de lui souhaiter un joyeux anniversaire.


    - Tient,lui dis-je en tendant mon cadeau. Je sais que tu aurais préféré des sucreries à la place,mais bon,quand j'ai vu ça j'ai tout de suite pensé à toi.


    Entrant dans la maison avec Holden sur les talons,je regardai un peu autour de moi avant de m'apercevoir qu'il n'y avait pas encore grand monde,ils allaient surement arriver plus tard. La seule personne dans les parages,était Adrian O'Coneil,un habitant du quartier que je ne connaissais que de vue malgré le fait que nous faisions surement parti des plus anciens de la ville avec nos familles respective.

    - Salut Adrian,dis-je à son attention.

    Je restai à l'écart et le saluai de loin,pas que j'ai peur ou quoi que ce soit,mais je n'étais pas très familière avec les démonstration d'affection publics et ça,tout le monde le savait.
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeMar 10 Mai - 18:07

    Bientôt. Bientôt il faudrait que je bouge mes fesses de mon canapé pour aller chez Holden. Pas que ce soit une punition, loin de là, mais il fallait quand même que je remonte dans ma chambre pour aller chercher un petit paquet, bien emballé. Enfin petit. Pas grand quoi.

    J’avais passé la journée à le chercher ce cadeau. Je savais pertinemment qu’un paquet de sucettes feraient l’affaire, mais j’avais envie de trouver quelque chose de spécial. Après tout, Holden était quelqu’un de spécial à mes yeux. Un étrange jeu de séduction s’était créé entre nous, au point que beaucoup de personne s’étaient posés des questions sur nous. Mais non. Il n’y avait qu’une profonde amitié entre nous. Juste une belle amitié. Pas d’amour. Je disais donc que j’avais passé la journée à chercher son cadeau. Car le matin, après m’être levé, habillé et douché, j’avais décidé de partir à la recherche du fameux cadeau, sans penser que ce serait une véritable expédition. Finalement, au lieu de quelques heures prévues, j’avais passé la matinée, et l’après-midi jusqu’au environ de 16 heure à la recherche de son cadeau. Pas dans notre quartier bien sûr. Non. Si je voulais un cadeau, j’allais toujours ailleurs. Ici, on connaissait tous ce qu’il y avait. On savait tous où chercher et où trouver. Il avait donc fallu que je sorte de notre joli petit quartier pour aller le trouver.

    Et puis finalement, j’avais trouvé ce qui me plaisait et ce qui pouvait lui faire plaisir. Un marcel de couleur bleu nuit, fin et délicat. Parfait. Lui qui était un petit fils à maman comme j’aimais l’appeler, avait toujours de beaux vêtements. Si je voulais faire concurrence, il fallait que je trouve la perle rare. Et à priori, je devais en avoir trouvé une parce que je ne me souvenais pas de l’avoir jamais vu en marcel bleu nuit. Bleu foncé oui, mais bleu nuit, c’était si … particulier. Un mélange de bleu foncé, de clarté et d’ombre. Bref, moi j’adorais. Et sur lui, cela devait être divin à regarder. Enfin… je l’espérais ! Retournant chez moi après cette recherche acharnée, j’étais allé faire ma douche et au moment où j’arrivais devant ma penderie, j’entendis mon portable sonner.

    Citation :
    « Coucou frérot, je ne suis pas à MC et je ne compte pas rentrer pour le moment... Je m’excuse, je ne pourrais pas venir ce soir… souhaite un bon anniversaire à Holden s’il te plait. Bisous. »

    Je ne pus réprimer un soupir. Lukas. Mon frère. Mon jumeau. Ma moitié. Mon ombre. Mon complice. Je l’aimais tellement ce frangin… Mais tellement … Mais alors son côté pessimiste et désespéré avait le don de m’agacer parfois. Et là en l’occurrence c’était le cas. Holden était un de ses amis les plus proches, un petit effort aurait pu être fait non ? Optant pour un jean bleu foncé et une chemise blanche, dont le laissait le col ouvert, je descendis alors me caler devant la télé, puisqu’il me restait encore un peu de temps avant d’y aller. Sauf que j’avais oublié que j’avais toujours eu du mal à soulever mon arrière train de ce canapé. Si douillet, si moelleux, si confortable. Pas cool quand on a des obligations. M’arrachant par un effort surhumain de cet adorable canapé, je filais alors dans ma chambre, récupérais le cadeau, puis redescendis en vitesse. Attrapant ma veste que j’enfilais rapidement, je glissais mes clés dans ma poche, et attrapait un petit sac de courses, que j’avais déposé près de l’entrée.

    « J’y vais papa ! A demain ! Bisous !! »

    Sortant, je n’eus pas beaucoup à marcher avant de me retrouver devant la porte désirée. Sonnant, j’attendis patiemment qu’on m’ouvre avant de sourire à Holden.

    « Salut mon Holdichou♥ Comment vas le roi de la journée en cette magnifique soirée ? »

    L’embrassant sur la joue comme à notre habitude, je lui glissais mon cadeau dans la main.

    « En espérant que ça te plaise ♥ ! »

    Je posais alors le sac de courses sur une table, dévoilant son contenu : des bonbons. Holden et le sucre. Une histoire d’amour passionnée et torride. Souriant à Adrian et à Elisabeth je m’avançais vers eux.

    « Salut mes cocos ! Ça va ? »

    En fait, je ne connaissais pas spécialement Elisabeth, mais comme les autres la trouvais très agréable, et que je me connaissais, je ne tarderais pas à la connaitre et à l’apprécier. En fait je commençais déjà : son petit sourire et sa gêne due sans aucun doute à la timidité étaient adorables.

    « Ah!! Lukas s'excuse et te souhaite un bon anniversaire Holden! »
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeMar 10 Mai - 18:44

    On ne pouvait pas dire que l’armoire de la dernière des Fitzgerald soit bien remplit. Pourtant, depuis ses quatorze ans, l’adolescente n’avait pas vraiment changé de taille, ni de poids. Mais, elle avait abandonné la plupart de ses vêtements dans son ancienne « maison », et depuis un an n’en avait acheté que très peu. Manque d’argent, sûrement.
    Elle opta tout de même pour une petite robe noire, avec des manches longues et un col v dévoilant un joli décolleté. Après s’être fait sa fidèle petite natte sur le côté, Katya enfila une paire de chaussures à talons de même couleur sa robe.
    Elle était enfin prête. Elle caressa la tête de Ringo Starr, son chat, un véritable sphinx trouvé abandonné dans une ruelle insalubre près de son ancienne habitation, puis la jeune Fitzgerald quitta la demeure familiale en direction pour la résidence Turner.
    Ce soir, le plus jeune fils de cette riche famille, Holden, y tenait une fête en l’occasion de son anniversaire. Ami proche de Katya, elle avait accepté d’y aller sans hésitation. Puis, cette soirée était une bonne occasion pour s’amuser, non ?

    La cheerleader se trouva bientôt devant la maison où se tenait la fête. Peu d’invités semblaient être arrivés pour l’instant… - Non, sérieusement, elle délirait ou elle était réellement arrivée en temps et en heure, pour une fois ? - Un large sourire vint fendre le doux visage de Kat, fière d’elle. Pourtant, les retards ça la connaissaient bien. Elle s’élança vers la porte d’entrée, et sonna.
    On lui ouvrit bientôt, c’était Holden. Alors qu’il venait à peine de la saluer, elle s’élança vers lui pour lui faire un câlin.

      « Joyeux anniversaire ! »


    Elle n’avait pas de cadeau malheureusement, mais Holden était déjà assez gâté comme ça, non ? Elle se décolla de son hôte avant d’entrer. Il y avait déjà trois invités présents, qu’elle salua, parmi eux Kat ne connaissais seulement qu’Elisabeth, à qui elle adressa un léger signe de la main en lui souriant. Elle se sentait un peu de trop, vu qu’aucun de ses amis proches n’étaient encore arrivés. Mais elle s’approcha tout de même de la belle Spencer, qui semblait elle aussi se mettre à l’écart. Elle ne lui adressa pas la parole, pour le moment, elle préférait attendre silencieusement que ses amis les plus proches se ramènent.
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Jay Black
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeMar 10 Mai - 21:05

    Aujourd'hui était un jour spécial. Pas pour Jay ni pour sa famille mais pour Holden. ce n'était autre que son anniversaire et ce dernier avait eu la gentillesse de l'inviter pour sa fête. Oh il n'y avait pas que lui mais aussi Shawn et Adam. Noah ayant prévu de passer la soirée avec Cinzia depuis longtemps il ne pouvait pas venir avec eux. Pour le reste des invités ça allait être une surprise, en espérant qu'elle ne soit pas trop mauvaise.
    Il était près de vingt heure et le chanteur venait juste de sortir de la douche, qui était réparé enfin, une serviette autour de la taille mais lui ne risquait pas d'avoir de mauvaise rencontre à moins que ses colocataires ne viennent dans sa chambre. Et oui, c'était lui qui avait eu le droit à la chambre avec mini salle de bain, tout simplement parce que il y passait plus de temps que nécessaire. Au moins les autres avait celle d'en bas librement. Jay se dirigea vers son armoire avant d'en extirper un caleçon, un pantalon noire et une chemise blanche qu'il mit rapidement après avoir enlevé sa serviette. Le jeune homme enfila des chaussettes et attrapa son cadeau pour Holden avant de sortir de la chambre.

    - J'y vais les gars, on se rejoint là bas !

    Lança t-il à l'intention des deux autres hommes avant de descendre les escaliers, mettre mes chaussure, enfiler une veste noire et sortir de la maison en direction de la numéro 27.
    Une fois arrivé à destination Jay sonna et lorsque la porte s'ouvrit il fit un sourire avant de poser ses lèvres sur la joue de son hôte :

    - Bonsoir Holden, Bon anniversaire ! J'espère que ça te plaira !

    Dit-il en lui tendant son cadeau. C'était une peinture qu'il avait faites, la version de Peter pan en Holden soigneusement enveloppé dans un papier cadeau Walt Disney. le chanteur pénétra dans la maison où il y avait déjà des gens. Oh joie un Adrian...Heureusement il y avait Greg, Elisabeth et Katya. Le brun s'avança vers les demoiselles :

    - Hé salut les filles !

    Il fit la bise à sa mascotte du groupe et un geste de la main à Elisabeth connaissant son côté réservé avant 'aller voir Gregory pour le saluer.


Dernière édition par Jay Black le Mar 10 Mai - 21:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeMar 10 Mai - 21:23

    Annie était levée depuis maintenant quelques heures, elle chantait et dansait dans sa chambre tout en choisissant ce qu'elle allait mettre pour ce soir. Bah oui, ce soir c'était l'anniversaire à son frère, Holden ! La jeune McCormick avait la musique à fond en envoyant valser les vêtements de son armoire qu'elle ne choisirait pas d'un côté et d'un autre, sur son lit, était empilé plusieurs vêtements. Après plusieurs minutes à envoyer d'un côté ou d'un autre ses vêtements, l'adolescente ferma son armoire et laissa ses affaires par terre pour les ranger une autre fois puis regarda les vêtements sur son lit. Annie décida de prendre une robe. Elle choisit celle la plus simple, une robe de couleur ocre bustier et légère qui lui arrivait au cuisse. Annie partit dans la salle de bain et alla prendre une douche. Bah oui ça faisait bien deux heures qu'elle était dans son armoire pour trouver quoi mettre. Elle y passa une bonne heure, elle se faisait belle oui, pour l'anniversaire d'Holden mais surtout parce qu'elle avait eu des échos comme quoi Andrew y serait... Et Naya aussi d'ailleurs...
    Annie sortit de la douche et se sécha puis s'habilla avant de retourner dans la salle de bain puis boucla ses cheveux, qu'elle venait de sécher. Après ça, elle se mit du far à paupière bleu foncé puis du crayon bleu aussi, elle rajouta un peu de gloss transparent. Une fois tout ça fait, la jeune Annie se mit du parfum "Nina Ricci" puis se regarda une nouvelle fois devant le miroir, c'était bon elle était prête.

    Annie sortit de chez elle en prévenant ses parents qu'elle allait chez Holden pour fêter son anniversaire. Elle marchait puis se souvint qu'elle devait lui prendre un cadeau. Annie s'arrêta dans la première boutique pour lui acheter un paquet de sucette à tous les goûts et une chemise blanche. Quand même !
    La jeune femme arriva puis atteignit le perron et frappa. Holden lui ouvrit et lui sauta dans les bras et l'embrassa sur la joue.

    - Joyeux Anniversaire mon frère chéri !

    Annie finit de lui faire son calin puis lui donna les cadeaux et l'embrassa une nouvelle fois sur la joue puis s'en alla voir les autres. Il y avait Adrian, Elisabeth, Katya, Gregory et Jay. La jeune McCormick se dirigea vers eux et lança d'un air enjoué :

    - Hey, salut tous le monde !

    Elle fit un coucou général, et les regardait avec un grand sourire. Elle connaissait Jay et Katya, elle avait juste aperçut de loin Adrian et Elisabeth mais ne leur avait jamais parlé. Annie était surtout pressée de voir Andrew arriver. Même si elle savait qu'il aurait surement autre chose à faire que de venir lui parler.
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeMer 11 Mai - 0:49

Crevé, j'ai passé ma journée à pioncer dans mon lit alors que dehors, le soleil était à son zénith. Je ne suis pas dans une grande forme, autant physiquement que moralement. J'imagine que c'est la fatigue et ma mauvaise humeur qui va avec. Entre le bar et les répétitions, je me sens exténué. L'après-midi entamé, je me réveille enfin. Debout. Je me traîne dans la cuisine pour me remplir l'estomac et m'hydrater par la même occasion, je croise même Adam qui se fout de ma tête dépitée mais je suis tellement crevée et je m'en fiche. Un bol de café, un jus d'orange et deux tartines de skippy - nutella. Ouais gastronomique et bon pour la santé, super. J'engloutis le tout et va me poser devant la télé comme une larve. Comme un vieux. Et comble de l'ironie, je me rendors aussitôt. Les effets des feux de l'amour j'imagine. « J'y vais les gars, on se rejoint là bas ! » Je me réveille en sursaut un grognement s'échappe de ma bouche, j'ouvre les yeux. Je me sens lourd. Ah oui, ce soir c'est l'anniversaire d'Holden. Mon ex mari. Ahahaha. Bon, je me lève enfin et traîne ma carcasse dans la salle de bain, douche froide pour bien me réveiller. Franchement, je préférerais rester ici, dans mon coin plutôt d'aller à sa soirée et voir des gens, ouais, j'ai envie d'être tranquille en ce moment, déjà que je vois du monde au bar, juste de la tranquillité. Mais je sais bien qu'Holden m'en voudra de lui fausser compagnie et je sais qu'il me cassera les pieds. Il sait si bien le faire alors j'enfile un jean sombre et une chemise de la même couleur. Je fourre deux sucettes dans la poche de celle-ci, prend le cadeau d'Holden, une bouteille de rhum et m'extirpe de la maison. Adam doit être déjà parti ou est occupé avec sa petite amie. Je marche dans la rue éclairée par les lampadaires. Mon pas est nonchalant et long. Mon cadeau rapidement enveloppé dans du papier craft par mes soins est simple. Un mediator fait à base d'os et de pierre dédicacé par Marc King un bassiste célébre des années 80 que j'affectionne et Holden aussi il me semble. Je toc à la porte et au bout de quelques instant, Holden m'ouvre armé de son sourire. Je lui tend le minuscule paquet en souriant à mon tour

« Salut chéri ! Joyeux anniversaire le vieux ! » je dis en me marrant. Je pénètre la demeure après lui avoir coller deux grosses bises bruyantes sur les joues. Y'a quelque têtes que je ne connaissais que de vue et d'autres bien connues. Je salue tous le monde d'un sourire, lance un clin d'oeil à Elisabeth, rien que pour la titiller et rejoint Adrian

« Salut pirate ! Regarde la belle brune que j'ai ramené !» Je balance en lui désignant la bouteille de rhum entamée. Reste de notre soirée de pirate. Ce soir, ça va sûrement se finir comme la dernière fois, black out et gueule de bois. Orf! Après tout, c'est l'anniversaire d'Holden, ça se fête copieusement ! C'est pas tous les jours qu'on est vieux.


Dernière édition par Shawn Crawford le Ven 13 Mai - 2:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeMer 11 Mai - 22:27

    Un désastre. Sa chambre était un désastre. Plus de 3 jours à rester au lit, voilà ce que cela donnait. Mya détestait être malade, telle une larve chaque effort poussé la rendait pathétique. Heureusement, les médicament commençaient à faire effet. Et depuis hier elle se sentait beaucoup mieux. Sa mère avait pourtant tenté de nettoyer sa chambre, mais si c'était pour la faire encore plus chier avec les bruits d'aspirateurs et tout le tralala, autant se tirer une balle dans la tête, ça ira plus vite. La jeune Cleavers préférait de loin crever seule dans une chambre moisie, que de de devoir moover dans celle de Kiera, comme sa mère lui avait proposé. Enfin bon, reprenant du poil de la bête, un élan de motivation la poussa à faire du rangement. Sa chambre fut clean en à peine trente minutes, elle n'aimait pas s'éterniser dans ce genre de tâche. Pourtant quand elle s'y mettait, rien ne pouvais l'arrêter, une vrai machine. Soufflant un bon coup, elle partit déjeuner avec ses parents dans la cuisine. D'humeur boudante, elle adressa un vague et presque inaudible bonjour à ses parents. Elle s'installa tranquillement à table alors que sa mère finissait de tout installer. Sa sœur Kiera arriva toute fraiche, lançant un énorme bonjour contrastant vraiment avec la scène précédente, et tapa la bise à leur parent. Elle s'apprêta -hésitante- à la faire à l'ainée. Comme elle était mignonne, un véritable petit ange devant les parents ! La stoppant net d'une main, Mya rétorqua simplement :

      « Je suis malade... »

    C'était une excuse comme une autre, et elle était presque véridique... à quelques jours près. Faisant sa victime encore une fois, Kiera lui fit remarquer que pour une malade elle avait eu le courage de faire le ménage tantôt. Sur ces quelques mots, Mya lui demanda gentillement de se la fermer. Déjà de pas très bonne humeur, Kiera allait la rendre désagréable en continuant ainsi, était-ce vraiment ce qu'elle voulait ? Dans tous les cas la belle Cleavers n'avait pas envie d'attraper une migraine, à peine guérie. Prenant ses cachets, ils débutèrent enfin le repas.
    L'après midi s'enchaina très vite, la belle eu le temps de passer chez l'esthéticienne, et d'aller chercher le cadeau surprise de Holden. Car oui, ce soir c'était son anniversaire. En rentrant, elle s'installa sur le canapé et eu tout à coup... la flemme. Elle avait déjà une idée de la tenue qu'elle allait porter, mais elle se demanda soudainement qui serait à la fête. Si c'était pour voir des gens qu'elle détestait du plus profond de son être c'était pas la peine... Mais en y pensant, London, Naya & Charly y seraient surement alors... Et puis il y aura peut être de l'animation, et s'amuser lui ferait certainement le plus grand bien. Motivée, elle se prépara longuement, il n'avait pas donner d'heure donc elle pouvait débarquer quand ça lui plairait. Enfilant une robe bustier blanche lui arrivant aux genoux, elle sortit une veste au cas où. A priori, ils annonçaient du bon temps ce soir là. Elle se lissa un peu les cheveux, se les coiffa, se maquilla et était fin prête à y aller. A peine sortit de chez elle, elle se rendit compte qu'elle avait oublié le cadeau. Elle alla le chercher, et cette fois ci c'était la bonne. Du haut de ses talons dorés, elle marcha jusqu'au numéro 23. Sonnant à la porte, son cher Holden lui ouvrit.

      « Hey ! Joyeux anniversaire ! »

    Tout en souriant elle lui fit la bise, avant d'abondonner son cadeau dans les mains du jeune Turner. Admirant la maison, elle entra sans se faire prier et posa ses quelques affaires à l'endroit attribué. Elle remarqua quelques personnes, à qui elle sourit hypocritement. Comme si que leur présence lui importait... Il y avait Annie, à qui elle fit un petit signe de la main. On pourrait presque y croire... Lâchant un "Salut" à l'assemblée, elle aperçut tout à coup la jeune Katya. Retenant un rire, elle alla à sa rencontre et lui souffla à l'oreille.

      « Oh mon dieu, t'aurai pas pu trouver plus gai ? Ça fait légèrement enterrement ta tenue... A moins que tu ne veuilles encore une fois passer inaperçue... ? »

    Voyant sa mine se décomposée, Mya su qu'elle venait de faire une gaffe. Oups, elle ne voulait pas lui donner plus de complexe qu'elle en avait déjà.

      « Je plaisante ! Fais pas cette tête là ! »

    Mentit-elle à moitié, pour ne pas la blesser. Non vraiment, cette petite blonde lui faisait parfois de la peine. Elle avait l'air déjà assez torturée pour en rajouter. Quoi que, souvent... la tentation était vraiment trop grande. Et Mya avait un problème de ce côté là, elle ne savait absolument pas se retenir.
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeJeu 12 Mai - 23:52

    Naya était dans sa chambre, finissant son brushing. Elle était presque prête, sa robe bustier noire et ses talons aux pieds, paré pour la fête du quartier. Un anniversaire à ce qu’elle avait entendu. Jesse et elle avaient décidé d’y aller. D’ailleurs, il l’attendait en bas de chez elle et Naya se retourna pour regarder l’horloge digitale posée sur son chevet. Elle grimaça légèrement en regardant l’heure, ça faisait bien 20 mn qu’elle le faisait poirauter. Son portable vibra alors, c’était Jesse et apparemment il était au bout de sa patience. Naya tapota rapidement son portable, l’invitant à monter et disait qu’elle terminerait vite mais il déclina l’invitation, préférant avoir la surprise du résultat. Ah quel charmeur ! Naya sourit et termina son brushing, elle l’avait fait longuement attendre, il fallait alors que l’attente en vaut le coup et qu’elle soit resplendissante. Elle attacha ses cheveux, accrocha des boucles en or à ses oreilles et quelques coups de pinceaux par ci par là, la voilà prête et en beauté pour l’anniversaire de son voisin. Elle sortit de chez elle, tournoyant sur elle-même pour faire admirer le résultat à son meilleur ami. « Alors ? ». Elle rigola et ils allèrent bras dessus bras dessous, à la fête. Les mains vides, car sa présence était déjà un cadeau non ? Et puis c’est pas comme si l’hôte était son pote oh ! Il repasserait pour le cadeau.

    Arrivés dedans la porte, ils toquèrent puis faute de réponses, ils entrèrent. Voulant une entrée remarquée, elle était Naya Freeman après tout !, la jeune Cheerleader plaça un sourire radieux sur ses lèvres comme pour un match important et scanda dans l’entrée en levant les bras :

      « Joyeux Anniversaire ! »


    Ce n’était adressé à personne en particulier, car en réalité Naya ne savait même pas c’était l’anniversaire de qui. Si Holden Tanner mais si vous lui demander de vous désigner qui c’était, bah elle en serait incapable. C’était une fête quoi ! Tout ce qu’il voulait c’était de l’ambiance et des invités et elle m’était l’ambiance et elle était une invitée. Voilà le tour est joué ! Mais bon il manquait un peu d’inviter et Naya haussa les épaules avant de s’enfoncer dans la pièce, à la recherche de ses amis. Jesse avait repéré des gens à saluer, et ils se séparèrent, se promettant de se retrouver un peu plus tard après avoir salué tour à tour l’assemblée. Partant à la recherche de ses amis, la première personne sur qui Naya tomba n’en était pas vraiment une. Christian Livingstone, près de la veranda, en pleine discussion avec un ami. Ce n’était pas parce qu’il était accompagné que Naya allait perdre une occasion pour tailler l’adolescent loin de là.

      « Alors Livingstone on a décidé d'arrêter d'hiberner ? Congrats ! Tu vas voir c’est beaucoup plus fun la vie en communauté quand on bouge de son lit ! »


    Naya tourna la tête vers son pote pour voir si elle avait quelque chose à dire, est-ce qu’elle pouvait le clasher lui aussi. Mais à son grand étonnement, Naya n’avait rien à dire sur lui. Car elle le connaissait. Et très bien même. Et même qu’il devait être à Londres ! Le visage moqueur de Naya se transforma en expression de consternation, sa bouche s’arrondissant et ses yeux s’écarquillant, mimant une expression de surprise. Elle n’en croyant pas ses yeux.

      « Bah ? »

    Avant qu’elle ne pu rajouter quoi que ce soit d’autres, quelqu’un l’interpella. La jeune femme détourna les yeux d’Andrew pour regarder qui l’appelait et sourit lorsqu’elle vit Mya lui faire un signe de la main. Abandonnant le couple de meilleur ami, Naya parti la rejoindre. Ca faisait si longtemps qu’elle ne l’avait pas vu et c’est en la voyant ce soir qu’elle se rendit compte à quel point elle lui avait manqué. Et combien elle allait lui manquer. D’ailleurs, elle devait le lui dire, mais elle le ferait en même temps que Jesse. Remarquant que Mya était avec sa meilleure amie Katya, Naya fit un bisou sur la joue de la blondinette avant d’embarquer Mya et l’emmener dehors, sur la terrasse où elle voyait Jesse assis aux chichas de loin. Concluant qu’elle avait fait le tour de ses amis à la fête, même si elle n'avait pas vraiment cherché à les voir - la soirée allait être longue elle aurait le temps de tous leur faire un coucou -, Naya alla rejoindre Jesse, accompagné de Mya. Elle ébourrifa les cheveux de Gallagher pour lui signaler sa présence et le poussa un peu pour partager son siège. Mya prit place à son tour sur le siège à côté. La métisse salua les autres personnes autour de la chicha – inconnu ou ami de Jesse ? – et remarqua deux gobelets sur la table, prêt de la base de la chicha qui dégageait déjà une odeur sucré au fur et à mesure que le charbon se consumait.

      « J’ai le choix entre chicha et gin fizz c’est ça ? »


    Elle ne savait pas ce qu’il y avait dans chaque verre, mais en devin qu’elle était, elle se doutait bien que c’était ça.



Dernière édition par Naya Freeman le Dim 22 Mai - 1:02, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeVen 13 Mai - 22:19

    L'anniversaire d'Holden. C'était l’évènement de la journée. Lou y avait été invité, en effet, elle s'entendait bien avec le jeune homme bien qu'elle ne l'ait pas toujours porté dans son coeur. C'était grâce à Zoë qu'ils s'étaient rapprochés. Lou était nerveuse. Très nerveuse. C'était la première fête à laquelle elle était conviée depuis celle des Hamilton. Elle avait après ça évité tout évènement publique, trop choquée et encore apeurée de tout ce qui c'était passé il y a cela quelques mois maintenant. D'ailleurs elle avait décidé de ne pas venir à la base. Elle était partie à son entrainement de boxe, et s'était déchaînée pendant quelques heures afin de faire le vide dans son esprit. Elle avait ensuite parlé avec son prof qui lui avait dit qu'elle devait affronter ses peurs. "Ce n'est pas comme ça que je te voyais Miss Huntington" lui avait-il dit. Ça lui avait fait comme un choc. Elle devait se secouer franchement ! Depuis la fête elle avait été molle et elle n'aimait pas du tout ça.

    En rentrant chez elle, elle prit une longue douche. Puis elle se décida à s'habiller pour aller à l'anniversaire d'Holden. Elle chercha dans sa garde robe quelque chose de bien à se mettre. Elle opta pour une jupe taille haute, et un débardeur blanc. Elle enfila ses chaussures à talon compensés les plus confortables avant de se rendre compte qu'elle n'avait prévu aucun cadeau pour son ami. La honte ! Elle farfouilla partout dans sa chambre à la recherche d'un petit truc sympa qui aurait pu faire plaisir à Holden. Rien. Tant pis, elle allait être en retard. Elle lui offrirait quelque chose plus tard ; elle espérait qu'Holden n'allait pas se vexer. Elle sortit de chez elle, et marcha en direction de la maison numéro vingt-trois à vive allure. Elle sonna à la porte, et Holden en personne vint lui ouvrir. Elle lui fit la bise avant de lui lancer :

    LOU ▬ Joyeux anniversaire Holdie ! Tu te fais vieux dit donc. dit-elle en rigolant.

    Il était en effet bien plus âgé que Lou mais bizarrement elle s'entendait toujours mieux avec les personnes plus âgés. Ce n'était même pas une question de maturité ou quoi, seulement c'était comme ça. Une fois dans la maison du jeune homme, Lou salua tous les invités. Il y en avait déjà pas mal, et leur faire tous la bise ne lui disait rien. Elle se contenta de les saluer de la main. Elle alla ensuite à son endroit stratégique : près de la nourriture. D'habitude elle se rendait toujours sur la véranda, surtout que l'air était plutôt doux ce soir, mais ça lui rappelait trop de mauvais souvenirs. Elle jeta tout de même un coup d'œil sur la véranda, où elle vit Naya, Mya et d'autres personne autour d'une chicha ça lui faisait envie, mais non pas tout de suite. Elle se servit un verre de jus d'orange. Pour le moment boire ne lui disait absolument rien.

    Elisabeth Spencer se trouvait près d'elle. Comme d'habitude elle se montrait mystérieuse et assez froide avec les autres invités. Lou ne la connaissait pas aussi bien que Scarlett, mais lui avait déjà adressé la parole. Elle se décida à aller la voir, les autres invités elle ne les appréciaient pas tellement, il y avait Greg... et Katya aussi... Enfin bon Elisabeth était par conséquent une valeur sûre.

    LOU ▬ Bonsoir Elisabeth. Je te sers un truc à boire ?
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeSam 14 Mai - 18:15

Holden et ses fêtes.. C'était un fêtard, ce n'était un secret pour personne. Mais cette fois, c'était lui qui avait voulu organiser une petite fête pour son anniversaire. Ce n'était pas rien, de tout organiser soi-même et d'accueillir les gens chez soi. Il n'y avait qu'à regarder la dernière grosse grosse soirée qui s'était déroulée à Magnolia, la fête des Hamilton. Le seul mot qui restait sur toutes les bouches pour résumer la soirée était : désastre. Agressions, vols, presque comas éthyliques, presque overdoses.. On avait frôlé la catastrophe, non en fait on l'avait pas frôlé on l'avait touchée en plein dans le mile.

Il avait quel âge déjà.. ? Kennedy ne s'en rappelait même plus sur le coup, tellement elle était sonnée. Ce soir, elle était allée au restau avec sa belle-mère et son époux, laissant la maison libre à son cher beau-frère. Il lui avait pourtant demandé si elle voulait bien l'aider à faire les préparatifs avant que tout ce petit beau monde ne débarque chez les Turner. Kennedy avait accepté, enchantée de servir à quelque chose pour une fois. Mais c'était sans compter la poigne de Victoria Turner qui avait insisté pour que Mark et elle l'accompagnent au restaurant pour dîner afin de laisser son fils chéri tranquille. Tant pis, Kennedy le rejoindrait un peu plus tard.

Cela faisait déjà une heure que Kennedy chipotait dans son assiette. Comme d'habitude, Victoria n'avait pas fait les choses à moitié, elle avait emmené son fils et sa belle-fille dans un restaurant ultra-huppé et bien sûr où tous les plats ne coûtaient jamais moins de 60$. Avec le maigre salaire de Mark, le couple n'aurait seuls jamais pu se permettre d'acheter ne serait-ce qu'une olive dans cet endroit. Victoria, elle, s'en fichait totalement, elle était pleine aux as. C'était elle qui invitait, évidemment. Et lorsque Kennedy lui avait dit le plat qu'elle désirait prendre, Victoria n'avait même pas tapé un gauche-droite pour regarder le prix. Kennedy aurait pu prendre le mets à trois cent balles que Victoria n'en aurait rien eu à faire. Mais là, elle commençait vraiment à s'ennuyer, et avait hâte que la charmante serveuse - quoi qu'avec un assez gros balai dans le cul - leur amène l'addition. La brune mangeotait son dessert du bout des lèvres, tandis que l'addition arriva enfin. Après avoir poliment terminé son dessert, et quitté le restaurant au bras de son mari, Kennedy fit un petit signe de la main à sa belle-mère et Mark lui déposa un baiser sur le front.

« J'y vais.. »

Déclara-t-elle en hélant un taxi. Elle pourrait le payer grâce aux billets que lui avait glissé Victoria. C'était fou d'avoir l'impression d'être encore une gamine à qui sa maman paye tout. Sauf que Kennedy n'était plus une gamine, et que Victoria était encore moins sa mère. Ça la détruisait d'être à ce point en manque d'argent et d'avoir besoin de quémander tout le temps des sous à cette femme qu'elle n'aimait pas mais qui pourtant l'aidait tant.

Après avoir payé le taxi, Kennedy sortit à la hâte et se dirigea vers "sa" maison de laquelle émanait un son entrainant. Des invités étaient déjà arrivés, elle leur fit deux trois signes de la main en guise de bonjour, et monta les escaliers quatre à quatre pour se refaire une beauté dans la salle de bain. Cinq minutes après, elle était de retour parmi eux. Au loin, elle aperçut Holden, et s'approcha de lui.

« J'ai fait plus vite que prévu. »

Lui glissa-t-elle à voix basse.


Dernière édition par Kennedy Smith le Ven 17 Juin - 16:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeLun 16 Mai - 10:50

    Stationné devant la maison trente cinq, Jesse Gallagher, appuyé contre la petite rambarde qui délimitait le terrain des Freeman et la rue de Magnolia Cresent, fixait la fenêtre allumée de la chambre de sa meilleure amie. Cela faisait bien cinq voir dix bonnes minutes qu’il attendait la belle Naya qui de toute évidence, avait décidé de se faire désirer ce soir. Il la savait coquette a vrai dire et ça ne l’étonnait guère, il lui tardait juste de voir sous quel jour elle déciderait de ce montrer ce soir, elle était de toute manière splendide sous n’importe quel couture.

    Son regard s’aventura sur les maisons voisine jusqu’à la numéro vingt trois qu’on voyait au loin. Des invités passaient déjà le porche de l’imposante maison des Turner, invités que, pour tout dire, Jesse ne connaissait pas plus que ça. Car à cette fête il serait, au même titre que sa meilleure amie, un véritable squatteur en quelque sorte. Certes il avait été convié très personnellement à se rendre chez le reconnu Holden Turner et l’intention l’avait touché, mais il ne connaissait finalement pas grand-chose de celui chez qui il se rendrait ce soir. Naya l’avait cependant persuadé de venir, une fête reste une fête et c’était toujours l’occasion de rencontrer du monde et elle n’avait pas tord. Seulement ces derniers temps, Jesse était sur sa réserve, la tête toujours un peu ailleurs, et bien qu’il mette cet état inhabituel sur le compte des examens qui approchaient, il n’en était rien.

    S’impatientant et ne souhaitant pas rester plus longtemps en compagnie de cette mélancolie qui n’était pas des plus agréable partenaire, Jesse sortis son portable pour demander à Naya ou elle en était. Quelque seconde plus tard, sa meilleure amie l’invitait à monter. Sourire en coin, le garçon lui répondait qu’il préférait avoir la surprise, elle devait bien savoir qu'il aimait les effets mis en scène... Et il ne voulait pas rater la théâtrale scène de la jeune fille qu'on vient chercher chez elle et devant laquelle on reste ébahis.

    Et ébahis il le fut d'ailleurs quand la jolie métisse pointa enfin le bout de son nez, tournant sur elle même pour qu'il puisse l'admirer.

    - Tu es superbe.

    Lui dit il alors qu'elle riait, et après l'avoir embrassé sur la joue, ils se mirent en route bras dessus dessous pour se rendre chez Monsieur Turner.

    Il n'était encore jamais entré dans la maison numéro vingt trois et autant dire que l’intérieur était assez impressionnant. Alors que son regard se baladait entre chaque éléments qui composait la pièce qui s'ouvrait à lui, comme si il cherchait à faire un rapide compte rendu des lieux pour mieux cerné ses habitants, Naya cantonna un "Joyeux Anniversaire!" tellement impersonnelle et lancé au hasard qu'il ne pu s'empêcher de rire. La belle s'élançait déjà à l’intérieur, lui repéra l'hôte des lieux à qui il offrit un sourire surement un peu trop charmeur pour ne vouloir signifier que le fait qu'il lui souhaitait un excellent anniversaire. Il n'avait finalement que peu discuter encore avec le (très) beau Holden, mais c'était l'occasion ce soir. L'embrassant sur la joue en posant sa main sur son épaule avant de lui glisser le cadeau qu'il avait pris soin de choisir, il formula ses vœux.

    - Je t’honore de ma présence comme demandé, je craignais les représailles comme tu m'as avertis que tu ne cautionnerais aucune absence...

    Sourire en coin, il baissa sa main sans quitter le garçon des yeux avant de reculer d'un pas.

    - C'est un plaisir de me retrouver chez vous Monsieur Turner, et encore joyeux anniversaire.

    Ajouta t'il théâtrale, avant de retourne auprès des invités. La il retrouva Naya qui l'informa qu'elle faisait allait faire le tour des invités, se promettant de se retrouver un peu plus tard, Jesse fit le siens. Croisant Adrian, il salua le jeune homme à qui il serra la main en souriant. Le garçon avait beaucoup de sympathie pour le politicien, si il ne se trompais pas il était proche de Holden ainsi il n'était pas surprenant de le retrouver ici. Il ne connaissait à vrai dire les autres invités pour le moment présent que de vue, sauf Jay Black dont il croisa un instant le regard. Jesse soutint un instant ce lien avant de détourner le visage de partir se servir un verre. Il ne voulait pas que cette soirée prenne une tournure disons... Aussi dramatique que la dernière grosse fête de Magnolia Cresent. Il devait se changer les idées mais ne pas se mettre en danger inutilement. Rejoignant la terrasse, un verre à la main pour lui et un autre qu'il prévoyait pour Naya, l'élève Gallagher fut bien vite rejoint par Naya qui signala sa présence en ébouriffant ses cheveux alors qu'il venait de s'installer. Se retournant vers elle, son sourire se perdit un peu, ou tout du moins se figea de façon tout à fait hypocrite quand il se rendit compte qu'elle était accompagné de Mya Cleavers. Joyeuses perspectives... Naya ignorait que, si ces deux la faisaient tout pour bien présenté devant elle et semblait plutôt bien s'entendre, ils ne pouvaient pas se supporter.

    - Tu as tout bon.


    Confirma t'il à Naya quand celle ci présenta le choix qui s'offrait à elle, passant son bras autour de ses épaules. Bien, tant que la demoiselle Cleavers était là, il ne pourrait pas vraiment lui parler en confidence, mais enfin, si ce n'était pas le moment et qu'était venu le temps de jouer le rôle de l'artificieux, il le revêtirait avec soin.
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeLun 16 Mai - 23:17

    Quand Andrew s'était réveillé ce matin là - ou plutôt cet après midi là - il se rappela tout de suite qu'aujourd'hui n'était pas un jour comme les autres. Non, ce n'était pas aujourd'hui qu'une nouvelle version de Pokemon sortait, ni aujourd'hui que sa soeur avait enfin décidé de se débarrasser de son idiot de petit ami à trois francs six sous. Aujourd'hui était le jour de l'anniversaire d'Holden, auquel Drew était si content d'avoir été invité qu'il s'était bien appliqué à choisir les lunettes de soleil qu'il porterait pour l'occasion ... avant de réaliser qu'elles seraient bien inutiles puisque la fête se déroulait le soir. Il avait alors maudit l'idiot qui avait instauré que, passé un certain âge, les anniversaires ne se faisaient plus l'après-midi avec des clowns et des ballons, mais le soir.
    Néanmoins, il accepta donc l'idée d'aller à l'anniversaire d'Holden sans lunettes de soleil, espérant qu'il serait quand même un warrior et qu'il saurait survivre dans le monde extérieur (le premier qui le qualifie de geek gagne un aller sans retour vers la morgue des Spencer). De toute façon, Christian lui avait demandé d'y aller avec lui, comment pouvait-il dire non ? Quand son meilleur ami lui demandait quelque chose, Drew était comme une mère devant son enfant qui lui réclame du gâteau alors que ce n'est pas l'heure, comme Shrek devant le Chat Potté (ne dites pas à Andrew que je viens de le qualifier d'ogre vert, il ne le supporterait sûrement pas), il était incapable de dire non. Et puis, il y avait pire supplice que devoir aller à l'anniversaire d'Holden.

    Une fois le soir arrivé, Drew se prépara donc pour l'anniversaire de son ami, sortant même sa chemise de bûcheron préférée pour l'occasion ! Cette chemise lui avait toujours porté chance, avec elle sur les épaules, la soirée ne pouvait que bien se passer ! Une fois prêt, le jeune homme attrapa une veste et passa chez les Livingstone chercher son ami. Il prit le temps de saluer les parents, le frère et la soeur de son ami, puisque ce dernier n'était pas prêt, il l'aurait parié. Drew ne préféra pas se demander pour qui il se faisait beau de la sorte, sachant très bien que ce n'était pas pour lui : admettre que c'était pour quelqu'un d'autre était trop difficile pour lui, pour l'instant. Heureusement, Christian arriva rapidement, chassant les pensées de Drew.

    Andrew ▬ Mec, c'est pas que t'es long, mais un peu quand même !

    ils pouvaient enfin se rendre à l'anniversaire d'Holden, en retard certes, mais en un seul morceau !

    Drew avait conscience que là bas, il côtoierait des gens qui ne seraient pas au courant de son retour, des amis qu'il n'avait pas encore revu ... Mais il se refusa d'y penser plus, pourquoi se prendre la tête pour rien ? D'ailleurs, quand il entra chez les Turner, il ne fut attaqué par aucun "Andrew, mais qu'est-ce que tu fous là ?", "Mec mais depuis quand t'es revenu ?", "Connard pourquoi tu nous as pas donné de nouvelles pendant un an ?", "Mec, on t'a déjà dit que tu ressemblais à Tintin ?" (ah non pardon, je m'embrouille). Avec Christian, ils allèrent saluer Holden et lui souhaiter un Joyeux anniversaire digne de ce nom, comprenez qu'ils lui sautèrent dans les bras en gueulant plus fort que Johnny quand il allume le feu (nous pourrions d'ailleurs débattre sur l'utilité d'hurler quand on allume un feu, mais ceci est une autre histoire). Puis, sachant très bien que leur hôte avait d'autres invités à accueillir, ils allèrent se chercher un petit truck à boire. Drew était satisfait, aucun nuage noir à l'horizon pour le moment. Il aurait bien touché du singe pour se porter chance, mais s'il se mettait à poser son bras soudainement sur Christian de manière inopinée, son ami risquerait de se poser des questions. Et de toute façon, il n'eut pas le temps de le faire : il entendit une voix s'adresser à son meilleur ami, une voix qu'il connaissait, malheureusement. Il se retourna si vite que s'il avait eu des cheveux longs, ces derniers auraient volé au vent. Il ne cacha pas son effarement, sa surprise, en voyant Naya, là devant lui. Pire, il comprit bien vite qu'elle ne s'entendait pas avec Christian, et Drew sut tout de suite que ça serait une très très mauvaise chose. Elle le regarda, il la regarda, au moins, elle était aussi surprise que lui, c'était déjà ça.

    Andrew ▬ Je ...

    Il fut incapable de lui dire quelque chose. Quand elle s'éloigna enfin d'eux, Drew craint que Christian lui pose des questions. Aussi distrait était-il, cet échange de regard ébahi n'avait pas dû lui échapper. Le jeune homme se surprit donc à envisager les différentes options qui s'offraient à lui : se cacher derrière le pot de fleurs ? Il était peut-être un poil trop gros. Sortir d'ici en criant qu'il partait vivre tout nu dans la forêt ? Certains mecs intéressés risquaient de le suivre. Parler avec Christian du score du dernier match de pétanque entre les retraités de Magnolia et ceux du quartier voisin afin de changer de sujet ? Mouais, sans savoir pourquoi il la sentait mal, cette option ... Il se garda donc bien de croiser le regard de son ami, priant pour qu'aucune question ne pointe le bout de son nez. Au pire, il pourrait se mettre à boire cul sec son verre de jus d'orange tout doucement avant de lui répondre, non ?
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Christian Livingstone
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeMer 18 Mai - 20:53

    Christian passa une main dans ses cheveux, un sourcil relevé, se confrontant à l’image que lui renvoyait son miroir. Bon, à quoi il ressemblait ce type ? A un gars qui voulait croire qu’il n’était pas trop mal en tout cas, qui essayait de paraître un tantinet beau gosse. On ne pouvait pas dire que Christian Livingstone avait un ego surdimensionné, mais… Quand même, il prenait un peu de place quoi qu’on dise. Pourtant, à le voir on ne pouvait que penser qu’il se fichait pas mal son apparence, ce n’était pas non plus le dernier pouilleux du village mais il était souvent débraillé, les cheveux en désordre et la mine du type qui a fumé trois joint avant de réussir à sortir de chez lui, il avait cependant un minimum d’amour propre il ne fallait pas croire. Et puis bon, oui, ce soir Christian avait fait un effort. Oui, le nom du garçon + effort dans une même phrase, c’était possible. Parce que c’était un anniversaire, et pas n’importe lequel (cela dit combien de fois s’était il pointé à un anniversaire avec deux bonnes heures de retard et trois spliff dans le nez, donc… Argument invalide) et puis surtout, oui on va forcément y venir… Katya Fitzgerald était invité, sois sa « petite copine », a priori... Se qu’il se sentait con de devoir faire un effort pour une fille, quand même. C’était pas de son genre, si il se regardait bien dans la glace et y rencontrait le regard du vrai Christian et pas de celui qui était victime de on ne sait quel complot qui l’avait abaissé au niveau de vouloir plaire à une nana, il aurait soufflé un bon « Fuck you t’sais », aurait passé une vigoureuse main dans ses cheveux pour créer Waterloo sur sa tête, se serait saisis de son fond de marchandise et se serait rendu pépère chez Holden comme il en avait l’habitude. Oui, mais non. Chemise blanche revêtue, le flemmard avait un air (un peu) plus clean que d’habitude, après pour combien de temps encore, ça…

    Jersey vint le prévenir qu’Andrew était arrivé. Ne la faisant pas répéter la nouvelle deux fois, il attrapa sa veste et partis rejoindre son meilleur ami.

    Andrew ▬ Mec, c'est pas que t'es long, mais un peu quand même !

    Christian ▬ Les gens important se font toujours désirer.


    Lança t’il avec un sourire en coin avant de quitter les lieux accompagné de son pote et de sa chemise bûcheron qui lui avait manqué d’ailleurs...

    Ils ne tardèrent donc pas à entrer dans la fameuse baraque des Turner. Fameuse puisque c’était sans nul doute l’une des plus imposantes du quartier, et qu’étant devenu sans raison un des « potes VIP » d’Holden Turner qui s’était intéressé à son cas, il avait été convié plus d’une fois par ici et il trouvait toujours moyen de s’extasier sur les lieux. Célébrant comme il se devait l’anniversaire de monsieur Turner, les deux potes guelèrent comme des perdus en s’accrochant au garçon pour lui souhaiter sa fête avant de l’abandonner pour qu’il ne s’occupe d’invités qui les suivait et les regardé comme si ils étaient tarés.

    Comme un automatisme, ils se dirigèrent vers le buffet pour se servir leur premier verre, Christian se retourna vers l’assemblé pendant que son regard se baladait vers les invités, histoire de voir qui était déjà la. Ce fut malheureusement la mauvaise personne qui se pointa, personne qui se sentit dans l’obligation de lui faire une remarque tout à fait conne qui allait bien avec le personnage.

    Naya ▬ Alors Livingstone on a décidé d'arrêter d'hiberner ? Congrats ! Tu vas voir c’est beaucoup plus fun la vie en communauté quand on bouge de son lit !

    Christian la fixa, comme amorphe et froid, avant de frapper dans ses mains.

    Christian ▬ C’est se qu’on appelle une intervention super utile et pertinente Freeman, vraiment, ‘congrats’.

    Imita t’il grossièrement avant de remarquer que quelque chose ne cloche : Le regard qu’elle échangeait avec Andrew. Olah non déguerpis meuf, propriété privé. Sauf que ce n’était pas un regard du style « coup de foudre à Magnolia Cresent », c’était… Un autre genre. Et il aimait pas ça. Qu’est se qui se tramait la ? La mentisse s’éloignait déjà et Christian chercha a avoir une conversation télépathique avec Andrew pour avoir une réponse concrète a ses interrogations multiples, mais la connexion ne s’était pas fait, a priori parce que l’autre ne la cherchait pas.

    Christian ▬ Naya Freeman. La présenta t’il, enfin, ésperant qu'il la présentait… De type… En fait je prendrais même pas le temps de faire une tirade délirante sur la vacuité de cette nana, y’a plus de mots à ce niveau la, faut juste l’éviter.

    Il n’irait pas lui poser de questions, il cherchait juste à voir sa réaction en lui jetant un coup d’œil de côté. Et il sentait déjà une pointe d’énervement monter en lui. Son meilleur ami lui cachait encore un truc la, c’était clair, non ? Et d’un côté, lui il pouvait parler… Mais ça l’agaçait profondément de se dire que d’une manière ou d’une autre, aligner les non dits c’était un peu comme si il était en train de le perdre. Bon, c’était quand même pousser à l’extrême que d’avancer un truc pareil, cela dit il ne pouvait pas s’empêcher de le vivre comme ça.
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeVen 20 Mai - 21:59

    Hum dilemme. Bon, on commencera par le gin alors. Naya tendit le bras, et Jesse lui passa le verre qui était à coté du sien. Elle le but à moitié, et leva la tête vers Jesse. Il avait l’air content de son début de soirée et s’en voulait de devoir gâcher tout ça. Mais il fallait bien le lui dire tôt ou tard et il lui en voudrait de le lui avoir caché si longtemps si elle ne se décidait pas bientôt. Elle embrassa Jesse sur la joue avant de se serrer contre lui. Il lui rendit son câlin, habitué à ses excès d’amour dont il était la seule victime. Souriant, il lui avait donné la force de sa ‘terrible’ annonce.

      « D’ailleurs, j’ai quelque chose à vous dire. »


    Naya tendit la main vers Mya pour qu’elle se sente concernée. La jeune métisse se leva se poussa la chicha, les verres et le cendrier posé sur la petite table pour s’asseoir dessus. Elle installa Mya à côté de Jesse, le forçant à partager son fauteuil avec son ennemi. Elle voulait les avoir tout les deux face à elle.

      « Vous savez que mon rêve c’est de devenir danseuse. Et bien il se pourrait bien qu’il se réalise ! J’ai postulé à une école de danse, celle de New-York. Et j’ai été acceptée pour la rentrée prochaine ! »

    Naya souriait mais il s’estompait un peu, au fur et à mesure que leurs visages se transformaient ; ils comprenaient petit à petit ce qu’elle voulait dire. Elle avala difficilement sa salive et continua.

      « Papa a dit qu’il me trouvera un appart. Je devrais faire une coloc avec Christian, tu sais la chinoise qui est venue une fois, Jesse ? Mais je reviendrais les week-end, et … »

    Naya s’arrêta, ça ne servait à rien de donner des arguments, elle partait en juillet. Et rien n’allait changer ça, même si elle revenait tout les week-end, et elle-même le savait bien. Mais elle touchait son but du bout des doigts !

      « Je … »


    Naya ne savait pas quoi dire. Elle ne voulait pas plomber l’ambiance, et savait que ça ne serait pas ça qui allait ruiner la soirée – du moins pas celle de Mya – mais s’inquiétait un peu plus pour Jesse. C’était son meilleur ami quoi ! Quitter Katya lui faisait mal au cœur mais quitter Jesse était un véritable déchirement.



Dernière édition par Naya Freeman le Ven 27 Mai - 23:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeSam 21 Mai - 1:31

Aujourd'hui, petite matinée e libre, j'avais pu dormir très tard et ça m'avait fait beaucoup de bien. Et en particulier pour la nuit qui nous attendait. Ma Jane allait devoir travaillé, n'ayant pas réussit à décaler sa nuit avec ses collègues qui était plutôt surbooké. J'avais réellement bien fait de ne pas suivre cette voix là, abandonnant la médecine pour me pencher sur les étudiants, devenant surveillante dans les lycées alentour avant d'être muté ici suite à ma demande.

Laissant la journée filer, j'avais envoyer un message à Holden, lui souhaitant ainsi son anniversaire par texto et par facebook, attendant de le voir le soir même. N'ayant rien à faire, je trouvais que la journée passait plutôt lentement. en plus, j'étais toute seule à la maison. Aussi je décidais de sortir faire un tour dans le quartier. Croisant mon aie Cassandra qui rentrait chez elle, je l'abordais.

- Hey Cassie. Comment va ? Tu viens ce soir chez Holdi ?

Plus on est de fous, plus on rit disait le dicton, et j'aimais beaucoup Cassandra pour ça, on pouvait rire ensemble, depuis les premiers jours. Par bonheur, la jeune femme allait être de la partie, ce qui me rendait bien joyeuse.

- Je passe te prendre vers sept heures, ça te va ?

Lui demandais-je pour convenir d'un horaire afin de se rendre ensemble à cette petite sauterie organisée dans la grande maison Turner. Jamais encore je n'y avais vraiment mis les pieds, n'étant pas une très grande fan de la mère tyrannique de mon ami. Pourtant, il n'y avait aucun problème avec Mark et Kennedy, ce qui me rassurait, le problème venait de la marâtre. Se mettant d'accord sur l'heure et le fait de se faire belle, je quittais là mon ami pour faire un petit tour en ville, m'allumant une cigarette. Oh diable ! Plus de clopes ! Comment tenir une soirée d'anniversaire si l'on à pas au moins trois paquets d'avance. surtout si on tirait tous à droite, à gauche. Je filais donc au tabac le plus proche pour me ravitailler. Puis, j'envoyais un SMS à Julian, ayant envie de le voir.

Citation :
Tu viens ce soir hein !? Envie de te voir. Bisoux mon Ju' <3

Quitte à passer une bonne soirée, autant qu'il y ai out le monde. J'avais plus que hâte de retrouver mes amis, car à part certaines pouffiasses, Holden avait des amis géniaux, surtout ceux que j'aimais appeler ma famille, Jesse en tête de cortège comme toujours. Ah ! dieu que je l'aimais ce gosse. Si l'on y réfléchissait bien cinq minutes, tout ici était super ! Si on pouvait enlever deux ou trois cas en particulier, ainsi que le dingue qui avait tué la mère King, ce serait encore mieux. Vivre dans une bulle d'amour et de confort.

Les heures passaient plus vite maintenant et il était temps de se préparer. aussi pris-je le soin de choisir une jolie robe noir dos nu décolleté, courte bien sûr, pour ne pas passer pour une coincée que j'étais bien loin d'être qui plus est ! J'avais envie de me aire jolie pour mes amis, pour mon petit Holden qui le méritait bien ! Et j'étais prête. Vernis à ongle noir pour l'occasion, assortit à ma robe et mes chaussures, coiffure impeccable, me voilà à passé une ombre à paupière couleur peau, plus foncé que la mienne, et du mascara, j'étais prête.
Et l'heure venue, j'allais chercher ma princesse d'une soirée. Je l'imaginais déjà, toute belle, les cheveux rehaussés ou bien lâchés, elle savais se mettre en beauté et cela m'étonnait qu'elle n'ait point de prince. Bref, j'arrivais devant la maison des Heaven, entendant des pas après ma sonnerie. La jolie blonde m'ouvrit.

- Hey ! Pile à l'heure t'as vu ! T'es belle comme un cœur ! Tu es prête ?

Des fois qu'elle n'ai pas encore finit.Je lui offrit ensuite mon bras, rebroussant chemin jusqu'à la maison °23, où des gens était déjà là. Je n'avais pas vu Holden depuis quelques jours, ayant travaillé et profiter de mes congés en commun avec ma douce pour rester collé à elle de bien excitantes manières. Alors, changer d'air ce soir, ne voulant pas rester seule, nous arrivions devant la masure. L'on se jeta un regard, un sourire, et Cassie frappa à la porte. La porte s'ouvrant, on pouvait entendre les conversations et les bouteilles se débouchant.

- Bon anniversaire Chouchou !!! fis-je en lui sautant dessus avec un grand sourire, l'enlaçant comme un enfant, n'en revenant pas qu'il est 24 ans.

Autour de nous, il y avait déjà pas mal de monde, du meilleur ami que je repérais et à qui j'offrais mon plus beau sourire, à la pire garce de tous les temps, qui se trouvait étrangement avec lui. Faisant le tour, j'allais saluer les gens, me faisant plus ou moins familière dans mes étreintes selon la personne. Je ne faisais qu'une bise à quelqu'un comme Adrian O'Conell, une connaissance, et me laissais aller à des enlacement comme avec la petite Katya, ou encore Jesse, qui n'était pas avec les gens que je préférais dans le coin, mais dans un petit murmure, je lui promis de le retrouver un peu plus tard pour que l'on papote comme à notre habitude.

Je terminais mon tour de bisous par les personnes de Christian et Andrew, un petit sourire coquin. J'avais envie de les embêter un peu. tout en leur faisant la bise, je leur demandais :

- Alors les tourteaux, ça roucoule dans votre nid ?

J'adorais les charriaient. Avec Christian, cela datait de l'époque où je travaillais au lycée et qu'il me croisait et venait me titiller en plaisantant sur mon homosexualité. Andy', c'était plus récent, mais il était assez abordable et pareil à Chris' pour que l'on puisse rire de cela. J'aimais les appeler "le petit couple" tant ils étaient inséparable. J'avais bien envie de rester un peu avec eux, voir comment ça allait.

- Du neuf, tu vas toujours pas en cours Chris' ? fis-je en riant du peu d'assiduité du jeune homme.


Dernière édition par Orlane Beatle le Lun 23 Mai - 16:35, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeSam 21 Mai - 11:58

    Elle était prête. Ses longs cheveux blonds tombaient en cascade sur ses épaules, lui donnant une allure de princesse, ou bien de poupée Barbie – à vous de voir – elle portait une robe cintrée bleu marine courte, au décolleté plongeant. Elle était tout simplement fabuleuse, elle le savait, mais pourtant ne pouvait s’empêcher d’angoisser. Elle n’avait pas remis le pied à une fête depuis celle des Hamilton. Pourtant, Cassandra avait toujours été de nature fêtarde, mais l’agression l’avait en quelque sorte traumatisée. Mais voilà, le dilemme c’est que cette fois ce n’était pas n’importe quelle petite sauterie, mais l’anniversaire d’Holden. Son ex, son « jumeau, son ami comme son amant. Et malgré l’angoisse terrible que lui provoquait la pensée d’une fête maintenant, elle n’avait pu refuser l’invitation du jeune homme. Affronter sa peur ne serait pas si simple.
    Dans la journée, alors qu’elle faisait la promenade de Penny, son caniche nain, elle avait croisait Orlane Beatle, une amie, qui lui avait proposé de l’accompagner, ce que Cass accepta de suite. Vu que Leonor semblait grippée, elle n’avait personne sur qui s’appuyer ce soir, Orlane tombait donc à pique. Rien de mieux que d’aller à une fête entre amies, n’est ce pas ? Mais, elle avait beau se dire ceci, rien ne l’empêchait d’angoisser.
    Aux alentours de dix-heure heures, on vint sonner à la porte de la maison numéro seize. Après s’être recoiffée une dernière fois, Cassie vint ouvrir. C’était, comme prévu, Orlane. Elle fit la bise à son amie, avant de retourner dans son salon pour prévenir Leonor de son départ. Celle-ci, tel un mollusque enrhumé, était couchée sur le canapé. La jeune Heaven déposa un baiser sur le front de sa meilleure amie, elle s’en voulait un peu de la laisser seule dans cet état. Elle caressa Penny, avant de se décider à sortir en direction de chez les Turner.

    Orlane et Cassandra ne tardèrent pas à sonner à la porte de l’imposante résidence, on vint leur ouvrir. La fête avait déjà bien commencé, un frisson parcouru Cass tout en long. Elle ne pouvait s’empêcher de stresser. Mais son regard vint se poser sur Holden, ce qui la rassura. Elle déposa un baiser sur sa joue, avant de lui dire dans un grand sourire :

      « Joyeux anniversaire mon chou »


    Elle se forçait à avoir l’air rassuré, mais ce n’était carrément pas le cas. Elle lança un regard dans le vaste salon, la dernière fois qu’elle était venue ici, Holden et elle avait couché sur cette table-ci, avant d’être stoppé en plein ébat par un chat qui s’était introduit dans la cuisine.
    Elles venaient à peine d’arriver, qu’Orlane avait déjà filé vers les autres invités. Cass balaya la pièce du regard, elle en reconnaissait la plupart, certains même étaient des amis proches. Elle pouvait apercevoir, Mya, Naya et Jesse, elle aurait voulu les rejoindre mais ils semblaient en pleine discussion, et elle ne voudrait pas les gêner. Son regard se posa alors sur une silhouette familière, celle d’Adrian O’Conell. Il était le frère de son meilleur ami, elle le connaissait bien. Un jour, sous l’effet de l’alcool ils avaient fini par coucher ensemble. Elle avait toujours insisté pour garder cette aventure secrète, ne voulant pas qu’Heathcliff en soit au courant. Mais ce soir-là, l’envie d’aller voir le jeune homme lui prit. Et, sans réfléchir, la grande blonde de dirigea vers lui. Arrivée à sa hauteur, elle l’interpella :

      « Hey O’Conell, ça t’embête de me tenir compagnie ? »


    Un sourire vint s’afficher sur son joli visage. Elle se laissait peu à peu acclimater à cette fête, oubliant un peu son angoisse. Mais quand même, elle restait-là et rien de mieux qu’un homme tel qu’Adrian pour la protéger, n’est ce pas ?
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeDim 22 Mai - 2:15

    Le peuple commençait enfin à arriver, car à part quelques baltringues par ci par là on ne pouvait pas dire que la jeune Cleavers était gâtée. Il y avait bien Katya, sur qui elle s'était jetée mais elle était si peu marrante. Enfin bon, heureusement que Naya en personne, sa copilote, était arrivée. Elle interpella la belle assez fort pour qu'elle l'entende d'où elle était. D'un signe de la main elle l'a remarqua et vint à sa rencontre. Comme toujours elle était tout en beauté, tellement que Mya en serait presque jalouse. Sans plus attendre elle se fit embarquer par miss Freeman. Elle l'entraina vers la véranda où elle pouvait apercevoir Jesse. Elle allait devoir encore se le coltiner celui là ? Bon et bien... mode hypocrite ON. Alors que Naya s'en alla s'assoir aux côtés de son BFF, Mya occupa le siège d'à côté. Se forcer à sourire à ce machin lui donnait des maux au coeur, alors elle ne s'attarda pas trop sur la tâche et redirigea son regard sur les verres d'alcool. Et Mya ? Personne n'avait pensé à sa gueule ? Elle chercha des yeux la table où était prédisposés des verres, alors que les deux jeunes gens à ses côtés se câlinaient. Arf, elle n'allait rien manqué. S'apprêtant à se lever, la jolie métisse fit une intervention qui eu comme l'effet d'une bombe... Tout devenait si sérieux tout à coup, elle n'aimait pas trop ça. Voyant Naya lui tendre la main et carrément se mettre en face de Jesse et elle même, cette dernière compris qu'il s'agissait d'un truc assez important. Avant que Naya ne dise quoi que se soit de plus Mya l'interrompit :

      « Deux secondes, je vais prendre un verre ! »

    Elle avait déjà localiser l'endroit stratégique qui se situait à quelques mètres à peine. Après une petite minute elle revint vers eux et hésita quelques instants à se rassoir à côté de Jesse. Elle fit mine de boire quelques gorgées de son punch tout en restant sagement debout. Mais d'après les regards des deux meilleurs amis, elle comprit qu'il serait préférable qu'elle se rassoit. Elle s'exécuta à contre cœur, en veillant à s'éloigner le plus possible avant de soigneusement poser ses fesses sur le fauteuil. Voilà, enfin. Elle pouvait reprendre.

    Naya expliqua alors sa situation, Mya resta bouche bée face à la nouvelle. C'était tout de même triste, sa petite protégée, sa copilote... s'en allait. Au moins, elle avait le courage de poursuive ses rêves, et rien que pour cela la jeune Cleavers était fière d'elle. Grimaçant légèrement, elle préféra la laisser finir. La métisse leur précisa qu'elle serait là tous les week end, ça c'était la bonne de la mauvaise nouvelle. Cela redonna le sourire à Mya puis voyant qu'elle n'arrivait pas à poursuivre, Mya répliqua :

      « Tu vas nous manquer ! Mais je suis contente pour toi, après tout quand on veut quelque chose dans la vie il suffit de le prendre. Là, t'en as l'occasion. C'est le meilleure choix... J'espère bien que tu nous rendra visite les week ends, comme ça si tu deviens célèbres je serai l'une des premières à avoir un autographe ! »

    Rajouta t-elle pour détendre l'atmosphère, sans grande conviction. Elle la serra un instant dans ses bras avant de se rassoir. Mya porta son verre à sa bouche pour se détendre mais faillit s'étouffer en entendant ce qui semblait être un sanglot... Elle ne mit pas longtemps à comprendre qu'il s'agissait de la tapette d'à côté. Il... était sérieux là ? Mya fut choquée en voyant ses quelques larmes perlés sur ses joues rosies. On pouvait même voir ses veines ressortir tellement on avait l'impression qu'il se retenait de ne pas fendre en larme telle une vrai gonzesse. A cette vison mélo dramatique, la jeune Cleavers essaya de feindre un rire, mais sans grande réussite. Elle tenta tout de même d'étouffer un rire malheureusement très perceptible et s'arrêta en voyant le regard noir lancé par Naya. Telle une innocente elle mit une main sur sa bouche et fit mine de se taire en lançant un "Pardon" peu significatif. Naya alla consoler ce pauvre Jesse, et Mya se forçait encore à ne pas briser la scène. Un sourire en coin, la jeune Cleavers caressa l'épaule du jeune Gallagher d'un faux air compatissant et lui dit à voix basse :

      « T'en fais pas... je serai là moi... »

    Comme pour lui rappeler que maintenant que Naya partait, il n'était plus question de jouer la petite fille gentille avec lui. Elle pourra enfin endosser son rôle en toute tranquillité. Du moins, cinq jours sur sept.
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeDim 22 Mai - 11:09

    En plein dilemme, le regard de la métisse se baladait entre chicha et Gin Fizz alors que Jesse la contemplait amusé attendant le verdict qui ne tarda pas a tomber : La boisson, comme il l’aurait parié. Il lui tendait alors le verre qu’il lui avait réservé. Quand à Mya qui lui souriait de la manière la plus délicieusement hypocrite qu’il soit, non il n’avait pas pensé à se qu’elle se joigne à eux et se serait bien passé de sa présence, si elle voulait être servis après tout elle n’avait qu’à utiliser les grandes tiges qui lui servait de jambes pour parcourir les quelques court mètres qui les séparaient de la table des boissons. Il aurait volontiers évité ce petit jeu, bizarrement ce soir Jesse n’avait pas grande envie de se délecter comme à son accoutumé de cette situation qui le divertissait grandement. De toute évidence quelque chose ou quelqu’un avait décidé qu’il ne pourrait pas se contenter ce soir de rester avec les personnes qu’il appréciait, il ferait donc avec, viendrait plus tard le moment de parler à Naya.

    Mais pour le moment, c’était elle qui semblait avoir quelque chose à dire. Après qu’elle se soit serrée contre lui et qu’il est resserré cette étreinte en passant une main dans la chevelure brune de sa meilleure amie, celle-ci c’était levé, avait invité Mya a prendre sa place et c’était placé en face des deux.

    Il sentait la nouvelle importante arrivée, et il ne savait pas encore si elle serait bonne ou non. Sa meilleure ennemie interrompit l’intervention en signalant qu’elle allait se servir à boire lui, Sans quitter Naya des yeux, espérait presque y deviner ses intentions avant qu’elle ne révèle quoi que se soit. Son air un peu embêté qui semblait chercher les mots ne prévoyait rien de bon, à moins qu’elle ne soit une excellente actrice qui dissimulait à la perfection la meilleure des nouvelles qui soit. Il n’avait pas grand espoir sur ce sujet, il voyait la chose venir mais il tacha de lui laisser la parole, finissant son verre avant de le poser au pied de sa chaise alors que l’aîné des Cleavers reprenait place sur le fauteuil qu’ils étaient contraints de partager.

    Il avait compris, à partir du moment ou elle avait prononcé la première phrase de son discours, elle lui avait vendu la mèche. Elle allait partir, loin, car elle était une excellente danseuse et que de toute évidence aucune école censé ne pouvait la recaler. Naya était faites pour ça, elle allait donc rejoindre ceux qui était comme elle pourvu d’un don. La suite confirma qu’il avait vu juste, et Jesse ne su décrire se qui se passait concrètement en lui.

    Il était fier, fier car elle avait le courage de persévérer dans ce domaine et qu’elle allait continuer son rêve. Pourtant, si elle lui avait déjà parlé de cette école et qui l’avait déjà poussé à passer des concours, il n’avait pas été mis au courant qu’elle avait tenté cette année celui du New York City Ballet, se qu’il expliquait ainsi : Si elle ratait, elle n’avait besoin de le dire à personne puisque personne n’aurait été mis au parfum, si au contraire elle le réussissait, elle avait tout a gagner. Il restait donc figé, incapable de la féliciter car l’idée qu’elle parte lui faisait trop de mal.

    Il avait du mal à continuer à suivre, elle évoqua un appartement que lui promettaient son père et une collocation avec Brittany, une jolie New Yorkaise que Naya lui avait présenté au nouvel an qu’ils avaient passé ensemble.

    Il avait complètement décroché quand Mya s’était levé pour féliciter la future grande danseuse. Ailleurs, il sentit lui des bras l’étreindre et reconnu de suite Orlane qui n’était apparemment que de passage puisqu’elle lui promettait de le retrouver plus tard. Il était tellement sonné qu’il se força à sourire le mieux possible en murmurant un oui approbateur et déposant une bise sur sa joue avant que la jeune fille ne file et qu’il ne se retrouve confronter de nouveau seul à la situation présente.

    Ça n’allait pas. Trois personnes qui lui étaient cher l’avaient quitté cette semaine. Peter qui suite à sa déception amoureuse, avait décidé de quitter Magnolia Cresent maintenant que les examens à l’Université étaient terminés. Zoë, qu’il n’avait pas réussi à retenir pendant le court laps de temps qu’elle lui avait accordé avant son départ qu’il n’avait pas compris. Et maintenant Naya, qui allait réaliser son rêve loin de lui malgré cette maigre compensation qu’était « je serais la le week end. » Car il ne se leurrait pas, il y avait prêt de trois heures a parcourir entre Magnolia et la grande ville, et avec le travail qui nécessitais la carrière qu’elle envisageait, elle ne pourrait faire des allé retour constant entre le quartier et son école toute les semaines.

    C’était la nouvelle de trop, force de se rendre compte que cela faisait un moment qu’il se voilait la face et que ça n’allait plus très fort dans son petit monde, il fallait que se qu'il avait retenu trop longtemps éclate ce soir. Et cela faisait bien une éternité qu’il n’avait pas sentis se qui allait suivre : des larmes qui naquirent dans ses yeux pour mieux couler le long de ses joues. Baissant alors la tête et plaçant une main sur son visage, il étouffa un sanglot alors que l’idée qu’il devait être tout à fait ridicule le gagna, se qui ne l’aida en rien. Ce n’était pas de son genre, c’était pour dire que ces temps ci il ne se reconnaissait même plus. Il devait délivrer à Mya Cleavers l’un des spectacles les plus réjouissant de l’année, mais il s’en foutait complètement. Quand celle-ci d’ailleurs vint poser sa main sur son épaule en lui annonçant doucereusement qu’il n’avait pas à s’en faire puisqu’elle était la, et qu’il n’était pas idiot au point de ne pas comprendre le réel message derrière ces mots gonflé de venin, il jarta la main de la jeune fille avant de se lever et tacha de s’éloigner loin des regards.

    Et il n’avait même pas réussi à glisser le moindre « Bravo » à sa meilleure amie, quel terrible soutient il faisait la…
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeDim 22 Mai - 12:23

    En compagnie des autres, Annie se rendit compte qu'elle était avec Jay. Ah !!! L'horreur, elle ne pouvait pas le voir celui la. Pourquoi était elle avec lui en ce moment même ? Annie s'écarta du groupe doucement puis alla se servir un verre. Qu'est ce qu'elle pouvait bien faire en attendant que la personne dont elle voulait tant voir arrive ? Boire oui, c'était une solution envisagée et c'est ce qu'elle fit. Mais pas d'alcool ou du moins, pas pour tout de suite, pour après. La jeune McCormick observait l'entrée, puis deux personnes arrivèrent en même temps. Christian et Andrew. Bon... En fait cette soirée n'allait peut être pas être aussi joyeuse que cela... Katya était par là et Christian et Annie avaient une relation, et ont toujours, compliquée... Comment dire ? Cette soirée serait peut être plus qu'une soirée de vérité ? Enfin personne n'en était là en ce moment.

    Prenant son verre, elle les vit se diriger vers Orlane. Bon... Annie décida d'attendre un peu avant, ça pourrait faire la fille qui saute sur le mec alors qu'elle ne voulait pas trop trop ça. Puis après quelques minutes et toujours seule, la jeune femme se dirigea vers le petit groupe et arriva en souriant, enfin en essayant de sourire.

    - Salut Christian, salut Andrew et salut Orlane.

    Bon... Elle arrivait en interrompant leur conversation, ce n'était pas très cool mais bon. C'était les seules personnes qu'elle connaissait le mieux et surtout parce que surtout elle voulait voir un peu où est ce qu'était rendu leur relation... Pourquoi faisait elle ça ? Peut être pour voir ce que ça allait donner. Elle tourna la tête et vit Katya au loin... Elle ne tarderait pas à venir.
    Annie les regarda tour à tour puis ne voulant pas mettre trop de silence entre eux, elle décida de combler le blanc.

    - Alors ! Que racontez vous de beau ? Au fait Christian, ça fait longtemps qu'on s'était pas vu, j'espère rattraper le temps perdu !

    Mais quelle fouteuse de merde ! Oui, bon d'accord, elle aurait pu le faire quand Andrew n'était pas là, mais elle n'allait pas lui cacher des choses alors qu'il venait juste de revenir... Ca la rongeait toujours de savoir qu'il était partit sans rien dire, mais la rancune n'était pas au rendez vous ce soir. Elle voulait plus... s'amuser ce soir et peut être en savoir plus ou pas.
    La jeune McCormick regarda vers l'entrée et vit d'autres personnes arriver, c'était surement les derniers, puis elle regarda Katya qui les regardait... Elle était en bon terme avec elle, ça serait dommage de briser une amitié ? Oui... Surtout avec cette fille. Elle s'entendait bien avec elle mais ne savait pas la relation qu'elle entretenait avec Christian... Dommage pour elle. Son regard se reporta sur le petit groupe avec un sourire sur les lèvres. Peut être avait elle exagéré ? Ca, ça allait être la réponse des autres qui lui ferait répondre à la sienne.
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeDim 22 Mai - 14:38

    Naya baissa la tête, en attendant leur réponse. Elle ne voulait pas, ou plutôt ne pouvait pas affronter leurs regards. Un court silence s’imposa, le temps que la nouvelle ne passe, avant que Mya prenne la parole. Comme Lou, celle-ci lui apporta son soutien. Ca lui faisait plaisir, à Naya. Elle se leva et sourit, sa chère copilote la prenant dans ses bras pour la féliciter. Naya déposa une bise sur sa joue, elle savait que son départ était moins douloureux pour Mya car c’était sur qu’elles se reverraient. La miss faisait souvent des allés retour à New-York aussi bien pour des besoins professionnels que personnels, elles n’allaient donc pas attendre les weeks-end qui les sépareraient. Pendant l’étreinte, Naya entendit un sanglot qui ne présageait rien de bon. Regardant les yeux encore impeccablement bien maquillés de Mya, elle comprit alors que c’était son meilleur ami. Jesse ! Voir ses larmes, non, non. Elle espérait bien quelques unes mais pas devant tout le monde et pas tout de suite. Ça la mettait mal à l’aise. Surtout lorsque Mya eut un rire. Non mais oh ! Un peu de respect ! Naya la foudroya du regard et Mya s’excusa mais son sourire jusqu’aux oreilles montrait bien qu’elle n’en pensait pas un mot.

    Naya quitta l’étreinte et prit la place de Mya qui s’était levée et avait compris qu’il fallait qu’elle le console. D’ailleurs, bien qu’elle soit triste, elle n’avait pas ignoré son regard moqueur face au jeune homme au bord des larmes. Naya s’assit sur l’accoudoir du fauteuil et prit la tête de Jesse dans ses bras, contre elle. Ses larmes commençaient elle aussi à monter, elle n’aimait pas voir les personnes qui lui sont proches être tristes. Elle déposa un baiser sur le sommet de son crâne, essayant de le calmer.

      « Non s’il te plait, je suis désolé. »


    Il aimait le dramatisme, c’était un artiste, mais le voir si triste la désarmait. Il se débattit et la repoussa, pour se lever et aller plus loin, les larmes coulant sur son visage torturé. Naya se sentit si coupable d’avoir gâché sa soirée. Elle le laissa partir plus loin devant, avant de se lever et courir le rattraper.

      « Jesse, attends ! »


    Elle arriva à son niveau et le prit par la main, l’attirant dans un coin, plus calme, avec moins de personnes. Son visage était parsemé de larmes, Naya passa sa main sur ses joues pour les sécher. Mais ses sanglots reprirent de plus belle. Il devenait une fontaine maintenant qu’ils étaient seuls dans un coin du jardin. Naya tira deux poufs en forme de poires qu’elle mit l’un à coté de l’autre et fit asseoir Jesse.

      « Sèche tes larmes va ! Je vais pas mourir ! Je te promets que je serais souvent là ! Dès qu’il y a un soucis je prend la voiture et je reviens. Et puis avec la fac tu seras super occupé, tu seras la vedette de tous les shows, t’auras même pas le temps de penser à moi ! Regarde, même en étant dans la même ville parfois on arrivait pas à se voir ! Là on bookera nos weeks-end, et … »


    Jesse la coupa et marmonna une réplique incompréhensible tellement sa crise de larmes s’accentuait. Son départ devait y être la cause, mais il ne devait pas y avoir que ça pour qu’il craque comme ça. Naya le prit dans ses bras, mit sa tête contre elle. Elle continuait à tenter de le consoler, cherchant d’autres arguments bidons dont elle n’y croyait même pas. Elle-même avait arrêté de pleurer, il chialait assez pour deux. Tout ce qu’elle voulait c’est qu’il se calme pour l’instant, qu’il sèche ses larmes. Mais plus elle continuait, plus il pleurait et plus il lui sortait des phrases qu’elle ne pigeait pas, entrecoupés par les sanglots du jeune homme. Naya caressa la joue de Jesse, le prit dans ses bras, lui l’embrassa sur la joue mais rien n’y faisait : il était toujours aussi anéanti par la nouvelle. Même s’ils étaient dans un coin sous les arbres, les autres les observait mais Naya s’en fichait. Son ami allait mal. Tellement mal qu’elle ne savait pas quoi faire. Dans un élan de désespoir affectif, Naya se blottit contre Jesse qui resserra son étreinte sur sa taille. Pour l’instant, rien de plus normal. Mais Naya approcha son visage de Jesse et sans qu’il ne comprenne le pourquoi, Naya posait déjà ses lèvres sur les siennes et introduisit sa langue à la recherche de celle de son meilleur ami. Ouais son meilleur ami gay.

    A quoi pensait-elle ? Rien, elle voulait juste qu'il cesse de pleurer, et elle n'avait rien trouver de mieux que de mettre sa langue de sa bouche. Est-ce qu'elle profitait d'un moment de faiblesse de son meilleur ami pour faire ce qu'elle aurait voulu faire depuis longtemps ? Non elle n'était pas amoureuse de Jesse comme pouvait l'être cette débile d'Evane. Mais elle ne pouvait pas cacher ce magnétisme qu'elle avait envers Jesse. Et si ça pouvait le calmer, pourquoi pas hein.

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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeDim 22 Mai - 15:11

Ce soir là avait lieu la soirée d'anniversaire de Holden Turner, un très proche ami de la jeune Sheppard. Évidemment elle avait pris le soin de le lui souhaiter bien avant, montant dans sa chambre à l'aube pour être la première à le lui souhaiter avant de repartir par la fenêtre comme elle était venu. London savait être la première fille dont Holden soit tombé amoureux, c'est pourquoi elle se sentait souvent avoir des droits sur lui que personne d'autre ne pouvait avoir et elle le faisait souvent remarquer. C'est pourquoi elle voulait attirer tous les regards du jeune homme ce soir, n'ont pas qu'elle cherche à le séduire à nouveau, mais elle savait que le nombre de ses conquêtes était plus qu'élevé et elle voulait montrer à toutes ces filles qu'elles ne pouvaient pas rivaliser, après tout depuis quand rivalise-t-on avec une Sheppard?! C'est donc vêtue d'un slim noir et d'un chemisier blanc légèrement transparent qu'elle fit irruption dans la demeure. La plupart des jeunes femmes s'étaient mis sur leur 31, aussi fit-elle presque tache avec son pantalon mais peu lui importait. Dès le premier coup d'oeil elle repéra Ely, en compagnie de Lou. La brunette décida donc de rejoindre ses deux amies, saluant les invités au passage mais évitant d'entrer dans les discutions pour ne pas s'attarder à leur côtés. Peu de personne lui semblait intéressantes ce soir, d'autant que des petits groupes s'étaient formés et qu'il y avait toujours des personnes qu'elle n'appréciait pas. Si à son arrivée London était agréable avec tous, elle avait de plus en plus de mal à afficher un sourire hypocrite, et ne faisait l'effort d'être de bonne humeur qu'avec les personnes qu'elle appréciait vraiment se fichant éperdument du regard des autres. Il fallait dire que cette période de l'année lui rappelait toujours de mauvais souvenir, et sa présence à Magnolia ne faisait que renforcer ce sentiment. une chance pour elle que Duncan soit présent à ses côtés sinon il y a bien longtemps qu'elle se serait enfermée chez elle pour ne plus sortir. Arrivant à hauteur des deux brunes London les salua d'une bise chacune, un immense sourire aux lèvres. La jeune femme ne savait pas trop si Lou serait présente à cette soirée, étant la première grosse soirée depuis le drame chez les Hamilton, c'est pourquoi elle voulait à tout prix que cette dernière évite d'y penser. Jettant un regard aux alentours elle se rendit alors compte de la présence massive de lycéen, Holden ne trainait-il qu'avec des gens plus jeunes?! Il ne lui fallu pourtant pas longtemps pour trouver un divertissement, Lou et elle appréciait toute deux Christian c'est ce qui les avait rapprochés mais avec le temps leur est arrivé un second point commun, elle détestait toutes les deux Katya, nouvelle petite amie du Livingstone. London ne connaissait cependant pas l'avis de Elisabeth sur la question mais elle ne s'attendait pas à la choquer pour autant.

- Hey Lou, qu'est-ce que tu dirais de passer un peu de temps avec Christian histoire d'énerver un peu Katya... Ely t'es des notre?!

Un sourire malicieux sur les lèvres la jeune femme dégraffa deux boutons supplémentaires à son chemisier laissant apparaitre un peu de dentelle tout en se dirigeant vers le petit groupe où se trouvait Christian. D'un regard en arrière elle invita ses amies à la suivre, se délectant de leur air amusé. Elle se jeta alors dans les bras du jeune homme qui se trouvait en compagnie de Andrew, un jeune homme qu'elle connaissait peu mais qui semblait intéressant, Orlane, une voisine avec qui elle jouait la fausse lesbienne, et Annie, une jolie rousse qu'elle ne connaissait que de vu. Elle déposa alors un baiser près des lèvres du jeune Livingstone sans le lâcher du regard.

- Tu m'as manqué Cricri d'amour! T'as pas le droit de me laisser sans nouvelle si longtemps...
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Christian Livingstone
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeDim 22 Mai - 18:25

    Sauvé par le gong, enfin par une intervention et en l’occurrence celle d’Orlane Beatle. Andrew n’aurait pas à s’expliquer tout de suite ou a commenter la personne qu’il venait de lui présenter, l’ancienne surveillante du lycée Sterling venait des les rejoindre en leur glissant une remarque sur le prétendu couple qu’ils formaient tous les deux. C’était devenu monnaie courante, et avec détachement le flemmard répondit.

    - Ouai, on discutait présentement de notre mariage à venir et de la maison au bout de la rue qu’on achètera quand on aura adopté nos trois gamins, et acheté un chien.

    Sourire en coin, Christian se resservis un verre tandis que la prochaine réplique de la demoiselle Beatle le visait plus particulièrement en invoquant son manque d’assiduité en cours. Gosh. Il n’avait pas envie que toutes les conversations tourne ce soir autour du peu d’enthousiasme et de volonté qu’il mettait quand à l’entreprise d’aller régulièrement en cours. Mais bon, sur son front on avait collé l’étiquette « branleur » et à vrai dire, il ne faisait rien – et ne comptait rien faire – pour changer ça. Orlane avait toujours été la première à lui lancer des petites phrases piquantes sur le sujet, et lui les lui renvoyait d’une toute autre façon.

    - Et toi, toujours lesbienne ?

    C’était tellement tentant de la charrier sur ce sujet… Quand elle faisait encore partie de l’administration de Sterling High et qu’il était certainement l’élève dont elle avait reçu le plus grand nombre de visites à cause de ses innombrables absences, il ne se privait jamais de glisser quelque remarque à ce propos. Ça rendait Orlane folle, et lui, ça l’amusait.

    Et la, nouvelle entré en scène, et pour le coup, Christian aurait bien voulu filer façon… Façon quelque chose, ne retenir que l’idée qu’il se serait bien barrer. Annie McCormick les avait rejoint, saluant les trois personnes autour d’elle avant de ne lancer la fameuse question « Alors quoi de beau ? ». Est se que les gens pouvaient commencer une conversation autrement ? A priori non… Mais ils se foutaient souvent de la réponse, qui se résumait bien souvent à « pas grand-chose, et toi ? », c’est juste qu’ils se sentaient tous obligé de passer par là. Non par contre la suite présageait le pire…

    - Ouai, ça faisait un moment effectivement McCormick.

    Se contenta t’il de dire sans grand entrain. Bordel non, ça craignait vraiment. En fait il avait reprocher a Andrew de lui cacher un truc qui n’existait peut être même pas avec Naya, alors que lui-même n’était pas clair avec Annie. Le con. Il n’aimait vraiment pas la tournure des événements, ce côté « je joue un rôle dans les feu de l’amour » il le vivait tout sauf bien.

    Et la parade des donzelles en chaleur n’était pas terminée…

    La poitrine de London se ramenait déjà. Oui la poitrine, parce qu’il n’y avait que ça a regarder à ce moment précis de l’histoire. Elle avait au préalable déboutonner deux boutons de sa chemise et s’avançait vers lui comme les bimbos d’alerte à Malibu courrait sur la plage. Ralentit non intégré. C’était un complot ? Ils s’étaient tous passé le message ? Bordel lui qui pensait passer une soirée tranquille avec Andrew… !

    - Wah les gens vous vous êtes donné rendez vous ou quoi ? Arrêtez de me mettre la pression !

    Lâcha t’il alors que London venait de déposer une bise tout à fait calculé près de ses lèvres et qu’elle lui reprochait déjà de ne plus lui avoir donné de nouvelles depuis un moment.

    Un moyen de les faire partir. Vite. Embrasser Andrew ? … Pourquoi c’était le premier truc qui lui était venu en tête ? Non il fallait vraiment qu’il embarque son meilleur pote loin de cet amas de filles qui s’étaient agglutiné autour d’eux, de toute manière elles n’étaient pas idiotes au point de ne pas voir que ça allait sérieusement commencer à le gonfler ?

    - Bon Andrew euh…

    Il s’était tourné vers lui et le consultait du regard genre « Par ou on passe, qu’elle arme on utilise pour se frayer un chemin, qu’elle attaque, quand, ou, comment ? » sans trop savoir comment dire ça, mais pour qu’il comprenne aussi que c’était avec lui qu’il voulait passer la soirée, et qu’en aucun cas l’invasion qui avait suivis faisait partie des plans.
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MessageSujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn There is still no cure for the common birthday.  ~John Glenn Icon_minitimeLun 23 Mai - 15:33

    A ce moment précis, Drew avait l'impression d'être un des personnages de destination finale, quand ils réalisent qu'une malédiction s'est abattue sur eux : il avait peur. Peur que Christian lui demande s'il connaissait Naya, peur de devoir lui dire la vérité, peur que Christian le renie à tout jamais, veuille rompre et jette sans regret tous les cadeaux que Drew avait pu lui faire. Certes, le jeune homme y allait peut-être un peu fort, mais en attendant, il priait pour que n'importe quoi leur fasse oublier cette fille : une pluie de météorites s'abattant subitement sur le quartier, un loup qui soufflerait sur la maison de Holden afin qu'elle s'envole et que ledit loup puisse manger tout le monde, Katya qui monterait sur la table basse pour gueuler "je suis vierge, j'ai peur des zizis, et alors ?" ... Mais Dieu préféra envoyer Orlane pour aider Drew. Piètre consolation !

    Orlane ▬ Alors les tourteaux, ça roucoule dans votre nid ?

    Drew se demanda d'abord pourquoi Orlane les qualifiait de crustacés décapodes souvent comestibles. Ah moins que par tourteau, elle n'entendait cette pâtisserie régionale, à base de fromage blanc de vache ou de chèvre, originaire du sud des Deux-Sèvres en Poitou-Charentes, que OSS 117 cite d'ailleurs pour qualifier un instrument de musique qui lui servira à chanter Bambino. A moins qu'elle ne pense aux résidus solides obtenus après extraction de l’huile des graines ou des fruits oléagineux, qui représentent généralement de 50 à 75 % de la masse des graines. Drew resta perplexe. Puis, quand Christian se mit à répondre à la jeune fille, Drew comprit enfin qu'elle avait voulu dire tourtereaux. Quoi qu'il en soit, Orlane nous aura permis ce soir d'envisager les diverses significations du mot tourteau.

    Christian ▬ Ouais, on discutait présentement de notre mariage à venir et de la maison au bout de la rue qu’on achètera quand on aura adopté nos trois gamins, et acheté un chien.

    Un chien, comment ça un chien ? Drew n'était pas du tout d'accord avec ça. Les chiens, ça bave partout, faut leur donner tout le temps à manger, ça te bousille ton courrier ... Et un chien, faut le sortir pour qu'il fasse ses besoins ! Alors bien sûr, au début, sortir un chien c'est amusant, c'est rigolo ... mais au final, qui est-ce qui finira par devoir se taper ce sale boulot ? C'est bibi ! Alors non, Drew ne voulait vraiment pas de chien.

    Andrew ▬ Ah non ! J'ai déjà dit pas de chien ! En peluche si tu veux, empaillé à la rigueur ... mais pas de chien ! C'est encore pire que les gosses, alors déjà que t'en veux trois ...

    Non, Drew n'allait pas laisser Christian imposer ses décisions, non mais oh ! Quand avait-on décidé que Drew serait le sexe faible du couple hein ? Drew ne s'en souvenait pas, mais il n'eut pas le loisir de s'interroger plus longtemps sur ce point.

    Christian ▬ Et toi, toujours lesbienne ?

    Vous voyez Nelson, dans The Simpson, et son célèbre Ahah ? C'est exactement ce que fit Drew à ce moment là, pointant bien du doigt Orlane, fier de son meilleur ami. Ils aimaient bien charrier Orlane, elle aimait bien les charrier, c'était purement amical. Cependant, Drew commençait à trouver cela lassant, et ils avaient mieux à faire ce soir que de lancer deux ou trois pics à madame je-préfère-brouter-des-minous-que-sucer-des-Mister-Freeze. Mais à peine vit-il Annie s'avancer vers eux qu'aussitôt il regretta avoir pensé cela.

    Annie ▬ Salut Christian, salut Andrew et salut Orlane.

    Andrew était à l'affut de la moindre parole bizarre, floue et approximative qu'Annie pourrait prononcer. Aussi, quand elle ouvrit la bouche, il s'appliqua à analyser chaque mot qu'elle prononçait. Néanmoins, il ne remarqua rien de spécial dans ses paroles, mais il ne se doutait pas une seconde qu'en fait, le pire restait à venir ...

    Annie ▬ Alors ! Que racontez vous de beau ? Au fait Christian, ça fait longtemps qu'on s'était pas vu, j'espère rattraper le temps perdu !

    De la pitié, ce fut ce que Andrew ressentit pour son ex à cet instant précis. Soit elle cherchait à le rendre jaloux, à le faire enrager, et c'était pathétique. Soit elle était en rûte et cherchait le premier mec qui pourrait y tremper son biscuit, et c'était tout aussi pathétique. A cet instant précis, il avait envie de crier "Non, je ne suis pas sortie avec cette fille" car il se demandait vraiment quelles qualités il avait pu lui trouver. Il laissa échapper une expression de dégoût, comme les enfants devant une assiette d'épinards. Heureusement, Christian ne le déçut pas et eut une réaction appropriée.

    Christian ▬ Ouai, ça faisait un moment effectivement McCormick.

    Dans son fort intérieur, Drew jubilait. Annie devait être verte, bien fait pour elle. Mais il n'eut pas le temps de se réjouir plus longtemps, une autre poule vint faire sa danse de la séduction.

    London ▬ Tu m'as manqué Cricri d'amour! T'as pas le droit de me laisser sans nouvelle si longtemps...

    Décidément, Christian avait du succès ce soir ! Drew commençait même à être un peu jaloux. Pas qu'il doutait de ses capacités à attirer la gente féminine, non Drew n'avait aucun problème de ce côté. C'était juste que d'habitude, c'était lui le mec du couple qui draguait les filles. Là, Christian n'avait même pas à les draguer : elles venaient comme Winnie vient vers un pot de miel. Drew aurait bien vérifié si son ami n'avait pas de miel coller au c*l, comme le dit souvent l'expression, afin de voir si ce n'étaient pas pour ça qu'elles s'agglutinaient comme ça, mais ce geste aurait pu être mal interprété. Il se contenta donc de regarder toutes ces femmes se battre pour un seul trophée : Christian Livingstone. Décidément, les choses avaient quelques peu changé depuis qu'il était parti ...

    Christian ▬ Wah les gens vous vous êtes donné rendez vous ou quoi ? Arrêtez de me mettre la pression !

    Au moins, il semblait être aussi agacé qu'Andrew, c'était déjà ça. Drew attendait donc qu'il trouve une solution pour mettre fin à cette mascarade. Seulement Drew vit que Christian se tournait dangereusement vers lui, et il n'aimait pas trop beaucoup ça du tout. C'était son problème, il ne pouvait pas l'impliquer dedans !

    Christian ▬ Bon Andrew euh…

    Andrew ▬ Tu veux que je me casse pour te laisser seul avec toutes jeunes donzelles attirées par ton corps ?


    Il fit mine de réfléchir, une de ses arcades se redressa, il pointa le regard vers le haut puis se frotta le menton. Il ne manquait plus qu'une pipe au bec, un béret à carreaux, et Drew aurait pu s'exclamer "Élémentaire mon cher Watson !" sans problème.

    Andrew ▬ Je suis désolé, ça ne va pas être possible, t'es à moi pour ce soir !

    Et là, sans crier gare, Drew passa son bras droit autour de l'épaule de Christian, et se fraya un chemin pour sortir de ce groupe de poules assoiffées de sperme Christian, sans se préoccuper de ce que pouvaient penser lesdites poules. Que diable, qu'elles aillent se trouver un autre coq !

    Andrew ▬ Désolé, je pouvais pas te porter et m'envoler loin d'ici, mon costume de Superman est encore au pressing. Il marqua une pause, le temps de boire une nouvelle gorgée de son jus d'orange puis, une fois qu'ils furent à quelques pas de toutes les filles, il reprit la parole. Par contre, il va falloir que tu m'expliques c'est quoi toutes ces filles qui s'agglutinent autour de toi ! Pourquoi elles sont toutes à se plaindre de ne pas te voir ou je ne sais quoi ?

    Enlevant son bras des épaules de Christian, il le regarda alors avec insistance. Non, il n'allait pas clore cette conversation sans quelques explications. Oui, il avait conscience que quelques minutes avant, il avait prié pour que Christian ne lui en demande pas, des explications. Mais et alors ?
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