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| There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn | |
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Auteur | Message |
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J'appartiens à Christian Livingstone ♥
Nombre de messages : 15815 Etudes/Metier : 4ème année de Business & Finance Love : Lou Huntington 4ever Humeur : peaceful Inscription : 27/04/2011
| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Jeu 23 Juin - 10:34 | |
| Andrew avait peur. D'une part parce que Naya l'intimidait, qu'il avait l'impression d'être un petit garçon qui a volé un cookie et que sa mère s'apprêtait à gronder. Mais aussi parce que Naya savait quelque chose sur lui qui ne devait surtout pas être révélé. Elle était avec lui à Londres, elle savait ce qu'il y avait fait là bas. Or, il s'était appliqué, depuis son retour, à ne pas se vendre, à expliquer à tout le monde qu'il y avait effectué une année d'études. Naya le trahirait-elle ? Oh, elle en était fort capable. Enfin ... elle n'avait pas l'habitude d'être une garce avec ses amis, il la connaissait suffisamment pour être sûr de cela. Seulement Andrew l'avait trahi en omettant de lui parler de son retour. Il savait qu'elle n'appréciait pas du tout, il le lisait dans son regard. Que pouvait-il faire ? Qu'attendait-elle de lui ? Il n'arrivait pas à trouver réponse à sa question quand, tout à coup, Naya lui tomba dessus et l'embrassa. L'aurait-elle fait exprès ? Difficile à dire.
Naya ▬ Oups désolé ma bouche a dérapé.
Andrew ▬ Mouais ... Avoue juste que la mienne te manquait !
Andrew ne savait pas quelle attitude adopter. Devait-il la suivre dans ce jeu ? Non, il savait qu'elle voulait d'abord qu'il lui explique pourquoi il était là. Il savait qu'elle ne tirerait pas un trait comme ça là dessus. Effectivement, elle ne tarda pas à aborder le sujet.
Naya ▬ Alors comme ça on est pas anglais ? Dire que je m’étais vantée auprès de mes copines que je m’étais faite un bel Anglais ! Ca casse le mythe là !
Andrew ▬ Bah ... Tu t'es fait un bel Américain, c'est bien aussi non ? Il tenta un sourire un peu crispé, histoire de détendre l'atmosphère. Sérieusement, je suis désolé Naya. J'aurais dû te raconter que je revenais chez moi mais ... J'ai décidé ça si vite. J'en avais marre de Londres, seul, mon ancienne vie me manquait et puis ... il baissa la voix pour qu'on ne l'entende pas, j'étais prêt à revenir.
Il s'était approché d'elle pour que personne d'autre n'entende leur conversation. Une fois sa phrase finie, il se redressa, attendant la réaction de Naya. Peut-être se contenterait-elle de cette explication. De toute façon, il ne voyait pas ce qu'il pouvait faire de plus. Il n'était pas à l'aise, il stressait un peu, ne pouvant s'empêcher de la fixer, de guetter la moindre réaction, la moindre parole, de la jeune fille. Mais soudain, il capta une autre conversation. C'était Annie. Elle avait qualifié Naya de trainée et Andrew aurait juré qu'elle l'avait fait exprès. Elle avait parlé si fort que Naya et lui avaient été forcés de l'entendre. Il savait que son amie s'énerverait, forcément, au moins un peu. Et il avait peur. Annie avait sûrement dit ça par jalousie, après les avoir vu s'embrasser. Si Naya allait se fighter (wesh !) avec Annie, il risquait forcément d'être au coeur de leur conversation et, par inadvertance, Naya pourrait très bien dévoiler quelques trucks ...
Andrew ▬ Ne l'écoute pas s'il te plaît ... Tu sais qu'elle a dit ça exprès.
Du moins, c'est ce qu'il espérait. Après tout, peut-être qu'ici, Naya avait changé, qu'elle n'était plus la Naya qu'il connaissait et qu'elle était plus ... frivole. Tout à coup, il réalisa une chose : était-il attiré par toutes les traînées du quartier ? Annie, Naya ... Si c'était ça, il avait vraiment des goûts bizarres. Il se surprit alors à se demander qui serait la prochaine fille "de ce genre" avec qui il sortirait, mais réalisa ensuite que ce n'était vraiment pas le moment d'y penser.
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| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Jeu 23 Juin - 16:18 | |
| Agenouillée près de Julian qui était inconscient, je ne cessait de jeter des coups d'œil vers Holden afin qu'il me réponde. Je voulais savoir ce qui c'était passé mais le blondinet ne répondait pas. Il était comme en transe, certainement trop choqué pour pouvoir aligné trois mots. Et en plus, il était d'accord qu'on emmène Julian, mais il me laissa seule !
Je me sentais vraiment conne d'un coup. Là, tout seule par terre à tenter de faire en sorte que mon ami ouvre un œil ou donne un signe de vie, les curieux se pressant autour. Ce que ça pouvait m'énerver de voir tous ces idiots qui ne bougeaient pas.
- Aidez moi ou cassez vous bordel de merde !
Leur hurlais-je, un peu trop sur le ton de la colère. C'était en fait de la colère mélangée à de la peur. Oui, j'avais peur pour celui que j'appelais mon bébé, ce si bel homme mal en point. Je ne voulais pas qu'il lui arrive du mal et je n'avais pas pu être présente pour le protéger. Si jamais c'était Jay qui l'avait agressé ? Cette idée me donnait la nausée. J'adorais le chanteur, vraiment, depuis la première fois où je lui avait fait une petite blague de plan drague. Mais s'il s'en prenait à Julian, il il ne valait mieux pas qu'il me recroise de si tôt !...
Toujours penché sur le jeune King, je le calait contre moi afin qu'il ai une position plus confortable. Cherchant autour de moi une aide quelconque, m'apparut soudain l'homme de la situation. Adrian O'Conell. Malgré le fait que ce jeune homme me fasse l'effet d'être trop imposant par son statut, je le savais ami avec Ju' et avait besoin de son aide. aussi, je l'appelais.
- Adrian !! Aide moi s'il te plaît !! le suppliais-je.
Je n'avais pas honte de quémander de l'aide. Je voulais sortir d'ici avant qu'un autre drame se produise mais seule, je ne pouvais porter mon ami sur tous le trajet jusqu'à chez lui. Le plus riche de la ville vint alors précipitamment pour me poser les mêmes questions que j'avais posé à Holden.
- Je ne sais rien, je suis arrivé quand il était déjà à terre ! Il faut qu'on l'emmène chez lui.
S'il n'avait pas été là, je ne sais pas ce que j'aurais fait. Adrian accepta de m'aider à sauver notre meilleur ami commun. Il prit soin de se positionner à côté de lui, semblant lui parler sans que je comprenne, avant que nous le soulevions par les épaules. Il n'allait pas tenir, mais il fallait le hisser comme il faut pour partir sans trop de remue ménage. |
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| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Jeu 23 Juin - 16:51 | |
| La fête battait son plein et les gens admirait le roi de la soirée étrenner son jeu de danse. Il me l'avait servit à maintes reprises lors de nos soirées arrosées ! Cassandra semblait aller mieux mais toujours inquiète. A la fin de la danse entre Holden et Jay, je lui signalais que j'allais chercher à boire et qu'elle m'attende là ou qu'elle sorte si ça lui disait de prendre l'air avec moi au bord de la piscine. Il faisait chaud dans cette grand pièce d'ordinaire bien moins remplie. Les jeunes, l'alcool et la musique, ça rendait de suite plus important. On étouffait un peu et j'étais bien heureux de trouver le buffet des boissons. Me servant un verre de punch, je vins à entendre des gens hurlaient. L'ambiance avait changée tellement vite que je n'avais pas compris de suite ce qu'il se passait. Je reconnu la voix si insupportable de Jay Black et, étant près de la baie vitrée, je le vis pousser la sœur de Cameron dans la piscine. Éberlué, je me précipitais au dehors pour m'assurer que la jeune Mccormick était entre de bonnes mains, croisant au passage le chemin de Jesse Gallagher qui rentrait à l'intérieur.
- A chaque fois que Black met les pieds quelque part, on se retrouve avec des blessés sur les bras ! soupirais-je pour moi-même, sentant des regards approbateur.
Un bruit de verre se fit entendre alors que je pensais à Cassandra resté à l'intérieur. Il fallait vraiment penser à calmer ce crétin avant qu'il n'y ai un mort ! L'entendant hurler - l'idiot du numéro 7 - je restais un peu en retrait en apercevant son armoire à glace d'ami le féliciter. Je les suivis des yeux alors qu'ils sortaient, cherchant des yeux les gens le plus susceptibles de subir la colère de Jay. Annie n'avait à ma connaissance jamais eut de problèmes quelconque avec le chanteur, mais il sortait d'un asile alors on pouvait s'attendre à une rechute de ses délires mentaux. J'en toucherais mot à certaines personnes capable de le faire enfermer pour de bon. Ce type était trop dangereux pour la société.
J'allais le suivre au dehors, quand ne voix peu connue de mon oreille m'interpella. tournant la tête je baissais les yeux pour découvrir la petite lesbienne du quartier affalée par terre avec Julian King, mon grand enne-ami de toujours. Cette fête dégénérait complètement ! Je n'avais pas vraiment envie d'appeler les secours une nouvelle fois. Celle chez les Hamilton m'avait suffit. Me frayant un chemin jusqu'à Orlane, je pris la même position agenouillée qu'elle.
- Qu'est-ce qui s'est passé ? Il va bien ? Jule' ça va ? Jule' ??
Levant les yeux vers une jeune femme que je n'avais jamais vu en panique, je gardais mon sang-froid. Il n'y avait que ça à faire, il ne valait pas la peine de s'énerver ou autre de toute manière, le mal était fait. Si je tenais ce con de Black, il passerait un sale quart d'heure, qu'il y est son gorille ou non. Je saisis la jeune femme par les épaules pour la calmer.
- Orlane, écoute moi. On va prendre Julian tous les deux, et on va l'emmener ok ? Ne t'en fais pas, il est pas aussi chiffe mole qu'il en à l'air, il se remettra !
Lui dis-je avec un sourire pour la décrisper. On irait pas loin si elle se raidissait à chaque gémissement. J'avais pour habitude de me battre avec Julian, je savais qu'il tenait le choc et n'avait pas envie de m'inquiéter de trop pour lui. Il irait bien, même s'il prenait son temps pour se remettre. Chose négative en revanche, c'était cette balafre à la joue. Il fallait le désinfecter au plus vite au cas où. Je passais à côté de la tête de mon ami, lui murmurant au passage un petit Tu nous claque pas dans les doigts connard, je compte sur toi. prouvant sans le reconnaître que la situation me touchait bien malgré mon visage impassible. Je n'avais pas envie de perdre ce mec si gentil et si drôle quand il était en colère contre moi ! Comptant jusqu'à trois pour donner le départ, nous arrivâmes à le soulever de terre, ce sac à patate, et à commencer difficilement à marcher. Le plus dur serait de se faufiler au travers des invités, mais les charmant "bougez-vous" que la jolie gay lâchait suffisait à faire s'écarter les invités, nos amis. Et nous finîmes par atteindre la sortie du numéro 23. Merci Holden pour cette soirée ! Je songeais à revenir ensuite afin d'aider mon copain d'école à ranger des trucs et estimer l'ampleur des dégâts. |
| | | Je fais des commérages à propos des voisins
Nombre de messages : 641 Etudes/Metier : Fleuriste Love : Les plantes mais en couple avec Sam Humeur : Jovial Inscription : 28/01/2011
| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Jeu 23 Juin - 19:26 | |
| La situation devenait parfaitement ridicule à mes yeux. Holden s'énervait tout seul parce que moi et Jesse avions voulu tester la solidité du mobilier de Mme Turner, gratuitement en plus ! Mon amant continuait de plonger son couteau dans le coeur de notre hôte qui après ma réflexion m'avait répliqué froidement que ce bureau était le sien. Ca me donnait envie de rire tiens...égoïste ! J'avais très envie de balancer le petit couple à la population du quartier qui serait ravie de cette nouvelle forte croustillante. Alors Holden avait intérêt à se calmer sur ma personne si il ne voulait pas être la honte de sa petite famille bourgeoise. Pour le moment le mignon blondinet fixait Jesse d'un regard de tueur qui en disait long sur ses intentions futures. Hé oh pas touche ! Mon amant après avoir félicité Holden de sa belle prise embrasse ce dernier furtivement avant de disparaitre. je ferais mieux de faire de même et j'avais plus rien à faire ici de toute façon. Je suivit donc les pas de Jesse passant à côté de la star de la soirée en lui soufflant :
- Oublie pas de ranger...!
Je ne faisais que redire les paroles de Kennedy qui était tout à fait logique. Sa mère ne serait pas heureuse de voir tout ce bazar dans sa pièce de travail. Je lui fis un clin d'oeil et sortit donc, remarquant Kennedy non loin à qui je fit un sourire avant de lui tourner le dos. Je rejoignit Jesse que j'attrapai par le poignet pour lui voler un baiser.
- Je rentre, on se voit plus tard ?
Cette idée m'avait véritablement frustrée et l'envie de faire la fête n'était plus présente. Fête qui apparemment avait tourné au désastre vu l'agitation qu'il y avait en bas.
- De toute manière...Je crois bien que c'est terminé
Rajoutai je avec un petit sourire au coin. |
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| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Jeu 23 Juin - 19:38 | |
| Remettant sa veste de manière correct en quittant la salle, Jesse avait la même sensation étrange qui l’animait quand il quittait la scène, pourtant se qui venait de se jouer faisait partie de la réalité. Alors qu’il se tournait pour voir se que comptais faire Duncan, il croisa le regard de Kennedy Smith dissimulé dans la pénombre. Assise la contre le mur, visiblement très mal, il se surprit à prendre la jeune fille un peu en pitié. Il ne savait après tout si cette aventure avec Holden était sérieuse, cela pouvait s’agir la aussi bien de quelque chose qui durait depuis leur arrivé que la première fois que « l’incident » survenait. Enfin en tout les cas, elle était infidèle a son très séduisant mari…
- Je ne dirais rien je t’assure.
Lui adressa t’il sincèrement alors qu’elle fixait misérablement le tapis. Il ne voyais pas quel joie il aurait pu tirer de cette découverte, c’était leur affaire. Si il s’agissait d’un ennemie ou autre, il n’aurait certainement pas hésité mais la… De se qu’il savais de Mark Smith, ils avaient tout intérêt à taire cette histoire. Le premier fils de Victoria Turner était un mari jaloux et ce n’était un secret pour personne. Et puis il ne pouvait blâmer cet adultère quand lui-même se demandait si il pourrait rester des années fidèle. Non décidément il n’avait que faire de cette histoire qu’il tacherait mettre de côté.
Il apprêtais à repartir quand une pression sur son poignet le retint, se tournant vers Duncan celui-ci l’embrassa avant de lui annoncer qu’il partait, lui proposant à l’occasion de se voir plus tard. Jesse approuva ces dires en hochant la tête avant de ne passer la main sur la joue du fleuriste et de ne l’embrasser à nouveau.
- Et vite, parce que je ne compte pas rester longtemps avec cette frustration en mémoire.
Esquissant un petit sourire, l’agitation de l’étage d’en dessous attira son attention. Il était temps d’aller voir se qu’ils avaient loupé. Alors qu’il descendait les escaliers, lui revint alors en tête Jay Black et l’état de fureur dans lequel il l’avait vu la dernière fois, et Orlane qui avait décidé d’aller le raisonner… Il s’imagina alors le pire, attrapant le bras d’un invité à tout hasard il lui demanda anxieux se qui venait d’arriver. La personne l’informa rapidement qu’il y avait eu une bagarre entre Jay et Julian et qu’Adrian et Orlane venaient de le ramener chez lui. Jay, encore lui… Et Julian. Sa gorge se serra tandis qu’il demandait plus de détails mais son interlocuteur haussa les épaules et repartis avec ses amis. Cette fête était le pire des ascenseurs émotionnels, de nouveau l’anxiété le gagnait et il se surprit à s’inquiéter sincèrement pour Julian, et ce malgré la rancœur qu’il nourrissait contre lui depuis la fin de leur histoire. Décidément il ne se reconnaissait plus ce soir, ça devenait n’importe quoi. Il n’avait finalement plus qu’une envie : quitter les lieux. La fête était finis de toute manière, et il était inconcevable pour lui de rattraper l’affaire.
Sortant à l’extérieur, il discerna la silhouette de Naya dans le jardin et la rejoint. Elle était toujours avec Andrew, mais il ne voulait pas filer comme ça sans la prévenir, surtout qu’il était convenu qu’ils se retrouveraient à la fin de la soirée. Adressant un sourire au garçon, il se tourna vers sa meilleure amie avant d’annoncer.
- Je vais rentrer moi.
Il ne savait pas se qu’elle comptait faire, si elle restait encore un petit moment par ici ou si elle rentrait de même, lui en tout les cas jugeait qu’il était temps pour lui de s’éclipser.
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| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Ven 24 Juin - 10:14 | |
| LOU ▬ Tu n'as pas encore eu l'honneur de rencontrer Naya Freeman ? Hum, ouais c'est tout elle ça.
Je secoue la tête à la négative. J'avais vu. Je sais que je l'ai dans mes contacts FB mais elle est comme parmi tant d'autres qui m'ont ajouté mais que je ne connais pas, voir carrément pas du tout. Sûrement ajouté sur facebook car je fais parti de Bones & Skins mais le reste, rien à péter de moi. C'est arrangeant dans un certain sens, car moi aussi c'est pareil.
LOU ▬ Non, je préfère largement rester un peu à l'écart. Je compte pas trop tarder en plus. Je me tâte juste : est-ce que je vais sauver Andrew des griffes de Naya d'abord ?
J'émets un petit rire avant de boire une gorgée de mon verre. Mon pied bat la mesure d'une des mélodies qui s'échappe de part et autre du jardin. Une vraie cacophonie.
SHAWN ▬ Effectivement, il attend peut-être que ça qu'on aille le sauver. Soldat Huntington, à votre poste
Je dis en plaisantant pas très certain d'avoir envie de me mêler de ce qu'il y a entre la Naya et Andrew. Autour de nous, c'était un peu le cirque et une envie de me marrer me prenait comme l'envie de m'en aller. Ne sachant pas vraiment ce que je fous ici. On dirait presque les soirées où mes petites soeurs vont. Puis enfin, la femme de mon ami Mark apparaît. J'ouvre la bouche pour la saluer quand Holden me coupe la parole d'une certaine façon et l'embrasse à pleine bouche. WTF ?!! Je reste cloué sur place, le regard sur eux avant de détourner le regard, franchement mal à l'aise. C'est quoi ce bordel ? Holden, il abuse là. C'est un peu sa belle-soeur. Quel con. Je trouve pas ça drôle du tout. C'est une femme mariée, merde quoi. Pour blaguer ou pas, ça se fait trop pas
SHAWN ▬ Si si. Je crois qu'on a vu la même chose et apparemment on a la même réaction. Oh bordel, c'est quoi c'te merde ?
Je suis le regard de Lou et il tombe sur une jeune rousse qui sort de la piscine toute habillée. Je ne peux m'empêcher de rire doucement dans ma barbe tellement la scène est comique et qu'elle a l'air glorieuse la jeune fille. Si tout le monde doit finir à l'eau, moi je me propose bien de jeter tout le monde
SHAWN ▬ Ahahahaha. Ca te dit de piquer une tête habillée aussi ? Je dis en plaisantant avant de vider mon verre d'une traite. Je me penche vers la table pas très loin de nous pour me resservir un verre. Je penche la tête vers mon interlocutrice.
SHAWN ▬ Je te sers un truc ou t'as encore de quoi te désaltérer dans ton verre ?
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| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Sam 25 Juin - 16:03 | |
| Je me retrouvais seul dans le bureau de ma mère alors que Duncan passait à son tour la porte. Je me retournais vers le bureau contre lequel je m'appuyai les mains bien à plat écartée de chaque côté. Quel bordel. À l'aube de mes 24 ans ma vie partait réellement en couille. Les mauvaises choses commençaient déjà à me tomber dessus, maintenant restait à savoir si ça allait continuer ou si cela n'était que passager. Je soufflai longuement avant de ramasser les affaires de ma mère qui avaient rejoint le sol. J'ordonnai tout sur le bureau de manière impeccable. Jettant un rapide coup d'oeil par la fenêtre. Beaucoup d'invités était partis et beaucoup filait en ce moment même. La fête était terminée.
Je finis de ranger avant de M'en aller au-dehors de la pièce. Je trouvai là Kennedy assise contre le mur. Jr me dirigeais vers elle. Je ne savais pas trop quoi dire. Après tout, c'est moi qui l'avait poussée à tromper mon frère. Ma belle-soeur était une femme fidèle et aimante. Je n'avais agit que part égoïsme et à présent je le regrettai. Je l'avais mise dans le petrain et avait finallement nourris de forts sentiments pour elle. La retrouvant souvent dans la maison vide, elle m'apportait de la compagnie et de la joie. Elle était devenu une soeur presque pour moi si ce n'est les ebats auxquels nous nous adonions et qui n'avaient rien de fraternel. Je m'agenouillai devant elle. Elle semblant si désespérée. Je n'osai pas la toucher, plus à vrai dire. Je me gardai donc de trop m'approcher parvenant néanmoins à lui parler:
"Kenny... Je suis désolé pour tout. Je ne peux pas revenir en arrière et surtout je ne peux pas leur faire oublier ce qu'ils ont vu. Je vais être franc avec toi. Je n'ai pas confiance en eux et surtout en Jesse. Seulement si Mark venait à apprendre quelque chose je prendrai mes responsabilité et t'innocentrai en quelque sorte à ses yeux."
Que pouvais-je faire de plus sinon m'engager à la protéger. J'étais clairement responsable et il fallait que je répare mes erreurs. Je touchai son genoux du bout du doigt avant de le retirer, doucement je lui demandai:
"Que vas-tu faire à présent?"
D'autres invités m'attendaient encore en bas mais si ma chère Kennedy voulait que je reste près d'elle pour ne pas qu'elle reste seule, je devrai m'y conformer... |
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| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Sam 25 Juin - 17:49 | |
| Kennedy vit Jesse et Duncan s'embrasser devant elle avant de s'enfuir en bas. Le frisé lui avait promis qu'il ne dirait rien à personne. Tu parles. Elle ne le connaissait pas suffisamment pour être certaine qu'il tiendrait ses promesses. A vrai dire, elle avait du lui dire bonjour une fois à la dernière fête entre voisins, et encore.. C'était sympa pour apprendre à connaître quelqu'un, de se retrouver à poil dans la même pièce que lui. C'est clair que ouais, ça crée des liens.. N'importe quoi. Où avait-elle eu la tête, sérieusement? Elle soupira, puis vit Holden s'accroupir près d'elle. Elle aurait préféré rester seule. S'il se mettait à lui parler, elle allait continuer à pleurer. Si personne ne venait la voir, elle sécherait ses larmes plus facilement. Mais en quelque sorte ça lui apportait un peu de réconfort de voir qu'il ne s'en foutait pas totalement d'elle, et qu'elle n'était pas qu'un simple objet sexuel pour lui. Enfin, c'était beaucoup dire, ils ne l'avaient fait qu'une fois. Une fois et demi du coup, puisqu'il ne s'était rien passé ce soir, même si l'intention avait été là. Elle leva finalement ses yeux, jusqu'alors baissés, vers lui, et lui fit un regard de chien battu. Elle se sentait nulle.
« J'espère vraiment qu'il n'en saura rien, sinon je t'en voudrai pour toujours. »
Lui dit-elle d'une voix faiblichonne. Elle disait ça, mais au fond elle ne savait pas si elle en aurait le courage vraiment. Car si Holden la menait sur le mauvais chemin, il était au fond un allié de taille pour elle. Surtout lorsqu'ils étaient seuls. Il la conseillait, la chouchoutait, la consolait surtout. Car il savait combien son malheur était grand, et il n'avait qu'une envie, celle de l'aider. C'était l'impression de Kennedy à l'égard de son beau-frère. Il était un ami, pour elle. Elle espérait que ses sentiments fraternels étaient réciproques, et que cette amitié ne fonctionnait pas que dans un seul sens. Combien de fois par le passé avait-elle été déçue par des gens qu'elle croyait être ses amis et qui en fait se servaient d'elle, se fichaient éperdument d'elle? Kennedy avait désormais du mal à faire confiance aux gens. Mais quand elle fait confiance, elle s'abandonne. Elle confie tout, elle se livre à l'autre sans méfiance aucune. Et c'est ce qui lui avait joué des tours de nombreuses fois jadis.
« Je ferai mieux d'aller ranger mes affaires. »
Conclut-elle sèchement en se levant sans croiser le regard d'Holden. Elle se dirigea vers sa chambre, mais au seuil de la porte, elle s'arrêta, et sans se retourner ordonna d'une voix forte:
« Tu pourras dire à tes invités qu'ils rentrent chez eux. J'en ai assez, je veux me reposer, maintenant. La fête est finie. »
Puis elle s'engouffra dans sa chambre avant de refermer la porte derrière elle. Elle espérait qu'Holden ne prenne cet ordre pas trop mal. Elle avait juste envie de dormir et de plonger dans ses rêves à présent. Au moins, dans ses rêves, elle pouvait s'évader et rêver d'ailleurs. C'était triste mais pourtant bien réel. La jeune femme se demanda à quelle heure son mari et sa belle-mère allaient bien pouvoir rentrer. Tout en se plongeant dans ses songes, elle se pencha sous le lit pour ramasser ses affaires. Elle défroissa un peu les siennes avant de les vaporiser de parfum à la violette et de les plier dans son armoire. Elle attrapa les vêtements d'Holden, ainsi que le foulard de Victoria. Elle alla ranger tout ce petit monde à sa place, et revient quelques minutes plus tard dans sa chambre. Maintenant, Kennedy avait envie de s'endormir tout habillée et maquillée, mais son mari allait trouver cela chelou. C'est pourquoi elle prit sur elle et fit un effort surhumain pour se changer, elle était maintenant vêtue d'un short en coton et d'un petit débardeur, puis elle se détacha les cheveux qu'elle peigna, et se démaquilla avant de se vaporiser le visage d'eau rafraîchissante. Enfin elle pouvait aller dormir. La musique résonnait encore dans toute la maison, mais elle était si fatiguée qu'elle s'endormirait assez vite. En effet, la jeune femme trouva le sommeil quelques minutes seulement après s'être allongée dans le lit conjugal.
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| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Ven 1 Juil - 20:19 | |
| Je venai de quitter le bureau de ma mère, apercevant Kennedy, je m'étais accroupi auprès d'elle et avais tenté de la rassurer. La jeune femme ne me regarda pas. Elle coupa court à la discussion, disant qu'elle ferait mieux d'aller ranger ses affaires. Je me relevai, m'écartant pour la laisser passer. Kennedy se rendit vers sa chambre, puis s'arrêtant un instant elle m'ordonna de clore la soirée. Je ne répondis rien, la laissant se retirer dans sa chambre. Je m'en detournai, retournant vers les escaliers. Je me stoppe cependant en chemin. Je n'avais plus rien sur le dos. Je courais immédiatement jusqu'à ma chambre. La je quittai mon boxer pour un short de bain et une chemise hawaiennne. Je filai ensuite en bas. Saluant deux trois personne pour être vu, détendu, habiller et surtout sans Kennedy.
Les derniers invité s'en allèrent ou presque parce qu'il restait encore du monde près de la piscine. Mya! Je couru jusqu'à la maison extérieure adjacente au bassin retrouvant la jolie Cleavers. La pauvre elle devait m'attendre depuis un moment à présent. Je devais m'excuser et surtout me rattraper. Je lui dis d'une voix engagente:
"Hé Mya. Désolé de t'avoir fait attendre, j'ai eu quelques ennuis. Maintenant si tu es toujours partante, on peut aller un peu se mouiller et peut être parler un petit peu tous les deux..."
Je me rapprochai un peu plus de la jeune femme, posant mes mains sur sa taille. Si l'envie de se baigner lui avait passé, je suis sûre que la perspective de quelques ragots croquant était loin de lui déplaire... |
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| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Jeu 7 Juil - 21:51 | |
| Mya attendait patiemment le retour du prince de la soirée mais l'attente se fit beaucoup plus longue qu'elle ne l'aurai cru. Du coup, bah, elle se faisait chier. Ainsi elle avait pu assister à la scène de plongeon de sa chère Annie. Bien fait pour sa gueule, après tout elle l'avait bien cherché. Mya ne portait pas particulièrement Annie dans son cœur malgré les apparences. En fait elle jouait sa faux cul avec, mais pas pour longtemps après ce qu'il venait de se passer... La te-hon de trainer avec après ça ! De toute façon Mya n'y gagnait rien dans cette fausse amitié, même si Annie lui faisait parfois rappeler la jeune lycéenne qu'elle était -en moins belle, et moins intelligente, cela va de soit-. Bref, Mya n'avait pas assez pitié d'elle pour aller la sauver de la noyade et puis elle n'allait surement pas se fouler un doigt pour elle. C'est pourquoi elle préféra retourner vers le peuple, et vers la boisson. Durant de longues minutes d'ennuis, elle bu pour faire passer le temps. Et puis, enfin Holden daigna se ramener. Il les avait cousu les maillots ou quoi ?
▬ Oui je vois que tu as été débordé... pour que tu oublies la chose que tu étais censé aller me chercher.
Fit-elle en guettant ses mains vides et sa nouvelle tenue décontract'. Il était sérieux ? Elle se détacha un peu de son emprise et poursuivi :
▬ J'imagine que je vais devoir me baigner en sous vêt.
Ajouta t-elle en haussant les épaules et en commençant à faire glisser sa robe bustier. Après tout c'était préférable, au moins elle ne risquait pas d'attraper je ne sais quelles sortes de mycoses avec un maillot sortit de nulle part. ▬ Bon allez, on y va ?
Bizarrement les gens s'en allaient. Mya arqua les sourcils en se demandant si la fête tirait à sa fin ou si c'était elle qui avait manquer un épisode. Enfin bon, elle ne partirai pas s'en avoir fait un petit tour dans la piscine. Était-elle la seule à avoir autant chaud ? Surement l'effet de l'alcool. Elle suivit Holden et s'en plus attendre plongea dans la piscine. Elle remonta à la surface un sourire aux lèvres, cela lui faisait un bien de fou.
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| Sujet: Re: There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn Ven 15 Juil - 16:53 | |
| Ma pauvre Mya. Je l'avais fais attendre longtemps. Je venais d'aller la retrouver, plus débrailler que jamais, mais bon. Les invités partaient tous et je n'avais plus la tête à faire le service. Maria s'en occuperait. Je m'excusai donc auprès de ma belle, autant pour l'attente que pour la non-présence du fameux maillot de bain entre les mains. Elle surenchérit, en effet j'avais du être pris pour oublier son maillot. Mais ce n'était pas tellement un oubli, normalement j'aurai du en emprunter à Kennedy, mais vu ce qui venait de se produire, je n'avais tout simplement pas pu lui en demander un, même en y ayant pensé. Elle se détacha de moi avant de prophétiser, avec une légère déception me sembla t-il, qu'elle allait alors devoir se baigner en sous-vêtements. En effet, j'ajoutai doucement, ennuyé du mauvais traitement dont je l'affligeai:
"Désolée, en tout cas il s'abimera pas, la piscine n'est pas chlorée mais filtrée avec un mécanisme spécial. C'est meilleure pour la peau et tout aussi hygiénique..."
J’espérais l'avoir un peu rassuré au moins. La jeune femme laissa glisser sa robe jusqu'au sol avant de proposer qu'on y aille. Je lui souris, virant ma chemise à mon tour. Je la posai sur mon épaule, et ramassait sa robe qui atterrit au même endroit. De mes mains vide je pris ensuite de verre-cocktail sur le buffet le plus proche pour ensuite lui emboiter le pas vers la piscine. Je posai les consos sur une des tables basses et les vêtements sur un siège avant de me tourner vers ma belle. Je lui demandais alors sur un ton joueur:
"Prête? J'y vais après toi!"
La jeune femme plongea donc la première à l'eau. Je la regardai onduler sous l'eau telle une sirène avant de crever la surface, projetant des milliers de gouttelettes autour d'elle. Magnifique... Je la rejoignis ensuite bien rapidement. Plongeant à mon tour la tête la première, je remontai au travers de l'onde chaude jusqu'à ma belle nymphe. Je lui souris avant de reprendre:
"Alors elle te plais cette petite piscine?"
Entrée en matière étrange j'avoue, mais fallait bien démarrez par quelque chose!... |
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| | | | There is still no cure for the common birthday. ~John Glenn | |
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