Mike n’avait pas su quoi faire d’autre que de parler pour rien sur le bal après qu’il l’ai embrassé. C’est vrai dans ce cas là soit on se fait envoyer bouler, soit les choses se poursuivaient normalement... Mais là, c’était encore une autre situation, il n’arrivait pas trop à savoir ce qu’il devait en penser et surtout comment il devait se comporter. Déjà que le pauvre avait du mal, mais si en plus on lui coller des énigmes, il n’aillait pas s’en sortir.

Au moins Junie prenait encore la peine de lui répondre et de poursuivre cette conversation sans fond qui évitait juste d’avoir un grand vide entre eux.
- Tu sais, je vais peux être pas partir rapidement de ce bal et que peut être je trainerai assez longtemps pour pouvoir te raccompagner… Magnolia la nuit n’est pas une bonne chose pour une femme, sauf si tu cherches à y trouver un autre pauvre type comme moi dans une ruelle…
C’est vrai après tout, il n’était pas obligé de rester tout le temps au bal, mais il pourrait repasser quand celui-ci tournera à sa fin, et ainsi il pourrait la ramener chez elle.. Mais bon, n’inventons rien, ici les choses ne se passaient jamais comme prévu.

Car nous somme à Magnolia ou la ville qui trouve le moyen de tourner les événements en la faveur des autres mais jamais envers vous… Vous prévoyez d’aller passer une sympathique journée avec je ne sais qui, pour faire je ne sais quoi, il arrivera toujours une chose imprévue.
… Magnolia la ville possédée, oui, ouvrez votre esprit et votre imagination… une ville qui possède une âme noire, une âme destructrice de tout bonheur, et elle aurait de nombreux acolytes… Il suffit de compter le nombre de con qui orne cette ville et qui veulent foutre la merde partout où ils vont. Donc oui, Mike croit absolument que Magnolia vit pour le mal, comme si c’était un conte de fée. Car pour lui si toutes ces histoires existent c’est qu’elles puisent leurs faits dans des faits existant, sinon les histoires ne seraient pas aussi prenantes, et les gens n’essaieraient pas de s’imaginer dans chacune d’entre elles. Donc Magnolia voulait elle aussi écrire son histoire, il en était sur, là était le désir le plus fort de cette ville… et chaque habitant serait un personnage à l’histoire déjà traçait où personne ne pourrait échapper au destin. Mais il c’était toujours promis de trouver la clé, pour y échapper et ainsi fuir sa fin tragique qu’il voyait se rapprocher à chaque réveil.
Donc, pleurez tous, et laissez vous guider vers la vie que vous n’avez pas choisie.

Le jeune Huntington sortit de ses croyances fictives justes à temps pour entendre la phrase de Junie et la voir se lever. Un grand blanc si fit dans la tête de Mike, avant qu’il n’ose ce dire à lui-même que Junie avait mal prit ce qu’il avait fait et qu’elle voulait ce débarrasser de parce qu’il l’avait mit mal à laisse. Trop assommé par les mots, il se leva sans rien dire et marcha à ses cotés.
Bon peut être qu’il c’était fait un film et qu’il s’en faisait encore un, après tout elle n’avait pas dis ça avec une once de méchanceté ou autre. Puis, il l’avait embrassait parce qu’il pensait, qu’elle aussi voudrait…
Il n’allait pas supporter cette situation où il ne savait pas qui était quoi et ce que pensait l’autre, merde pourquoi tout ce qu’il entreprenait n’était jamais clair.
Il se plaça devant Junie, lui empêchant d’aller plus loin. Après quelques secondes de blanc, il s’approcha d’elle et passa une main sur sa joue avant de l’embrasser doucement. Il s’écarta juste un peu, il n’avait pas envie de s’éloigner d’elle.

- Est-ce que ça te gêne quand je fais ça, enfin quand je t’embrasse ?… oui il se sentait très con de demander ça, mais il n’avait pas trouvé meilleure formulation.

Ce bal mettait mal à l'aise beaucoup de monde... Puis cette nouvelle situation embarassait Junie et surement Mike par la même occasion mais la jeune femme ne savait pas comment réagir. Jamais, non jamais, quelqu'un lui avait fait ça... D'ailleurs, le jeune homme dû s'apercevoir de son mal être ou quelque chose comme ça car il n'insista pas... mais elle aurait bien voulu qu'il insiste. Junie ou comment être difficile et perdue à la fois !

- C'est comme tu le sens. Ca ne me dérangerait pas, bien au contraire ! Non, un seul me suffit. Enfin je veux dire que tu es très bien comme mec, même si tu traines dans les ruelles et que tu n'es pas un pauvre type comme les autres.

Loin de là, Junie n'aurait pas prolongé ce baiser, puis ne l'aurait pas accompagné, ne lui aurait pas parlé, ne lui aurait pas fait confiance, et ne lui aurait encore moins révélé son secret... C'était un tout qui fait que... la jeune femme l'appréciait, un peu beaucoup énormément d'ailleurs. Oui ceci pouvait être exagéré mais pourtant... non, la fausse aveugle ressentait quelque chose de différent depuis que... voilà quoi !

Après s'être levée et avoir posé la question à Mike... Celui ci ne répondit pas et se contenta de se lever. Junie avait elle omis de dire quelque chose? Avait elle fait un mauvais geste ? Venait elle de dire quelque chose qui ne lui plaisait pas ? La jeune femme ne savait pas quoi dire, ni quoi faire... Pourtant la seule envie qui lui traversait l'esprit c'était de dire ce qu'elle avait ressentit à Mike à ce moment là... mais... elle n'osait pas. Pourquoi ? Peut être parce qu'elle avait peur ? En tout cas, un blanc s'était installé entre eux et ce n'était pas très joyeux. Enfin pourtant la jeune femme était loin d'être triste après ce qu'il venait de se passer mais... mais... les mots ne voulaient pas sortir de sa bouche.
D'ailleurs quand celui ci la stoppa dans son élan, elle sursauta car mademoiselle était plongée dans ses pensées, puis parce qu'après quelques secondes, minutes ? de blanc il refit ce que Junie désirait le plus. Puis la question qui suivit après n'étonna pas la fausse aveugle.

- Non ça ne me dérange pas... bien au contraire Mike. Je dirais que j'apprécie beaucoup ce geste là.

Junie, pour une fois on peut l'applaudir s'il vous plait (clapclap), rompit les quelques centimètres qui les séparait l'un et l'autre et l'embrassa doucement également. Puis quelques secondes après, elle colla son front à celui de Mike et sourit en même temps.

- Je trouve ça plutôt agréable en fait, et la personne également... Une personne qui... fait sortir en moi je dirais plus que de l'amitié que j'ai envers toi... Enfin tu vois ?

Oui, La jeune femme n'était pas sûre de ses mots, pas du tout donc autant être prudente et demander à son partenaire ce qu'il en pensait... Puis, après avoir embrasser Mike de sa propre envie peut être qu'elle serait plus éclairée et lui aussi ? Tout ça allait se dire dans les instants qui allaient suivre. (Ou plus généralement, la suite dans un prochain épisode )

Mike un jour il sera possible de comprendre ce que tu fais ? Savoir ce que tu as en tête ? Mais qu’est ce qu’il foutait avec la bibliothécaire bientôt trentenaire ? Après tout le cœur à ses raisons…

Maladroite avait été l’attitude de Mike, c’est vrai qui aurais réagit ou agit comme lui pour arriver à ce point là, personne.
L’amour ne se demande pas, ça se ressent, sauf si les mots ne sont pas directement influents… Laissez l’amour entrer dans votre tête l’espace de quelques secondes, pour tomber sous ce charme si envoutant… ou soyez exigent et laissez lui une simple chance et de le laisser s’approcher…
Ecoutant ce que peuvent contenir chaque souffle que constitue chaque parole :

« Nul ne peut connaitre le vrai sens de la vie de chaque mot
Car, il faut posséder le don de pouvoir les ressentir
Les voir se structurer devant nous
Sentir leurs vibrations et les laisser s'exprimer
Il faut laisser leur âme vagabonder vers l’intonation
Que sera leur carapace finale.

Ohhhh envoles toi petit mot, vas retrouver ceux qui t’attendent
Laisses toi prendre par le souffle du sirocco
Et vas dans l’esprit de celui qui t’accueillera
Pour que chacun chante
Lalalalala »

PAN… TG, cessez cette horreur, un homme qui essai de s’exprimer sur ses sentiments, mon dieu rien de pire. Au final juste une envie de vomir


Si rien ne se mettait en travers de sa route il attendra que ça se termine et il rentrerait avec elle, plus aucun lieux n’était sur dans cette ville. Oui il comprenait qu’elle n’avait pas envie d’offrir sa gentillesse à un autre drogué à moitié mort dans une ruelle. Puis au fond, il était peut être celui qui faisait le moins peur dans ce milieu… elle l’avait plutôt bien choisi. Il ne répondit rien à ce qu’elle venait de dire, car il s’avait qu’il allait s’enfoncer de lui-même et on lui ferait une énième remarque qui lui rappellerait comme quoi il est si doux et gentil avec tout le gens de cette planète et qu’il serait près à ouvrir son cœur chacun d’eux…

On ne peut pas tomber sous le charme d’une personne, là comme ça d’un seul coup… En réalité, il avait été perturbé par… la gentillesse et l’intérêt que lui porté cette femme, juste parce qu’il n’avait encore jamais connu ça. Ici les gens étaient plutôt du genre à vous laisser crever sur le bord de la route.

Soit il avait fait une connerie en la ré-embrassant, soit il avait encore fait une crise de manque de confiance. Mais en tout les cas, il n’arrivait pas à croire qu’il galérait à gérer cette situation.
…Positive ! Oui, sa réponse était positive… Et, il ferma les yeux le temps du baiser qu’offrait Junie, et les rouvrit seulement lorsqu’il sentit son front contre le sien. Il sourit, il eu l’impression de s’entendre parler, des blancs entre les mots, donc oui ceci pouvait arriver à tout le monde.
Mike passa ses bras autours de la taille de Junie.

- Il me semble que je peux arriver à voir, ce que tu veux dire, finit-il par dire avec un grand sourire. Je vois même très bien.

Là, il se sentait juste bien, bien comme il ne l’avait pas été depuis longtemps… juste tranquille avec quelqu’un. Il en avait oublié comme c’était agréable d’être accompagné, comme un peu de compagnie pouvait vous rendre heureux, et que ceci pouvait être plus agréable que la solitude.

- Je pense que nous pouvons maintenant quitter ce petit point d’eau l’esprit tranquille…, même s’il a provoqué des trucs bizarres le con. Il embrassa une dernière fois la jeune femme avant de se placer à ses cotés et de l’entrainer où menait ce chemin. Tu ne regrettes plus de t’être offert un après midi tranquille j’espère ? Puis comme ça, ça te donnera peut être envie de te laisser du temps maintenant, enfin je l’espère.

Oh mon dieu, ce jour restera gravé dans la mémoire de la bibliothécaire. Jamais elle n'aurait cru que ça arriverait... Bah oui, autant être franc ! Junie n'avait pas imaginé une seconde que ça aurait pu lui arriver, surtout que Mike était plus jeune qu'elle. Beaucoup. Mais elle s'en fichait... Après tout, ce n'était pas elle qui avait décidé, c'était son pitit coeur. (sale gosse !). Halalalalala, puis la jeune femme était au comble...
Mon dieu, on s'embarque dans un discours romantique ! Evitons cela..

Alors comme ça il arrivait à voir ce que Junie entendait par sa phrase coupée et surtout nulle à chier ? Dis donc, Mike était beaucoup plus fort qu'elle ne l'avait imaginé, il avait sans doute un décodeur dans le cerveau... Oh... Arrêtons divaguer et revenons à des choses on ne peut plus sérieuses.

- Tant mieux si tu vois ce que je veux dire par là... Je ne me voyais pas expliquer autrement... Enfin plus directement.

La jeune femme commençait à s'embrouiller dans ses propres paroles tellement elle était décontenancée par ce qui venait de se passer. Oui, c'était une bonne chose et non elle ne regrettait pas ses faits et gestes et ni ce qu'elle avait dit. Puis tout ce qu'elle ressentait à l'intérieur d'elle (comme les papillons dans son ventre sisi !). Junie n'avait ressentit ça... qu'une seule fois, oui, et c'était maintenant. Bizarre ou pas, ce n'était pas la question puisque la bibliothécaire était contente d'être avec Mike.

- Bizarres peut être mais positives dans un sens. Et non je ne regrette pas d'avoir prit une après midi tranquille et je tâcherai en effet d'en prendre plus souvent.

Elle afficha un sourire et marcha donc avec Mike à ses côtés sur ce chemin dont elle ne connaissait pas l'issue mais elle le saurait bientôt.
Le trajet s'effectuait en silence, mais ce n'était pas un silence pesant comme parfois dans certaine situation.. Non là c'était un silence comme un autre.
Une fois arrivé au bout du chemin, la bibliothécaire remarqua qu'ils étaient arrivés à l'autre bout de la ville.

- Mmh, nous avons marché en tout cas. Tu veux faire quoi ? Rentré? Autre chose ?

Le regardant elle lui sourit une autre fois et continua d'avancer en s'enfonçant dans Magnolia Cresent. Cette ville regorge de surprise bien et mauvaises... Mais bon c'était Magnolia, et elle était sûre que d'être en compagnie de Mike attirerait les regards de certaines personnes et que ça causerait... Tant pis ! La vie était ainsi... Se tournant vers lui, la jeune femme l'embrassa par simple envie et rigola avant de reprendre sa route en marchant à côté de lui. Oui Junie était heureuse de cette après midi.

C’était grâce à beaucoup de chose qu’il avait comprit ce que voulais dire la jeune femme. Car si on fait attention aux phrases qu’avec essayé de dire Junie, elles étaient incompréhensibles… Mais au regard et à l’attitude de la jeune femme, il avait tout de suite comprit le message, il savait que c’était son cœur qui parlait… Quand une femme aussi sensible que Junie était submergée par l’amour, ce n’était pas les mots qui la trahissait mais son regard ou son comportement… Il ne fallait pas avoir bac+12 en psycho pour savoir ça.
Junie tenta de reprendre la parole, même pour des choses simples elle continuait de cafouiller, c’était si mignon (t’es siiiiii mignon mignon mignon gnon gnon, tes poignets d’amours moi je les aime…, je rêve ou Renée vie dans ce parc !) Après tout elle était peut être déboussolée par le fait qu’un jeune (mais fort beau) drogué s’intéressait à elle.

Et oui car le jeune Huntington était bien quelque peu tombé sous le charme de la bibliothécaire. Du moins ça c’était fait en étapes, très réduites dans le temps, mais il y avait bien eu plusieurs étapes. Tout d’abord, lorsqu’il avait été dans la grande ignorance de secret de Junie, et qu’elle était restée devant cette ruelle jusqu'à ce que notre brave Miky sorte de son assommement où une fois parmi nous il avait instinctivement aider cette femme censée être perdue. Alors qu’il n’aurait même pas cherché à sauver une personne de n’importe qu’elle agression… mais peut être qu’il avait eu juste que là c’était lui qu’on sauvé. Ensuite il avait fait brièvement connaissance autour d’un café alors que la foule nocturne de Magnolia battait son plein. C’est vrai que ce moment de sociabilité avait été plus qu’agréable, même si au moment du retour il avait cru tout foutre en l’air par un moment de… enfin bref. Et ça avait été à la réaction de la jeune femme, qu’il avait comprit qu’elle était bizarre… du moins qu’elle lui avait trouvé, oui qu’elle cherchait à savoir certaines choses. Puis aussi après pourquoi elle lui aurait proposé un travail et lui aurait révélé son secret… en y repensant c’était évident.
Puis, le peu de temps où ils avaient parlé, il l’avait eu plaisir à l’écouter, à la regarder…

Il aurait mit une bonne chose dans la tête de Junie, elle prendrait désormais plus de temps pour elle, pour se faire plaisir et profiter. Peut être que toute ses journées de libre se passerait ainsi, du moins surtout si c’était avec un nouvel assistant…
Peut être que cette femme cachait encore des choses, qu’elle ne faisait que s’amuser pour passer le temps. Mais mike s’en foutait, pour le moment il était bien…

Ils avaient repris le chemin du parc, il avait un peu eu le temps de se désemplir du passage des enfants, le chemin fut silencieux mais passa agréablement vite, jusqu’à ce qu’il arrive à la civilisation du nord de la ville.
Mmh, il n’avait pas spécialement envie de rentrer chez lui, sauf si Junie l’invitée de nouveaux chez elle. Après, il n’avait pas spécialement pensé à ce qu’ils feraient après. La jeune femme l’embrasse avant de l’entrainer sans Magnolia. Voilà, elle venait encore de le déconcentrer pour répondre à sa question. Après quelques secondes, monsieur Huntington prit la parole.

- Tant que l’on est dehors, on pourrait faire un tour, sauf si tu as froid et que tu veux rentrer quelque part ou chez toi. Mais le temps que tu te décides on va aller faire un petit tour, dans cette partie de la vieille ville.

Il prit la main de Junie et l’entraina vers la civilisation, il ne faudrait pas qu’elle se fasse attraper par un vieux pervers de 50 ans.
Ils s’approchèrent de la première rue accueillante, quelques boutiques, et des bars, des bouibouis ornaient l’espace.
Il s’arrêta devant un magasin sans faire attention à l’enseigne ou encore à la civilisation, et se tourna vers Junie.

- Est-ce que mademoiselle aurait besoin de quelque chose en particulier, un truc ou tu dis que tu n’as jamais le temps… Par exemple, je sais pas est ce que tu as une robe pour le bal, le dernière truc à la mode que toutes les femmes ont ? Ou encore gouter au dernier plat de grand cuisinier de Magnolia, aux chouquettes de la boulangerie ? Bon sinon, après si tu veux rien, bah je vais pas te forcer, non plus. Finit-il en déposant un baiser sur les lèvres de Junie

Beaucoup de personne serait surement en train de dire :" Oh mon dieu ! La bibliothécaire sort avec un jeune !!! C'est une cougar si si si !". Bah que voulez vous que je vous dise ? L'amour on le contrôle pas, et si les gens sont pas content bah... merde que voulez vous ! Puis si les gens sont si répugnés que cela, Junie ne leur demanderait pas leur avis après tout.

Bref ! Les deux personnes se retrouvaient ensembles à présent et à vrai dire c'était bizarre, pourquoi ? Parce que Junie n'aurait pas pensé tomber amoureuse de Mike... Ouais, au début la différence d'âge l'avait arrêté dans ses propos mais au final elle s'était rendue compte que bah... c'était plus fort qu'elle. Oui certes, il y avait des commérages qui feraient que la jeune femme serait mal à l'aise au début mais elle s'en fichait après tout, enfin ! Elle n'y était pas encore même si les commérages ou autre ce n'était pas son truc.
Enfin, une fois sur le chemin pour retourner à l'état civil et ce qui voulait dire, aux personnes désagréables que l'ont peut retrouver, la jeune femme lui avait demandé ce qu'il voulait faire à présent et après qu'il lui ait énoncé ce qu'elle voulait faire celui ci l’entraîna vers une autre partie de la ville. C'était chouette, elle avait un super protecteur contre les malfaisants et les vieux pervers de Magnolia ou autre.

Maintenant ils se retrouvaient devant un magasin.. Puis Junie écouta Mike, car après tout elle n'avait pas réfléchit à ce qu'elle voulait faire à présent. Après l'énumération de tout ce que lui proposait Mike, la jeune femme se tourna vers lui avec un grand sourire.

- Hum... La robe pour le bal, voilà, plus tard. J'aime pas en parler. Puis ce que je voudrais, ce sont des framboises.

Junie lui laissa pas le temps de répondre qu'elle chercha une boutique où bien sûr il vendait des framboises puis une fois qu'ils sortirent avec le framboises du magasin, la jeune femme décida d'aller les manger chez elle.
Le sourire aux lèvres la bibliothécaire et Mike rentrèrent au numéro 34 et y allèrent manger des framboises bien entendu et parler aussi peut être. Bref, cette après midi là avait été une des plus mouvementées dans la vie de Junie et le pire c'est que c'était loin d'être parfait dans la suite de sa longue et ennuyeuse vie. *sort*