Nombre de messages : 29 Etudes/Metier : Directrice et rédactrice en chef d'un magazine de mode Love : Brad Lawford (Scénario à prendre) Humeur : Vous avez intérêt à ne pas me décevoir ! Inscription : 14/05/2015
| Sujet: Lydia Lawford - Sometimes being a good mother gets in the way of being a good person. Ven 15 Mai - 3:13 | |
| Lydia Lawford Née le 15 juillet 1970 - 44 ans, mais en parait facilement 40 - Hétérosexuelle - Mariée à Brad Lawford - Directrice et rédactrice en chef d'un magazine de mode - Feat. Lana Parrilla Tell them that it's human nature Femme aux multiples visages, Lydia est personne plutôt difficile à cerner et avec laquelle on ne sait pas toujours sur quel pied danser. Au travail, c'est une rédactrice en chef exigeante et perfectionniste. Elle est dotée d'un très grand charisme et elle obtient généralement tout ce qu'elle veut quand elle le veut. Elle a la classe des grandes dames et la poigne d'acier d'un homme. Territoriale, il ne faut pas jouer dans ses plates-bandes. Elle est de ceux et celles qui aiment diriger et donner les ordres. Dictez-lui sa conduite et elle sortira ses griffes. Manquant parfois de tact, lorsqu’elle vous fait l’étalage de vos quatre vérités, ce ne sera aucunement avec délicatesse. Autant vous préparer avant de vous entretenir avec elle, surtout si vous savez d'avance que vous avez mal fait votre travail. Rien ne lui échappe ! Rancunière à souhait, elle pardonne difficilement. Capable de douceur, elle est aussi capable de la pire des froideurs. On la décrit souvent comme étant une femme à la main de fer dans un gant de velours. Très maline, elle sait comment mener les gens en bateau. Perfectionniste et méticuleuse, elle peut repasser jusqu’à 2 ou 3 fois derrière quelque chose qui aura déjà été fait. Enfin, de par sa nature énergique et engagée, Lydia est une bonne candidate à l’épuisement. Elle ne sait s’arrêter et la chose est pire si, par malheur, elle ingurgite trop de café. Il faut toutefois reconnaitre que la belle brunette concilie parfaitement sa vie professionnelle et sa vie personnelle. En privé, Mme Lawford perd toute l'intransigeance qu'on lui connait ailleurs. Épouse aimante, elle sait entretenir la flamme et la passion dans son couple. C'est une soucieuse du bienêtre de ses enfants. Ces derniers occupent toute son attention. Pour sa famille et son homme, elle serait prête à tout. We are family Ma famille, c'est Brad, Arthur et Vicky. Notre entourage se plait à dire que je suis la matriarche, le pilier et le fil conducteur des Lawford. J'ignore si c'est ainsi qu'on peut vraiment me qualifier, mais il est vrai que mes enfants et mon mari ont tout intérêt à me suivre. De ma mère, j'ai hérité de ce petit côté contrôlant. Je ne m'en cache pas… J'aime quand les choses roulent correctement. M'en voudrait-on, vraiment, de vouloir m'assurer que tout fonctionne ?
Brad… Nous sommes mariés depuis près de 25 ans. Croyez-moi, même en étant une carriériste très occupée, je fais tout pour entretenir la flamme dans notre couple. Lui et moi, on se ressemble énormément et c'est surement pour cela que nous nous complétons si bien. J'aime prétendre que nous formons une équipe. Si nous sommes discrets en public, il en va tout autrement en privé. Le secret de notre réussite conjugale ? Une bonne dose de patience (de sa part), lui donner l'impression de dominer tout en tenant les rênes, de l'audace, question de pimenter notre quotidien, et du bon s*** *toussotements*... je m'arrête ici !
Arthur... Mon ainé, mon unique fils. Je suis fière de lui et de tout ce qu'il entreprend. Quelle mère ne le serait pas ? Son homosexualité ne m'a jamais déçue et je suis même impressionnée par le courage dont il a fait preuve pour nous avouer son attirance pour les hommes. Faire son coming out n'est pas facile et il a su se relever malgré les préjugés. Je sais que cela l'énerve un peu, mais en tant que rédactrice en chef, je me fais aujourd'hui un devoir de supporter la cause des homosexuels.
Vicky... Ma fille, ma bataille. J'ignore pourquoi, mais notre relation a toujours été tendue. Bien des non-dits subsistent entre nous. Avec les années, nous nous sommes éloignées toutes les deux et vous ne pouvez imaginer combien je me sens impuissante et désespérée face à ce fossé qui se creuse de plus en plus entre nous. J'aimerais la connaitre davantage. J'aimerais qu'elle me laisse une chance de m'intéresser à ses projets. De quoi et de qui est fait son quotidien ? Fait-elle de bons choix ? Est-il trop tard ? L'idée de la perdre m'effraie. Maladivement.
Tell me something I don't know Une anecdote ? Ma foi, elles sont nombreuses ! Je me permettrai ici de vous en raconter deux…
Tout d'abord, si vous me regardez de plus près, vous verrez une petite cicatrice au coin supérieur droit de ma lèvre. On me demande souvent de l'expliquer. Remettons les choses au point, vous voulez bien ? Non, je n'ai pas été battue étant enfant. Certains ont même prétendu que cette cicatrice m'a été infligée par mère, après que cette dernière m'eut violemment corrigée parce que j'étais incapable de faire mon travail sur pointes. Ce n'est pas ça non plus. J'étais âgée de 10 ou 9 et je me chamaillais avec Karen, ma jeune sœur de 5 ans. Elle avait une paire de ciseaux dans les mains et l'inévitable s'est produit. Tout simplement. Pourquoi n'ai-je pas recourt à la chirurgie plastique ? Plusieurs me posent cette question… J'aime ma cicatrice et je n'ai jamais cherché à la cacher. Elle ne m'a jamais non plus empêché de faire du mannequinat. Alors pourquoi voudrais-je la faire disparaitre alors qu'elle fait un peu ma marque de commerce ?
Ensuite… Une petite histoire qui vous en dira long sur les priorités que j'accorde à ma vie personnelle. Je devais avoir près d 30 ans. Je travaillais depuis quelques années déjà pour un magazine. C'était un soir de réunion et je reçus un appel de la maison. Ma cadette venait de se casser le bras et c'était la catastrophe à la maison. Sans même attendre la permission de qui que ce soit, j'ai ramassé mes affaires et je me suis levée. J'entends encore d'ici mon patron me demander, avec ce petit ton de voix nasillard…
« Mais qu'est-ce que vous faites là? » « Eh bien ça se voit, Monsieur, vous allez devoir continuer sans moi. » « Mme Lawford, je vous prierai de bien vouloir vous rassoir. Sur le champ ! Ça ne se fait pas, quitter une réunion de la sorte ! » « C'est pourtant ce que je fais, Monsieur… » dis-je, en le défiant du regard tout en ouvrant la porte. « Je vais vous dire ce qui ne se fait pas, moi ! Il faut bien être un homme pour interdire à une jeune femme de se rendre au chevet de sa fille qui vient tout juste de se casser le bras ! Et pas la peine de me dire que mon mari pourrait très bien s'y rendre à ma place. Il fait ce que vous, et les autres hommes ici réunis dans cette pièce, feriez probablement vous-même à votre femme : la laisser s'occuper des enfants en attendant bêtement que le repas soit servi ! Vous transmettrez mes salutations à votre épouse, Monsieur… » conclus-je, tout sourire, en quitta la pièce.
Contre toute attente, je n'ai pas été congédiée. Mon patron m'a rencontrée, certes, mais il m'a plutôt fait des éloges. Selon lui, peu de femmes auraient eu l'audace de faire ce que j'ai fait. Garder un équilibre professionnel et personnel, m'a-t-il dit, c'est la seule façon de monter les échelons dans un domaine comme le nôtre. Il m'a garanti un avenir prometteur et il ne m'a pas menti… Me voici aujourd'hui la patronne.
J'AIME ... ✓ Il y a un tas de choses que j’aime, à commencer par mes enfants. Quoi qu’ils en pensent, quoi qu’ils fassent, Arthur et Vicky occuperont toujours "THE first place" dans mon cœur. ✓ J'aime aussi éperdument mon mari. Il n'est pas parfait et moi non plus, je le sais. On ne se témoigne pas toujours notre amour comme on le devrait, ça aussi je le sais. Lorsque je lui ai dit oui, c'était pour le meilleur, mais aussi pour le pire. Je l'aime avec ses défauts, je l'aime avec ce qu'il m'apporte, je l'aime tout simplement. ✓ J'aime mon job et la notoriété qu'il m'apporte, même s'il m'a fallu faire bien des sacrifices. ✓ J'aime tout ce qui se rattache à la mode. ✓ J'aime tout ce qui est raffiné. ✓ J'aime la gastronomie française. ✓ Paris est ma destination favorite. ✓ Je me passionne pour les voitures de luxe. ✓ J'’aime les choses simples de la vie… La bonne bouffe, le bon vin, les talons hauts, les fringues, le yoga et la musique classique. | JE N'AIME PAS ... ✓ Je n'aime pas avoir l'impression que mes enfants s'éloignent de moi. ✓ Je n'aime pas qu'on me dise quoi faire. ✓ J'ai une sainte horreur du travail bâclé et de la paresse. ✓ Je hais par-dessus tout les retards et tout ce qui fait entrave à MON horaire. ✓ Je déteste l'objectivation sexuelle de la femme et tous ces stéréotypes qui viennent banaliser l'image de la femme-objet et la violence sexuelle faite aux femmes. ✓ La pornographie gratuite et de mauvais goût me pue au nez. En fait, ça me rend plutôt inconfortable. Que je surprenne mon mari à se taper un porno et il passera assurément un sale quart d'heure en plus de passer la nuit dehors... avec le chien ! ✓ L'idée de savoir un enfant abusé physiquement, verbalement ou sexuellement me fait pleurer comme un bébé. ✓ J'ai perdu la volonté et l'énergie de plaire à ceux qui ne m'aiment pas et de sourire à ceux qui sont incapables de me sourire en retour. ✓ Je déteste la mal bouffe et la bière. ✓ J'ai une peur bleue des rongeurs et des hauteurs. ✓ Je panique lorsque je passe trop de temps dans un ascenseur. ✓ Je déteste le repas de la Thanksgiving, surtout lorsque je suis chargée de faire le repas… Si je pouvais arriver à faire cuire une dinde ! Du coup, je hais les dindes ! |
The story of the impossible J'ai vu le jour à New York, le 15 juillet 1970, ce qui me donne aujourd'hui l'âge respectable de 44 ans… Mais que cela reste un secret ; je préfère prétendre que j'ai encore 40 ans ! Je suis l'ainée d'une fratrie de 3 enfants. Nous sommes trois filles, plus exactement : moi-même, Karen (40 ans) et Rachel (35 ans). Ma mère, Jill Henderson, était professeur de danse classique émérite à la Juilliard School tandis que mon père, Lawrence Parker, travaillait à la fois dans les bureaux de rédaction du New York Times et à l'université de Columbia en tant que professeur de littérature. Autant dire que je suis bien née.
Mon enfance ? Tranquille et sans l'ombre d'un drame, je dirais. En fait, elle était d'un ennui terrible ! Nous vivions dans l'Upper Manhattan, un quartier riche qui n'avait rien à voir le Bronx. J'ai fréquenté les meilleurs établissements, je partageais mes temps libres entre mes cours de ballet et mes leçons piano. Papa et maman étaient plutôt absents. J'ai nettement plus de souvenirs de mes nounous que de mes parents. D'aussi loin que je me rappelle, ils étaient d'une sévérité déconcertante. Maman, surtout. Tout était calculé au quart de tour, de notre emploi du temps à ce qui se trouvait dans nos assiettes. Aussi, est-ce peut-être à cause de cela que j'ai fini par développer, à l'adolescence, ce qu'on appellera un léger trouble alimentaire. Qu'on se rassure, j'en suis aujourd'hui guérie. Toujours est-il que j'ai grandi avec un avenir tracé d'avance. J'allais devenir danseuse ou journaliste. C'est du moins les ambitions que chérissaient mes parents.
Je devais avoir 12 ou 13 ans lorsqu'une agence de mannequinat m'a approchée. D'abord réticents à l'idée que je m'exhibe dans des magazines de mode et sur cat walk, mes parents ont finalement accepté de me laisser tenter ma chance. Par la grâce et l'agilité que j'ai développée avec la danse, j'avais le physique de l'emploi. Cela me permettrait aussi de toucher à un revenu plus qu'intéressant. C'est donc vers 1982 que je suis devenue mannequin. Ma carrière s'est échelonnée sur près de 10 ans, jusqu'à ce que je décide qu'il en était assez et que je redevienne enfin maitre de MON corps. À dire vrai, je chérissais un souhait que peu de personnes comprenaient à l'époque : je voulais devenir mère. Ayant souffert toute ma vie de l'absence de mes parents, l'idée d'avoir des enfants m'est apparue comme une évidence. Ce fut l'appel de la nature ou de l'horloge biologique, dirons-nous. À 18 ans, j'ai décidé de m'inscrire à l'université en communication. Un choix purement stratégique. Pour avoir des enfants, il me fallait en trouver le père et étant sélective de nature, je le voulais ambitieux et cultivé. Ma "chasse" aux candidats ne dura guère plus de quelques mois…
Brad Lawford, un beau brun taillé comme un dieu et au charme fou, terminait son master en littérature. Il était à peine plus vieux que mois. En fait, trois ans nous séparaient. C'est par hasard et grâce à des amis communs qu'on s'est rencontré. Nous nous sommes mutuellement tombés dans l'œil. On s'est d'abord fréquenté en tant qu'ami, mais les choses sont rapidement devenues plus sérieuses. Nous nous mariions un an plus tard. Les mauvaises langues ayant prédit l'échec de notre union pourront se rassoir : après près de 25 ans de mariage, notre histoire d'amour dure et perdure.
Je n'ai jamais été d'un naturel très patient... Le travail était commencé depuis quelques heures déjà et Brad n'arrivait pas. Cette idée, aussi, d'aller dédicacer son best-seller à des milles à la ronde d'ici ! J'en étais presque venu à me dire que le bébé allait devenir adulte sans même avoir eu le temps de connaitre son père. J'étais d'humeur exécrable et je détestais qu'on me dise quoi faire. Ça n'allait strictement pas changer le jour de mon accouchement. « Faites votre travail et laissez-moi faire le mien ! », avais-je rugi à une infirmière en agrippant, d'un côté la main de mon frère aîné - ou du moins ce qui en restait - et de l'autre, le garde-corps de mon lit d'hôpital. En seulement trois ou quatre poussées et avecautant d'infirmières traumatisées, mon fils pointait le bout de son nez, ses cris se mêlant à mes pleurs. J'étais épuisée. Brad est arrivé au même moment. C'est ainsi qu'en 1991, après une fausse couche, je donnais naissance à Arthur. Deux plus tard, je mettais au monde Vicky. Une nouvelle fausse couche en 1994 m'emmena tout droit à une hystérectomie. Je crois n'avoir jamais surmonté ce deuil… Des enfants, j'en aurais eu encore 4 ou 5. J'ai toujours rêvé d'une famille nombreuse.
Les années ont passé, les enfants ont grandi et je suis toujours en couple avec Brad. Nous avons emménagé au New Jersey il y a quelques mois, afin que je puisse me rapprocher de mon travail. Je suis aujourd'hui directrice et rédactrice en chef d'un magazine de mode. J'ai gravi les échelons, je me suis fait un nom ainsi qu'une notoriété, tout comme Brad, qui continue d'écriture et d'obtenir de francs succès. J'ignore comment, mais je réussis, en apparence, du moins, à tout concilier : mon boulot, mes enfants, mon couple. Intérieurement, par contre, je m'épuise. Si je suis parvenue à atteindre les sommets de ma carrière, mes enfants demeurent ma principale préoccupation. Ai-je été une bonne mère ? Ai-je été trop absente ou plutôt trop envahissante ? . Ils ont quitté l'enfance depuis plusieurs années déjà et je les vois s'éloigner peu à peu, impuissante et le vague à l'âme. Et mon mari… Est-il las de notre vie et de mes sempiternelles exigences ? À l'approche de mes 45 ans, je n'ai jamais autant douté. Est-ce la peur de vieillir ? Voilà où j'en suis. Who the hell are you ? Pseudo - Juju ou Lily Age - 32 ans Pays/région - Canada Fréquence de connexion - Autant que possible ! Comment avez-vous connu le forum - Grâce à un forum de pub. On m'a proposé le rôle de Lydia. Groupe - Orgueil, tout comme Vicky... Telle mère telle fille, dit-on ! ^^ Un dernier mot - Je vous aime déjà !!!
Dernière édition par Lydia Lawford le Lun 18 Mai - 21:09, édité 11 fois |
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Nombre de messages : 778 Etudes/Metier : Diva de Broadway Love : My love for Heathcliff resembles the eternal rocks beneath: a source of little visible delight, but necessary. I am Heathcliff. He’s always, always in my mind: not as a pleasure, any more than I am always a pleasure to myself, but as my own being. Humeur : Confused Inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Lydia Lawford - Sometimes being a good mother gets in the way of being a good person. Ven 15 Mai - 10:47 | |
| LYDIA + LANA : Excellent choix! Bienvenue et bon courage pour ta fiche! ♥ |
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Nombre de messages : 462 Etudes/Metier : Gérante d'une petite boutique de décoration Love : RIP Victor Humeur : mortelle Inscription : 08/05/2015
| Sujet: Re: Lydia Lawford - Sometimes being a good mother gets in the way of being a good person. Lun 18 Mai - 21:10 | |
| Tu es validé Félicitations nous te validons :) Voici quelques informations à lire attentivement ! Guerre des groupes Sur DS se mène une petite guerre des groupes, chaque membre doit rp pour sa team, afin de la faire gagner. Toi tu rejoins la team des BANANES ! Va vite poster dans ce topic nous permet de compter plus facilement les points de ta nouvelle équipe. Nous te mettons entre les mains des parrains de ton équipe et à les harceler de questions ^^ Système de points et cacahuètes Grace à ton activité tu pourras gagner des cacahuètes, et les dépenser bien sûr ! Toute l'explication est par iciGroupe Si tu n'es pas encore ajouté dans ton péché capital, n'hésite pas à le rejoindre (en cliquant sur son icone dans le qeel) Divers RP Nous te proposons de : - Faire une demande de RP générale - Poster une idée de RP libre bien spécifique, ou d'en trouver une postée par un autre membre et qui te botte particulièrement - T'inscrire à Magnolia Roulette pour obtenir un partenaire de RP au hasard - Placer les mots dans tes rp, afin d'obtenir des goodies Hors jeu Enfin, si tu as la moindre question chaque boîte à mp de chaque membre du staff t'es ouverte ! En parlant de ça, tu recevras ton secret par mp très prochainement =) |
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